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Zandvoort - CoralQuand le magistrat français se déculotta pour abuser de NordineJacqueline de Croÿ - 2005 Le Coral fut fondé en 1977 à Aimargues, un ravissant village du Midi de la France, par Claude Sigala, un éducateur spécialisé et cinéaste, bourdonnant autour de la révolution sexuelle française de mai 68. La mode était aux écrivains qui publiaient des romans de leurs amours avec "des enfants consentants", dans un langage ampoulé, en rimes, comme si cela pouvait effacer leurs crimes. Le Coral était un "lieu de vie" où environ 10 adultes s'occupaient de 5 enfants psychotiques et autistes. Ils appartenaient à un mouvement visant à faire reconnaître le droit à la différance, à la tendresse et à la caresse... de vieux cochons en érection sur des enfants. Il s'agissait d'un "débat philosophique" et de "liberté sexuelle" d'enfants émotionnellement handicapés, que le Coral estimait faire partie d'une "thérapeutique nouvelle". Un garçon de onze ans, fut retrouvé mort, la tête noyée dans un seau d'eau en 1979. Son autopsie démontra qu'il avait été sodomisé. Un jeune majeur fut jugé coupable mais irresponsable du meurtre et du viol et enfermé en psychiatrie. Trois ans plus tard, en 1982, il était à nouveau au Coral, avec Willy Marceau, un poète et maquereau d'enfants âgé de 21 ans. Jean-Claude Krief, également âgé de 21 ans, avait passé son enfance en institution en raison de problèmes de santé de ses parents. Il était rentré en contact avec Marceau après avoir lu son recueil de pédo-poésies. Il voulait exposer que l'abus n'était pas un plaisir pour les enfants. Il comprit avoir à faire à un réseau, quand Marceau lui demanda de développer des photos pépornographiques à partir de diapositives. Marceau le dirigea au Coral, où le mot de passe pour entrer était d’avoir lu le livre "Visiblement, Je Vous Aime" de Claude Sigala. Jean-Claude Krief avait gardé un très mauvais souvenir de "l'amour visible" qu'il lui avait été imposé à consentir. Il passa l’épreuve du livre et s’infiltra au Coral, en tant qu’éducateur pour les enfants handicapés. Tout les adultes étaient pédophiles et abusaient tranquillement de ces enfants, assurés de leur silence, dit-il. Il vit un défilé de l’internationale pédo-socialiste, des ministres en place où à devenir, les dandys de la révolution sexuelle, des journalistes, des médecins, des psychiatres, de directeurs de services sociaux... Jean-Claude Krief dénonça l'affaire, après avoir découvert une valise pleine de photos pédopornographiques. Il illustrait le dossier de la photo d’un administrateur du Coral: un magistrat français déculotté en train d’abuser de l'infortuné Nordine, âgé de 11 ans et qui ne parlera jamais, s’il est encore en vie. Trois enfants du Coral avaient déclarés aux enquêteurs avoir été sodomisés et l'un des directeurs, Jean-Noël Bardy, reconnaissait avoir eu de ces "activités sexuelles thérapeutiques". Il a été incarcéré, avec Sigala et Marceau. Le juge Salzman lança 343 mandats à l'encontre de personnes qui se rendaient au Coral, présuma qu'ils assouvissaient leurs perversités sexuelles, plutôt que pour observer des enfants handicapés. Parmi eux, les écrivains Matzneff et Schérer du cercle de Tony Duvert, un journaliste du magazine pédophile "Gai Pied". Trois ans plus tôt, les écrivains avaient témoigné que Jacques Dugué n'avait pas abusé d'enfants, mais qu'ils avaient eu des relations sexuelles consentantes. Dugué était entre autre, poursuivi pour une photo vendue par le réseau Zandvoort au magazine "Pissing Lolita", d'un jeune garçon dégoulinant.
François Mitterrand venait d'être élu le premier président socialiste de la république française. Le dossier était politiquement intenable, au motif du nombre de personnalités socialiste exposées, dont le ministre de la culture qu'il venait de désigner. Le Capitaine Barril de la gendarmerie avait reçu alors instruction de stopper l’enquête du fait du nombre de personnalités : ministres, magistrats, journalistes, même un rédacteur en chef et un chroniqueur du journal "Le Monde", etc. Le dossier termina dans le garage du supérieur hiérarchique de l'enquêteur principal, avec celui de Kripten, un réseau satanique pédocriminel allié à la Belgique. Michel Krief, frère de Jean-Claude, sera retrouvé mort. Tous croiront à un meurtre, excepté la police qui conclura à un suicide. Un faux procès-verbal accolé d'une signature qui ressemblait à celle de Jean-Claude Krief, blâmant l'écrivain Shérer et le Ministre Lang d'abus d'enfants. Piège ou fausse signature, nul ne le sais mais Krief fut incarcéré pour cela dans la même prison que Sigala. Le témoin principal fut invité à avouer par écrit avoir tout inventé par dépit amoureux pour le fondateur du Coral, avec un style ampoulé et une orthographe qui ne lui appartient pas, suite à trois "tentatives de suicide". Le juge Salzmann ferma l'affaire Coral avec quelques condamnations symboliques, malgré les aveux d'un des directeurs et les cris outrés des philosophes qui réclamaient la libération de la pédophilie, se prétendant victimes de "délit d'opinion". Jean-Claude Krief, traité de mythomane, s'empressera d'apporter son dossier l’avocat Baduel, qui défendait une victime du réseau Kripten, car le même Willy Marceau inculpé du Coral, était de ceux qui