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Les codétenus de Marcel Vervloesem sont parvenus à le convaincre de vivre, donc de reprendre ses médications. Il a été transféré de la section au block 35, en régime stricte, laissant l’infirmerie à Kim Gelder, le jeune meurtrier en série. Marcel qui demandait ses médicaments, n'a pas obtenu la pompe à insuline et des 14 comprimés qui doivent le maintenir en vie. Le règlement prévoit que son médecin traitant en prison, le Dr Proot, ait donné son assurance qu’il puisse y survivre. En vacances vendredi, il était de retour ce mardi. Mercredi, il apparaît impuissant face aux directeurs de prison, qui mettent la vie de son patient en danger et demande rendez-vous au ministère de la justice à Bruxelles pour lui sauver la vie. |
Kim De Gelder takes the place of Marcel Vervloesem, who is sent to block 35 The fellow-prisoners of Marcel Vervloesem managed to convince him to live, therefore to take back his medications. He was transferred to block 35, in a strict regime, leaving the infirmary to Kim Gelder, the young serial murderer. Marcel, who asked his medications, did not get the insulin pump and the 14 pills which must maintain him alive. The regulation provides that his attending physician in prison, Dr. Proot, gave his insurance that he can survive that. On holiday since Friday, he was back on Tuesday. Wednesday, he appears helpless vis-a-vis the head wardens, who endanger the life of his patient and request an appointment at the ministry of justice in Brussels to save his life. |
Kim De Gelder prende il posto di Marcel Vervloesem, che è mandato al blocco 35 I codetenuti di Marcel Vervloesem sono arrivati a convincerlo di vivere, dunque lui riprende le medicazioni. Lui è stato trasferito alla sezione del blocco 35, in regime ancora stretto, lasciando l'infermeria a Kim Gelder, il giovane serial killer. Marcel che domanda le sue medicine, non ha ottenuto la pompa da insulina e le 14 compresse giornaliere che dovrebbero tenerlo in vita. Il regolamento prevede che sia il suo medico a prescriverle e che lo cura in carcere, il Dr Proot, avrebbe detto che lui può sopravvivere. In ferie da venerdì, lui ritorna martedì, ma Marcel non è stato autorizzato ad andare alla visita medica prevista. Mercoledì, appare impotente di fronte ai direttori carcerari, che mettono la vita del suo paziente in pericolo e domanda appuntamento al ministero della giustizia a Bruxelles per salvargli la vita. |
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La direction de la prison de Bruges a menacé Marcel Vervloesem de sanction, s’il ne parvenait pas à obtenir la censure d'informations le concernant sur Internet. La prison nous apprend la première sanction: l'interdiction de visites des personnes qui se relayent pour le convaincre de vivre, possiblement même de téléphone, car il ne nous a pas appelé. Quand Marcel Vervloesem a été appelé à faire quatre ans de prison pour des crimes qu’il était physiquement incapable d’exécuter, il a reçu des appels téléphoniques anonymes quotidiens de deux magistrats, qui lui ont parlé des pressions opérées pour le faire condamner à tout prix. L'un lui a expliqué que le test du détecteur de mensonge réalisé sur le premier de ses accusateurs faisait apparaître un tel mensonge, qu’il y a eu ordre d’arrêter les huit autres, pour prévenir que lui, l'accusé, soit le seul reconnu comme disant la vérité. L’autre lui a dit avoir été dégradé à la position de juge de Paix, pour avoir protesté. Ceci confirme les violations de la séparation des pouvoir à la mode Fortis et Sabena, qui proviennent directement des ministères. |
The direction of the prison of Bruges threatened Marcel Vervloesem of sanction, if he did not manage to obtain the censure of information concerning him on Internet. Prison advises us the first penalty, the prohibition of visits by people who take turns to convince him to live, possibly even of telephone, since he has not called us. When Belgian justice called Marcel Vervloesem spend four years of prison for crimes which it was physically unable to carry out, he received daily anonymous telephone calls from two magistrates, who told him about the pressures operated to have him condemned at all costs. They explained him that the result of the lie detector produced on the first of his indicters was so overpowering, that there was order to stop the eight others, to prevent that he be the only one recognised as saying the truth. The other told him he had been degraded to the Justice of Peace, for having protested. This confirms the violations of the separation of the capacity, at the Fortis and Sabena fashion, by direct threats from the ministries. |
Marcel Vervloesem, ostaggio con diritto all'informazione
Quando Marcel Vervloesem è stato chiamato
per fare quattro anni di prigione per dei crimini di cui non era fisicamente
capace, lui ha ricevuto delle chiamate telefoniche anonime giornaliere
di due magistrati, che gli hanno confidato delle pressioni ricevute
per farlo condannare ad ogni costo. Uno di questi gli ha spiegato che
il test della macchina della verità sul primo dei suoi accusatori metteva
in evidenza una grossa menzogna, e che lui aveva ricevuto l'ordine di
arrestare gli altri otto, per prevenire che lui, l'accusato, fosse il
solo riconosciuto come dicente la verità. L’altro magistrato gli aveva
detto di essere stato degradato a giudice edi pace, per aver protestato.
