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Childfocus déclare la guerre à la Fondation Princesse de CroÿJacqueline de Croÿ - 8 mai 2007Tout faisait croire à une interminable succession d'accidents pour lesquels le Baron Cardon, Président de Childfocus, avait une excuse. Le scandale venu de Roumanie sur l'aide fictive aux enfants disparus fut objet d'une explication officielle polie, mais également d'une explication officieuse qui s'avère être un caviar d'altérations de la vérité et d'atteintes à l'honneur de la Princesse de Croÿ et sa fondation, du Werkgroep Morkhoven et une journaliste roumaine.En 2001, Jacqueline de Croÿ employait la belle-fille du Baron Cardon dans son école, que le réseau Nihoul-Nigeria tentait d'utiliser pour du trafic d'enfants. Il lui avait promis une aide qui n'arriva jamais et elle ferma son école pour se recycler dans la lutte contre la traite d'enfants. En Flandres, au Werkgroep Morkhoven, Marcel Vervloesem avait saisi les cédéroms de Zandvoort : la première preuve de traite d’enfants en Europe comprenant les photos de 90.081 assassinés, violés, torturés et victimes pornographie. Il fut victime d'une succession de cabales, qui sembla devoir excuser le défaut de toute enquête, laissant au moins 90.081 criminels en liberté, sans que Childfocus ne veuille intervenir. Les accidents se sont succédés: Childfocus accepta les honneurs d'une enquête du Werkgroep Morkhoven, qui mena l'arrestation d'un criminel de Zandvoort et quinze mètres cubes de pornographie d'enfants. Une plainte en provenance de Childfocus transforma une campagne de sensibilisations aux dangers des réseaux en poursuites pour "diffusion de pornographie d'enfants". Tout était de la faute de Jean-Denis Lejeune, non pas de Childfocus, répondra le Baron, mais rien n'a changé, au contraire. La Belgique refuse de considérer les associations de malfaiteurs dans le cadre de l'exploitation sexuelle d'enfants. Les affaires sont systématiquement cadenassées. Victimes et témoins sont sujets aux mêmes harcèlements tant qu'ils résistent. Aucun n'y échappe, pas même une Princesse de Croÿ, tout Altesse Sérénissime puisse-t-elle être. Ca fait part du métier, où le plus fort est le plus diffamé. Ces jeux illégaux sont normaux tant qu'ils proviennent de bandits, mais pas d'une organisation dont la Présidente d'Honneur est la Reine des Belges. Childfocus a obtenu 200.000-euro du programme Daphné (CEE), pour simplement ACTUALISER un site web hébergeant "Childoscope" un annuaire Internet d'organisations européennes actives à la recherche d'enfants disparus et sexuellement exploités. Il apparut que son partenaire roumain n'avait jamais recherché d'enfants disparus et n'offrait aucune aide aux victimes. Quatre organisations roumaines avaient été inscrites à leur insu avec des informations détaillées qu'elles n'avaient jamais données. Aucune ne visait à rechercher les enfants disparus. La nouvelle n'aurait jamais quitté la Roumanie si elle n'était pas arrivée à la Fondation. Daphné ayant été stricts au point de refuser de leur subsidier une cartographie Internet des réseaux, l'affaire roumaine résulta à un tollé de questions sur l'utilisation des fonds européens et les mesures de contrôle.
La réponse officielle de Childfocus contenait une sérieuse altération de la vérité et embobina le reste dans des justificatifs qui n'excusent pas les faits avec des corrigendum sur des queues de cerises, mais resta polie. La réponse officieuse, signée de Delphine Moralis, secrétaire général suppléante, sous-entend que le réseau Zandvoort, duquel INTERPOL a compté 90.081 victimes, ne serait que des "rumeurs et présumés scandales". La Fondation Princesse de Croÿ pense que tout négationnisme de crime contre l'humanité doit être puni par la loi, considérant des circonstances aggravantes, quand en provenance d'une association sensée combattre les crimes commis. Le Baron reconnaîtra qu'il était peu judicieux d’envoyer un écrit visant à porter atteinte à l’honneur d’une Princesse de Croÿ. Le comble provient d'altération de la vérité au sujet de Marcel Vervloesem, qui a recherché et trouvé les preuves de ce réseau au péril de sa vie et grâce à qui des douzaines des pédocriminels ont été incarcérés. On notera la moralité de Childfocus d'insulter le travail de cet homme, sachant qu'il est en stade final et ne vivra probablement pas assez longtemps pour qu'ils doivent lui en réponde devant un tribunal. Au cas où il ne survivrait pas jusqu'au bout du procès, la Fondation Princesse de Croÿ et le Werkgroep Morkhoven assureront de rendre à son nom les honneurs qu'il mérite, et à sa fille les dommages qui leur reviennent.
