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De Clerck ordonne d'achever Marcel Vervloesem?!Jacqueline de Croÿ - 24 mars 2009 Les médecins avaient préconisé deux opérations à coeur ouvert, dés la cicatrisation de la blessure laissée par le cathétérisme cardiaque. L'opération a été faite en une fois, alors que la blessure saignait depuis quatre mois. Marcel Vervloesem a trois cicatrices : une verticale au milieu du thorax, une horizontale quelques centimètres en dessous de la verticale et une à sa jambe droite, de bas en haut, le long d'une veine. Son pied gauche a été menotté et enchaîné au lit d'hôpital, alors que les rictus de la mort le défiguraient. Dix jours après l'opération, il était de retour à la prison de Bruges, à la section non médicalisée, réservée aux détenus les plus dangereux de Belgique. Depuis, le Ministre de la Justice prévoit de le transférer dans une prison "plus humaine", à Turnhout, où il n'y a ni infirmerie ou approvisionnement régulier en insuline, dont il dépend pour vivre. Pendant ce temps, la Cour d'Appel d'Anvers a reporté le jugement qui doit le déposséder de ses quelques meubles et bibelots, pour payer les dommages à ses calomniateurs. La Cour avait décidé de cette date l'an dernier en pensant qu'il serait déjà mort, mais il n'était que dans un coma pharmacologique. Les magistrats étaient dans la situation de ne pouvoir savoir s’ils allaient condamner un prisonnier mort ou déposséder sa fille, Wendy, du peu de souvenir de ses parents. Ils devaient également décider qui devra payer les frais de justice pour les calomnies de l’oncle, ainsi que des amis d’enfance de Wendy, pour huit plaintes déboutées après que l’un d’eux ait reconnu qu'ils avaient été payés 375 euros chacun pour ce faire. L'audience s'est tenue à huis clos, puisqu'elle devait révéler que Marcel Vervloesem était entre la vie et la mort. Les juges ont estimé qu'il serait psychologiquement négatif pour les plaignants de juger le dommage à un pareil moment. L'un des jeunes avait rétracté sa plainte en disant que ses amis et lui avaient menti sous la menace de maison de correction pour trafic de drogue. Ils venaient souvent demander à Marcel de raconter encore et encore, ses aventures lorsqu'il piégeait les pédocriminels Zandvoort, pour libérer les enfants disparus dans les bordels hollandais. Il était donc psychologiquement négatif de leur octroyer des dommages, pour avoir donné par un mensonge dont ils ne se pardonneront jamais, l'arme que la justice belge utilise pour assassiner un homme qu'ils admirent. L'avocat de Marcel a évoqué les accusations du PSD, service social de la prison financé par le Ministère de la Justice, selon lesquelles la Cour d'Appel bloquait son dossier, de manière à ce qu'il soit privé de congés pénitentiaires. La Cour d’Appel aurait répondu que le PSD n’a aucun besoin du dossier pour lui accorder ses droits de prisonnier, ni l'habilitation de juger ce qui a déjà été jugé. C'est la première fois, dans ce dossier, qu'on nous rapporte une parole de magistrat qui a un sens. En revanche, l'un des magistrats aurait dit que la condamnation n'avait pas eu pour objectif de le tuer. Juste de lui donner une bonne leçon, peut-être? Marcel Vervloesem a mené les recherches pour l'ONG Werkgroep Morkhoven, qui ont mené à la découverte du réseau Temse/Madeira. Le Sénateur Brongersma (1911 † 1998) faisait part de ce cercle d'homosexuels qui avaient constitué ses collections pédo-porno comme un jeu. En mars 1998, à près de 87 ans, il découvrait Marcel Vervloesem qui racontait à la télévision le marché derrière ces photos, qui sont ces enfants dont l'enfance est volée, et la souffrance des parents de ceux qui disparaissent. Le vieux sénateur envoya une lettre à Marcel, pour dire qu'il transmettait toute sa "collection" à la police allemande. Il tenta plusieurs fois de se suicider, puis obtenait un suicide assisté, le 22 avril 1998. Marcel Vervloesem a découvert le fichier Zandvoort, avec plus de 100.000 photos de pornographie et torture d’enfants, parmi lesquelles, figure un magistrat français déculotté. Il s'est retrouvé en prison, pendant que la culotte du magistrat était classée secret défense en France. La Hollande a traité le dossier de la même manière, parce qu'il comporte également une culotte royale hollandaise. C'est la parade de régimes qui ne diffèrent de celui de Hitler, que par une meilleure qualité de sa propagande. Vidéo Temse/Madeira, qui mena le Sénateur Brongersma au suicide (Faits Divers - RTBF - mars 1998) |
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