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Droit Fondamental
Bruxelles, le 21 janvier, 2008-

Version originale

Français

Cabale Zandvoort contre le chasseur de pédophiles

Voir video sur Youtube

Johan Daneels, ici interviewé il y a dix ans, disait alors au sujet de Marcel Vervloesem:-

- Il m’a tiré sur le lit et a mis une cartouche de stylo à bille dans mon zizi, puis dans mon derrière. Il m'a versé de la cire de bougie de la tête aux pieds. Il a mis des aiguilles dans mes bras, mes couilles et sur la tête de mon zizi.

Il avait cru pouvoir berner le détecteur de mensonge, mais le jour venu, il a paniqué, refusé de le passer et cria furieux:

- C'est un coup de poker. Si Vervloesem s'en sort, c'est moi qui me retrouverai prison.

Un autre plaignant avoua qu'ils avaient été payé 375 euros pour porter de fausses plaintes, dont en partie par la presse. Johan Daneels a fini par refuser de se faire représenter par l'avocate de la bande.

Les médecins ont attesté que le taux de sucre dans le sang de l'accusé et l'état de son coeur étaient tels, que le Viagra qui eut été nécessaire à la performance des viols décrits, l'aurait tué sur le champ.

A la Nouvel An 2008, les parents du village de Morkhoven se sont entendus pour que 40 enfants viennent chanter pour Marcel Vervloesem. Un jeune, qui comme Johan Daneels, l'avait accusé de viols par pénétrations anales, buccales, alors que la médecine l'en démontre incapable, et par cartouches de stylos à bille dans le pénis, est également venu chanter pour lui en lui demandant pardon. Il dit avoir été menacé par Victor Vervloesem, également ici interviewé, et que les policiers avaient changé ses déclarations.

Celui qui avait avoué avoir été payé pour l'accuser d'une orgie sexuelle le jour de son anniversaire de 15 ans, alors que Marcel Vervloesem était en chaise roulante, l'une de ses jambes transpercée de broches, est également venu avec ses trois enfants, qui ont chanter pour lui.

Le jugement est attendu le 6 février 2008.

 

TRADUCTION LIBRE:

Marcel Vervloesem de l’ONG Morkhoven, est connu, selon ses propres mots, pour la lutte contre l’abus d’enfants. Dans nos nouvelles de 7 heures, son frère Victor Vervloesem avait témoigné avoir été abusé quand il était mineur. Marcel Vervloesem nie les accusations et parle d’un règlement de compte.

Ce soir, au centre du Werkgroep Morkhoven, l’ONG qui lutte contre la pornographie d’enfants, le président qui patrouille nerveusement devant la maison de Victor Vervloesem (frère de Marcel Vervloesem), qui travaille pour l’association et il y a quelques mois, était au milieu de la presse mondiale pour sa lutte contre la pornographie d’enfants. Mais dans la maison, un jeune homme de 26 ans témoigne avoir été abusé par Marcel Vervloesem quand il était mineur.

J.D. Il m’a tiré sur le lit et m’a mis une cartouche de stylo à bille dans mon zizi, puis dans mon derrière. Il m'a versé de la cire de bougie de la tête aux pieds. Il a mis des aiguilles dans mes bras, mes couilles et sur la tête de mon zizi.

Il est un des cinq témoins qui portent plainte à la Cour de Turnhout contre Marcel Vervloesem. Les faits datent d’il y a onze ans, mais les premier abus de Vervloesem datent de quand il avait dix ans. Il est le deuxième témoin d’abus sexuels de Marcel Vervloesem. Précédemment dans la journée, Victor Vervloesem témoignait avoir été abusé sexuellement.

V.V. J’ai été abusé de 1977 à 1981.
Q. - De quelle manière ?
V.V.Sexuel – branches – cuillère.