Lettre intégrale de Melle Moralis, & corrigendumDelphine
Moralis < delphine.moralis@childfocus.org Cher Monsieur, Merci de l’expédition de ce document. Cet article est pris du site Web de Fondation Princesse de Croÿ et est en soi un résumé d'un article du Jurnalul National roumain. Le Jurnalul National est un journal "tabloïd", qui a l'ambition de s'impliquer dans des affaires de disparitions d'enfants, en publiant des photos en ligne.
Les références à l'article sont : - http://groups.msn.com/fondationprincessedecroy/scandalechildfocusampdaphn.msnw L'article original comprend beaucoup d'erreurs effectives, desquelles nous accentuons brièvement ce que suit : - des 5 organismes énumérés dans l'article, seulement 3 sont inclus dans le Childoscope
- Salvati Copii n'a pas reçu un gros montant d'argent, mais 1000-euro pour des coûts liés au travail effectué;
- le but de l'annuaire n'est pas de faciliter le financement extérieur;
- Salvati Copiii n'a pas fourni l'information comme décrit, mais les organismes inclus dans le Childoscope ont complété un questionnaire eux-mêmes - ...
Le résumé de l'article est très bref et encore plus biaisé que l'article original, déjà basé sur des erreurs effectives. Tel que le titre "Childfocus et le programme Daphné de la CEE au centre d'un scandale en Roumanie" a été ajouté par Fondation Princesse de Croÿ. Aucun écho additionnel n'est apparu dans la presse après la publication du National de Jurnalul, ce qui contredit le scandale suggéré.
La Fondation Princesse de Croÿ est une association développée autour de la personne de Jacqueline de Croÿ et prétend combattre toutes les formes de pédophilie. L'approche de Fondation est enracinée sur une collection systématique de rumeurs et de présumés scandales. Des faits objectifs ne sont pas généralement considérés dans l'approche. Ainsi, l'association a développé un état de paranoïa générale, dans lequel se trouvent de respectés politiciens, policier et des juges sont assumés conspirer dans le monde entier à protéger des pédophiles.
La Fondation Princesse de Croÿ dit sur son site Web être une 'association de fait' avec le Werkgroep Morkhoven. Le Werkgroep Morkhoven belge est un groupe de personnes qui prétend agir contre l'exploitation des enfants. Ils font partie des "croyants" qui ont émergé après l'affaire Dutroux, et qui feignent révéler des prétendues conspirations et réseaux des pédophiles. Le coordinateur du groupe, Marcel Vervloesem lui-même, a été condamné pour avoir abusé de 5 mineurs aussi bien que pour la possession de la pornographie d'enfant.
Child Focus a toujours insisté pour garder l'organisation et ses méthodologies incertaines à distance. Childfocus ne fonctionne que dans l'intérêt des enfants et a pour politique pour ne pas gaspiller quelque énergie valable sur les articles erronés et à sensation paraissant dans les tabloïds.
Meilleurs souvenirs, Delphine Moralis _Illustration:_ Article original en Français La Dernière Heure, 16/11/2006, page 13: Chasseur de pédophiles pervers. Marcel Vervloesem condamné à cinq ans de prison dont 3 ferme TURNHOUT Le tribunal correctionnel de Turnhout a condamné mercredi Marcel Vervloesem à cinq ans de prison dont trois ferme. Celui qui s´était autoproclamé "chasseur de pédophiles" a été reconnu coupable de viols et d´attentats à la pudeur sur des mineurs d´âge ainsi que de possession de matériel pédopornographique. M. Vervloesem a été acquitté au bénéfice du doute d´un certain nombre de préventions de viol. Il a déjà annoncé qu´il interjetterait appel. Marcel Vervloesem a comparu pour huit dossiers. Le plus gros concernait les viols et attentats à la pudeur commis sur neuf mineurs entre 1970 et 1993. Il a été condamné pour 6 faits et acquitté pour 3. Le prévenu a été reconnu coupable sur toute la ligne dans d´autres dossiers. Il avait notamment abusé de trois mineurs il y a deux ans à peine. Selon le juge, les déclarations des victimes sont crédibles.
Il a aussi été condamné pour infractions à la vie privée, pour avoir diffusé des photos d´enfants sur le site de son association, le Werkgroep-Morkhoven. Le site avait par ailleurs utilisé des photos d´enfants pour la création d´affichettes. Pour ces faits, Marcel Vervloesem a écopé d´une peine d´un mois de prison et de 550 euros d´amende.
"Les faits commis par M. Vervloesem méritent une peine sévère", a commenté le juge. "Il a mené la lutte contre la pédopornographie et la pédophilie alors qu´il se rendait lui-même coupable de tels faits." Vervloesem animait le groupe Morkhoven. (belga)
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