Le principe selon lequel n'importe qui peut vivre pratiquement gratuitement dans une ferme collective par l’utilisation de l’eau magnétisée pour l’agriculture, la pisciculture et l'élevage du bétail s’applique également aux personnes sans abri et aux demandeurs d’asile.
Ces fermes collectives peuvent être construites dans des complexes bio-intégrés modernes, aussi bien que dans de vieilles fermes rénovées. Elles offrent des domiciles fixes à leurs locataires, qui bénéficient alors d'un revenu minimum vital adapté à leur situation, puis la possibilité de trouver un emploi.
Ces fermes collectives s'inspirent du modèle que les Tchétchènes ont ramené de Grèce à 514 av. J.-C. et qui ont nourri leurs villages pendant 2500 ans, jusqu'à ce que les autorités soviétiques centralisent leur gestion à Moscou.
Ces fermes collectives seront autogérées conformément aux lois athéniennes d’origine, mais supervisées par les services sociaux locaux, afin que chaque locataire bénéficie du minimum vital et d’un accès à un service de santé approprié pour ne pas reproduire les erreurs du passé.
Il convient de souligner que la plupart des locataires de ces fermes collectives ont besoin d’un soutien psychologique ou d’une thérapie afin de leur permettre de se remettre des événements qui les ont chassés de chez eux.
Il faut également souligner que tous les demandeurs d'asile ont besoin d'avocats spécialisés pour les aider à porter plainte contre les organisations criminelles à l'origine de leur exil et pour permettre à chaque pays de lutter contre ce fléau ou de cesser de se plaindre.