Version originale
Cabale Zandvoort contre le chasseur de pédophiles
Johan Daneels, ici interviewé il y a dix ans, disait alors au sujet de Marcel Vervloesem:-
- Il m’a tiré sur le lit et a mis une cartouche de stylo à bille dans mon zizi, puis dans mon derrière. Il m'a versé de la cire de bougie de la tête aux pieds. Il a mis des aiguilles dans mes bras, mes couilles et sur la tête de mon zizi.
Il avait cru pouvoir berner le détecteur de mensonge, mais le jour venu, il a paniqué, refusé de le passer et cria furieux:
- C'est un coup de poker. Si Vervloesem s'en sort, c'est moi qui me retrouverai prison.
Un autre plaignant avoua qu'ils avaient été payé 375 euros pour porter de fausses plaintes, dont en partie par la presse. Johan Daneels a fini par refuser de se faire représenter par l'avocate de la bande.
Les médecins ont attesté que le taux de sucre dans le sang de l'accusé et l'état de son coeur étaient tels, que le Viagra qui eut été nécessaire à la performance des viols décrits, l'aurait tué sur le champ.
A la Nouvel An 2008, les parents du village de Morkhoven se sont entendus pour que 40 enfants viennent chanter pour Marcel Vervloesem. Un jeune, qui comme Johan Daneels, l'avait accusé de viols par pénétrations anales, buccales, alors que la médecine l'en démontre incapable, et par cartouches de stylos à bille dans le pénis, est également venu chanter pour lui en lui demandant pardon. Il dit avoir été menacé par Victor Vervloesem, également ici interviewé, et que les policiers avaient changé ses déclarations.
Celui qui avait avoué avoir été payé pour l'accuser d'une orgie sexuelle le jour de son anniversaire de 15 ans, alors que Marcel Vervloesem était en chaise roulante, l'une de ses jambes transpercée de broches, est également venu avec ses trois enfants, qui ont chanter pour lui.
Le jugement est attendu le 6 février 2008.
TRADUCTION LIBRE:
Marcel Vervloesem de l’ONG Morkhoven, est connu, selon ses propres mots, pour la lutte contre l’abus d’enfants. Dans nos nouvelles de 7 heures, son frère Victor Vervloesem avait témoigné avoir été abusé quand il était mineur. Marcel Vervloesem nie les accusations et parle d’un règlement de compte.
Ce soir, au centre du Werkgroep Morkhoven, l’ONG qui lutte contre la pornographie d’enfants, le président qui patrouille nerveusement devant la maison de Victor Vervloesem (frère de Marcel Vervloesem), qui travaille pour l’association et il y a quelques mois, était au milieu de la presse mondiale pour sa lutte contre la pornographie d’enfants. Mais dans la maison, un jeune homme de 26 ans témoigne avoir été abusé par Marcel Vervloesem quand il était mineur.
J.D. Il m’a tiré sur le lit et m’a mis une cartouche de stylo à bille dans mon zizi, puis dans mon derrière. Il m'a versé de la cire de bougie de la tête aux pieds. Il a mis des aiguilles dans mes bras, mes couilles et sur la tête de mon zizi.
Il est un des cinq témoins qui portent plainte à la Cour de Turnhout contre Marcel Vervloesem. Les faits datent d’il y a onze ans, mais les premier abus de Vervloesem datent de quand il avait dix ans. Il est le deuxième témoin d’abus sexuels de Marcel Vervloesem. Précédemment dans la journée, Victor Vervloesem témoignait avoir été abusé sexuellement.
V.V. J’ai été abusé de 1977 à 1981.
Q. - De quelle manière ?
V.V.Sexuel – branches – cuillère.
Marcel Vervloesem nie les accusations. Il va porter plainte contre son frère Victor et les autres plaignants:
M.V.Je n’ai jamais abusé de mon frère et jamais je ne le ferai. Mon frère doit revoir ce qu’il dit. Il y a eut dans le temps une enquête de la gendarmerie sur des abus sexuels et il a dénoncé un autre homme pour les faits dont il m'accuse maintenant.
V.V.C’était en 1978. Il m’a fait du chantage en me disant qu'il me ferait envoyer en psychiatrie ou en prison. C’est la gendarmerie de Herentals qui a dirigé cette enquête.
Fin du reportage |