avait prostitué son client. Kripten était allié par ses membres au réseau CRIES implanté dans les locaux de l’UNICEF à Bruxelles, et a Weinstein du réseau Nihoul/Dutroux. Toutefois, Baduel introduira un dossier pour la défense du maquereau qui se disait victime du réseau, pour avoir dénoncé ses concurrents! Les enfants passés par ces réseaux sont dans un tel état qu'il n'y a rien à craindre d'eux. Comment l'alliance Coral/Zandvoort a été établieEn 1998, l'association belge Werkgroep Morkhoven était sur les traces du réseau Zandvoort depuis dix ans. Les activistes étaient parvenus à mettre main sur leurs archives et les apportaient à la police. Ils enquêtaient sur la photo N°9, qui représente un adulte et un enfant tenant en main le pénis de l'autre. En rendant visite à une association suisse, Marcel Vervloesem, enquêteur principal, découvrait le dossier de Baduel et la photo de celui qui Krief disait être le magistrat. Le juge Salzmann avait instruit de multiples affaires alliées au réseaux Zandvoort avec une maladresse égale, dont de Jacques Dugué qui avait été condamné à des peines symboliques, jusqu'à ce que trente ans plus tard, il ait récidivé sur les enfants des ses premières victimes. Il reconnaîtra alors être un des approvisionneurs de pornographie d'enfants du réseau Zandvoort. L'enquête sur Cécile Bloch dont la photo fut retrouvée dans les archives de Zandvoort, fut également menée par Salzman et piétine toujours. En revanche, Marcel Vervloesem, qui emmena le dossier Zandvoort en justice, sera condamné pour avoir entrave à la vie privée de cet enfant assassinée vingt ans plus tôt, suite à une plainte de son père qui l'avait reconnue sur un site hollandais, visant a identifier les victimes! Dans les archives du réseau Zandvoort, des listes qui ont la particularité de nommer une série de criminels condamnés ou alliés à l'affaire.
Une gloire de la police belge cherche à blanchir le magistrat.
Il faudra deux ans aux autorités belges pour communiquer que la photo N°9 aux autres services de polices. Mais il ne lui faudra pas deux heures à l'inspecteur Zicot pour répondre que l’adulte figurant sur la photo N°9 serait Marcel Danze, un exploitant de vidéo club connu dans le milieu de la prostitution de Charleroi. Scotland Yard est formel: Danze n'est pas l'homme de la photo n°9. Cela se voit du premier coup d'oeil. Les calvities des deux hommes ont des naissances différentes. L'un a besoin de lunettes, l'autre pas. L'un ressemble à un magistrat, l'autre à une fripouille. L'inspecteur Georges ZICOT n'aura jamais à expliquer pourquoi il s'est tant empressé à vouloir blanchir ce magistrat avec une fausse piste aussi magistrale et il a été promu de l’ancienne police judiciaire de Charleroi, en tant que commissaire police fédérale de Bruxelles. Il sera innocenté d'accusations de faux, usage de faux et escroquerie dans le cadre du réseau Dutroux. Spécialiste du vol de voiture, il était intervenu à plusieurs reprises à la faveur de cette bande. Il était accusé d'avoir orienté les soupçons de fraude à l'assurance envers des ennemis de service alors qu’il avait reçu des informations mentionnant Dutroux; d'avoir oublié d'avertir sa hiérarchie de faits importants dans le cadre d'affaires dans lesquelles Dutroux était soupçonné et d'avoir protégé celui désigné pour avoir "évacué" la voiture dans laquelle ont été enlevées Julie et Melissa. En 2005-2006, les fausses pistes se multiplient.L'avocat Baduel dira que Jean-Claude Krief était mort de mort naturelle, emportant avec lui le secret de son dossier et que son frère s’était réfugié dans un kibboutz en Israël. A l’opposé, le comité de soutien du magistrat assure que les frères Krief auraient été des agents spéciaux des services secrets français qui auraient, avec l’aide de la brigade des stupéfiants et du proxénétisme, fait un montage pour embêter un honnête magistrat qui lutte contre la pédophilie. Pour résumer leur version : Jean-Claude Krief aurait confondu l’institut pour enfants psychotiques et autistes à un quartier général socialiste ; les services secrets l’auraient payé pour aller acheter des photos pédopornographiques dans des sex shops en Belgique et en Hollande. Son frère et lui se seraient inscrits au parti socialiste et chez les "autonomes", un groupuscule communistes violents, pour espionner l’un et manipuler l’autre, ce qui aurait mené non pas à la mort naturelle de Jean-Claude, mais au suicide de son frère Michel. Les services secrets, suspectés d'avoir assassiné Michel, auraient alors payé un billet d’avion à Jean-Claude afin qu’il puisse se réfugier en Israël. Rien de très logique. En revanche, la mort tragique de Michel était susceptible de
plonger toute la famille Krief dans un suicide collectif, ce qui
aura pu inciter Jean-Claude à rétracter ses accusations. On constatera
pourtant que ce ne sont pas les officiers des services secrets,
ni les bouillants jeunes communistes qui se laissaient photographier
nu en abusant des enfants, mais bien un juge de la jeunesse allié
à tout ce qui a de plus pompeux dans le gouvernement et la magistrature
française. Son comité de soutien est scandalisé de la dénonciation
de cet homme dont nul n’ose sortir le nom, de peur de voir sa
famille suicidée et se retrouver en prison.
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