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Jurnalul: un exemple pour ChildfocusMars 2007 Selon le site de Child Focus, il n'y aurait pas un seul enfant roumain disparus. Les journalistes du Jurnalul en ont trouvé cent soixante-sept, dont vingt et un morts. Anghel Sibiean, né à Arad, a disparu à Bruxelles le 17 mars 1996 à l'âge de six ans. Comme pour faire honte à la Belgique, Child Focus et la police fédérale ne sont même pas parvenu à trouver une photo de lui, alors que tous les ans, les écoles belges font des photos de classe.On découvre avec stupéfaction l’extraordinaire avance de la Roumanie dans le domaine de la recherche d’enfants disparus, largement dû à la presse roumaine, le cas échéant, le "Jurnalul National".La police mettait jusqu’à 48 heures avant d’entamer la recherche d’une enfant disparu alors que toutes les études démontrent que ces premières 48 heures sont souvent vitales à l'enfant. Les journalistes ont ouvert un site, Copii Disparuti, de qualité bien supérieure à tout ce qui se fait actuellement en matière d'enfants disparus. Outre la photo et la description des victimes, chacune sont accompagnée des articles publiés au sujet de leur disparition, ce qui rend à chaque tragédie sa dimension. En deux ans et sans "subside de la CEE", les journalistes du Jurnalul ont réussi à mettre en place un programme semblable à "Alerte Ambre" en Roumanie, alors qu'il a fallu sept ans aux initiateurs du projet pour le mettre en place au Canada. Ils ont fait une campagne et récolté suffisamment de signatures pour faire pression sur le gouvernement roumain, afin de changer les lois et déclancher les enquêtes immédiatement. Ils sont si bien parvenus à sensibiliser leurs lecteurs, qu'ils ont obtenu les informations nécessaires à retrouver deux garçons, l’un disparu depuis huit ans, l’autre depuis dix ans. Pendant ce temps en Belgique, un "dossier difficile mais exemplaire", selon Child Focus. Une jeune fille de quinze ans avait fugué. La police avait mis treize jours pour démarrer l’enquête, deux mois pour les recherches étendues et six mois pour la première reconstitution. Au septième mois de disparition, la Fondation Princesse de Croÿ lança une pétition pour la Contribution de la Presse à la Recherche des Enfants Disparus. Les médias belges s’y sont alors vaguement intéressé, mais les français refusaient la demande d'assistance de Jean-Denis Lejeune, disant qu'elle n'était certainement pas en France. La jeune fille revint treize mois plus tard, précisément de la frontière française, à 80 kilomètres de chez ses parents. Elle avait rétréci de cinq centimètres, ses artères s'étant tassées tant elle avait eu froid. Exemplaire! Child Focus et ses centres nationaux et internationaux d'enfants disparus et sexuellement exploités, peuvent donc prendre exemple sur la Roumanie, mais plutôt que de lui rendre hommage, ils viennent de débarquer à Bucarest avec leurs millions, pour monter un centre "reproduisant Child Focus comme modèle", comme pour voler la vedette à ceux qui la mérite et la donner à son partenaire soupçonné de fraudes aux subsides alloués par la CEE! Bien qu'ayant obtenu 200.000-euro en 2004 de la CEE pour compléter, actualiser et promouvoir le Directory of Civil Society Organisations de Childoscope, et pour faire du site web un instrument dynamique et interactif. (Projet 2004-2/029/YC, et 2004-2/026/C), Child Focus n'a toujours pas intégré Copii Disparuti dans sa base! |
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