Ciò conferma la violazione della separazione dei poteri alla moda di
Fortis e Sabena, che provengono direttamente dai ministeri come competenti
assoluti. |
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Droits des Prisonniers Marcel Vervloesem a demandé l’euthanasie le 14 novembre dernier, parce que l'administration de la prison n'autorise pas les traitements nécessaires à le soulager de maladies terminales. Il arrêtera ses médicaments le 1er février, encouragé à un suicide, qui lui est présenté comme une euthanasie. Il est emprisonné depuis le 5 septembre 2008, pour des crimes qu’il était physiquement incapable de commettre, dans le cadre d’un dossier où il expose la corruption qui couvre l’exploitation sexuelle d’enfants. L’euthanasie en Belgique, n’est légale que quand elle est avalisée par la Commission de l’Euthanasie, composée de huit médecins, quatre avocats ou professeurs de droit et quatre personnes s’occupant de la problématique des personnes incurables. La demande doit être formulée de manière volontaire, réfléchie, répétée et sans pression extérieure. Seules les pressions extérieures répétées par le refus de soins, qui occasionnent des souffrances aigues à Marcel Vervloesem, motivent sa demande. |
Prisoners' Rights The murder of Marcel Vervloesem will be turned into an euthanasia Marcel Vervloesem asked euthanasia last on November 14, because the prison administration would not allow the medical treatments necessary to sooth him of his final diseases. He will stop his medicine on February, 1st, encouraged to a suicide, which is presented to him as euthanasia. He is imprisoned since September 5, 2008, for crimes which he was physically unable to make, within the framework of a file where he exposes the corruption that covers the sexual exploitation of children. The euthanasia in Belgium is legal only when it is endorsed by the Commission of the Euthanasia, composed of eight doctors, four lawyers or law professors and four people dealing with the problems of incurable people. The request must be formulated in a voluntary, reflected way, repeated and without external pressure. The sole repeated external pressures, by the refusal of health, which causes Marcel Vervloesem acute sufferings, are the justification of the request. |
Marcel Vervloesem ha chiesto l’eutanasia il 14 novembre scorso, perchè l'amministrazione della prigione non autorizza i trattamenti necessari per alleviare le malattie terminali. Lui fermerà l'assunzione di medicine il 1° febbraio, incoraggiando un suicidio, che gli è presentato come una eutanasia. Lui è stato imprigionato dopo il 5 settembre, per dei crimini che non era fisicamente capace di compiere, nel quadro di un dossier dove lui espone la corruzione che copre la prostituzione sessuale infantile. L’eutanasia in Belgio, non è legale se non quando è approvata dalla Commissione dell’Eutanasia, composta da otto medici, quattro avvocati o un professore di diritto e quattro persone che si occupano delle problematiche delle persone in stato terminale. La domanda deve essere formulata volontariamente, riflettuta, ripetuta e senza pressioni esterne. Solo le pressioni esterne ripetute per il rifiuto di cure, che motivano le sofferenze acute a Marcel Vervloesem, motivano così la sua domanda. |
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Marcel Vervloesem - Droits des Prisonniers Sonnette en prévision d’un infarctus sans témoin Le Dr Van Mol, Médecin chef de toutes les prisons belges, a fait transférer Marcel Vervloesem en dehors du centre médical, dans une cellule avec sonnette, testée en prévision d’un infarctus. Il le prétend être en état d’être soigné dans n’importe quelle prison, malgré 110 jours d’hospitalisation carcérale en 4 mois et 6 opérations d’urgence en 10 jours. Il n’avait pas passé une nuit à l’hôpital durant les 17 mois qui ont précédé cette incarcération. Perclus de maladies incurables, Marcel Vervloesem est réveillé 15 fois par nuit. C'est la procédure pour voir s'il n'est pas mort, expliquait le ministère de la justice en 2005. Un codétenu aurait eut l’avantage d’être plus humain et démocratique, mais l’inconvénient de laisser un témoin à cet infarctus prophétisé. Il a perdu tout espoir de terminer ses jours dans la dignité. Il demande l’euthanasie, soit son droit à mourir dans la dignité. |
Marcel Vervloesem - Prisoners' Rights Bell in prevision of a heart attack without witness Dr. Van Mol, Head Doctor of all the Belgian
prisons, had Marcel Vervloesem transferred out of the medical centre,
in a cell with a bell, tested in prevision of a heart-attack. He pretends
him in a position to be treated in any prison, in spite of 110 days
of prison hospitalization in 4 months and 6 emergency surgeries in 10
days. He had not spent a night at hospital during the 17 months that
preceded this imprisonment.
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Marcel Vervloesem - Diritti dei prigionieri Campanello nel caso di un infarto senza testimoni
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Priorité politique et économique des soins de santé en prison
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Political and economical priority of health care in prison
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Priorità
politica ed economica per le cure della sanità in prigione Medico capo di tutte le prigioni belghe, l’avviso del Dr Francis Van Mol vince su ogni suo collega , quanto alla previsione di un detenuto di sopravvivere alla vita di prigione. E' lui, il luminare del Ministero della Giustizia, che fa le diagnosi a distanza dei pazienti che non ha mai visto, opponendosi alle ospedalizzazioni prescritte dai medici che li hanno in trattamento. Lui si sgranocchia un morto per settimana, di cui 36% di suicidi, credendo alle statistiche del ministero. Lui è il tredicesimo medico che si occupa del dossier medico di Marcel Vervloesem, ma il primo che lo pretende che sia stato curato correttamene in prigione... |
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