Marcel Vervloesem nie les accusations. Il va porter plainte contre son frère Victor et les autres plaignants:

M.V.Je n’ai jamais abusé de mon frère et jamais je ne le ferai. Mon frère doit revoir ce qu’il dit. Il y a eut dans le temps une enquête de la gendarmerie sur des abus sexuels et il a dénoncé un autre homme pour les faits dont il m'accuse maintenant.

V.V.C’était en 1978. Il m’a fait du chantage en me disant qu'il me ferait envoyer en psychiatrie ou en prison. C’est la gendarmerie de Herentals qui a dirigé cette enquête.

Fin du reportage

-By Jacqueline de Croÿ

Free translation

English

Zandvoort Cabal against the paedophile hunter

Video on Youtube

Johan Daneels, here interviewed 10 years ago, was then saying about Marcel Vervloesem:-

- He drew me on the bed and has put a cartridge of ball point pen in my wily, then in my bottom. He poured on me candle wax, from head to feet. He stuck needles in my arms, my balls and on the head of my wily.

He believed he could fool the lie detector, but when the day came, he panicked, refused to pass it and said furious:

- It is a poker game. If Vervloesem gets away, it is I who will go to prison.

Another plaintif recognized that they had all been paid 375 euros to file false complaints, of which partly by the press. Johan Daneels finaly refused to be represent by the lawyer of the band.

The doctors attested that the sugar rate in the blood of the accused and the state of his heart is such; that the Viagra which would have been necessary to the performance of the described rapes, would have killed him on the spot.

For New Year's 2008, the parents of the village of Morkhoven agreed that 40 children would come and to sing for Marcel Vervloesem. A teenager, who like Johan Daneels, had accused him of rapes by anal and oral penetrations whereas medicine shows he is unable of it, and by cartridges of ball point pens in the penis, also came to sing for him, asking him forgiveness. He had been threatened by Victor Vervloesem, also here interviewed, and the police officers had changed his declarations, he said.

The one who had recognized having been paid to accuse him of a sexual orgy the day of its 15 years birthday, whereas Marcel Vervloesem was in wheelchair, one of his legs pierced by pins, also came with his three children, who sung for him.

The judgement is expected on February 6, 2008.

 

FREE TRANSLATION:

Marcel Vervloesem of the NGO Morkhoven, is known, according to his own words, for the fight against child abuse children. In our 7 o’clock news, his brother Victor Vervloesem had testified to have been abused when he was a minor. Marcel Vervloesem denies the charges and speaks of a revenge. This evening, in the centre of the Werkgroep Morkhoven, the NGO that which fights against child pornography, the president patrols nervously in front of the house of Victor Vervloesem, brother of Marcel Vervloesem, who works for association and a few months ago, was in the centre of the world press for his fight against the pornography of children. But in the house, a 26 year old young man testifies to have been abused by Marcel Vervloesem when he was a minor:

J.D. He drew me on the bed and put a cartridge of ball point pen in my wily, then in my bottom. He poured on me candle wax, from head to feet. He stuck needles in my arms, my testicles and on the head of my wily.

It is one of the five witnesses who filed a complaint at the Court of Turnhout against Marcel Vervloesem. The facts go back eleven years, but the first abuse of  Vervloesem goes back to when he was ten years old. He is the second witness of sexual abuse Marcel Vervloesem. Previously in the course of the day, Victor Vervloesem testified to have been sexually abused:

V.V.I was abused from 1977 to 1981.
Q.- How?
V.V.Sexual - branches - spoon.

Marcel Vervloesem denies the charges. He will file a complaint against his brother Victor and the other plaintiffs:

M.V. I never abused my brother and never I will do so. My brother must re-consider what he says. There was in the past, an investigation of the gendarmerie about sexual abuse and he denounced another man for the facts he now accuses me off.

V.V. It was in 1978. He blackmailed me saying he would have me sent in psychiatry or prison. It is the gendarmerie of Herentals who has directed this investigation.

End of the repport

Viva Italia
Libera traduzione

Italiano

Cabale Zandvoort contro il cacciatore di pédophiles

Video on Youtube

 

 

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