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Princesse Jacqueline de Croÿ

En 1988, le monde de la petite enfance était réduit à la mère au foyer, la gouvernante ou des dites "crèches parking bébés". La Princesse Jacqueline de Croÿ créa la première Baby School en Europe. On y mettait un pinceau dans les mains de bébés et y faisait de l’éveil musical. En 2001, un jardin d’enfants s’était adjoint à la Baby School quand un contacte d’Annie Bouty, compagne de Nihoul du réseau pédocriminel Dutroux, décida de l’utiliser pour y faire passer des enfants d’école à bordel.

Comme la presse assurait qu’il n’y avait pas de réseaux en Belgique, il fallut que cet homme tente d’enlever trois élèves de l’école et séquestre leurs trois frères et sœur aînés pour que la Princesse de Croÿ n’ait plus le moindre doute. Elle frappa à toutes les portes pour obtenir de l’aide : polices, services communaux, régionaux, judiciaires, sociaux, administratif et de la protection de l’enfance, ministère des affaires étrangères, centre anti-raciste avaient failli ou refusé toute intervention. Il apparut que ces enfants avaient été empoisonnés, emmenés dans des bordels et torturés, ce qui sera attesté par certificats médicaux. Ils avaient eu pour professeur à l’école, la belle-fille de Daniel Cardon, président de Child Focus, qui n’est pas intervenu.

Le père des victimes, qui avait un pied dans la tombe faute de secours, fut à son tour victime d’une "erreur judiciaire", en emprisonné durant deux mois. Les parents des autres élèves, terrorisés par le refus d’assistance malgré l’ordonnance d’un juge de la jeunesse, désertaient l’école qui dut être fermée. La Belgique aura violé au moins trente-deux articles des conventions européennes.

La Princesse de Croÿ décida d’offrir les armes de sa famille et de consacrer sa vie au service de la lutte contre la traite d’enfants. Elle rencontra les activistes du Werkgroep Morkhoven, auteur de la saisie des archives du réseau pédocriminel Zandvoort, qui compte les photos de 90.081 enfants alors qu’ils sont torturés, violés ou exploités à l’imagerie pornographique. Elle découvrait avec stupéfaction que le déni des droits fondamentaux était une généralité réservée aux victimes et témoins de réseau alliés à Nihoul. Il en résulta une association de faits explosive, principalement dédiée à la diffusion de l’information.

Depuis qu’elle a engagé ce combat, la Princesse de Croÿ est objet de toutes les cabales et harcèlements qu’endurent tous ceux qui dénoncent les réseaux. Son école sera "fermée" par l’état, cinq mois après sa fermeture effective, entre autre au motif du placement judiciaire des enfants victimes chez elle. Ils lui seront enlevés avec violence et enfermés dans un orphelinat, avec interdiction de la revoir et séparés de leurs parents sans moindre justificatif. Elle sera destituée de ses droits sociaux dont celui à l’accès aux soins de santé. Elle subira cinq mois de coupure d’électricité et trente et un jours de coupure de gaz. Un juge de paix permettra qu’il lui soit imposé un trou dans son toit durant cinq ans et fera un jugement autorisant la saisie de ses biens immobiliers pour moins d’un demi pourcent de leur valeur.

Renforcée par un millénaire de tradition guerrière, elle a échappé à trois présumées tentatives de meurtre et s’emploie imperturbablement a diffuser l’information, construire une base de données sur le réseau Zandvoort et cimenter les activistes intègres qu’elle croise, pour former une union solide dédiée à la lutte contre la traite d’enfants et la corruption. Une de ses cousines, la Princesse Maria Massimo Lancellotti s'est joint au combat de sous la forme de la Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti.