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Procès Zandvoort:Marcel Vervloesem à la Cour d'AppelEn apportant la preuve de l'existence du réseau pédocriminel Zandvoort qui comptait 90.081 victimes en 1998, Marcel Vervloesem n'avait pas imaginé que 10 ans plus tard, il serait objet d'une condamnation illégale, présenté comme le criminel. Le seul et unique.
Vérités judiciaires opposées dans l'Union Européenne 20 novembre 2007Les poursuites à l'encontre de Marcel Vervloesem visent à faire croire qu'il a pris possession du fichier Zandvoort pour son plaisir. Le dossier est allié à l'Opération "Koala", la plus grande opération policière anti-pédophile de tout les temps, avec une saisie de 2 millions d'images pédo- pornographiques, selon l'Italie. Il s'agit d'une "bulle d'air crevée", selon la Belgique, qui demande de condamner Marcel Vervloesem pour un acte de civisme dont le Roi des Belges l'a félicité il y a dix ans. Les autorités belges pourraient ainsi détruire les pièces à conviction concernant les auteurs de crimes sur 90.081 enfants victimes, selon Interpol, en vertu de la loi limitant la conservation des données à caractères personnels à la durée de l'enquête. Anvers. Mercredi 14 novembre 2007 - Sur le banc des accusés de la Cour d'Appel , Marcel Vervloesem qui révéla le fichier Zandvoort comportant 90.081 photos d'enfants victimes de meurtre, viols, torture. Ce fichier n'est qu'une "bulle d'air crevée", a dit le Procureur Tac, qui donne un aspect inattendu aux persécutions absurdes de l'accusé. La photo N°9 du fichier Zandvoort est celle d'un homme au visage penché qui observe son érection dans la main d'un enfant, duquel il tient le pénis entre les doigts. Elle a été soumise à cent vingt-cinq mille trois cent seize tests de corrélation biométriques, parvenant à l'identification d'un magistrat français à 99,03%. Cette photo faisait partie de la production de Gerrit Ulrich, qui vendait de la pornographie d'enfants par Internet de son bureau à Zandvoort, en Hollande. Le 11 juin 1998, le Werkgroep Morkhoven, organisation luttant contre l'exploitation sexuelle d'enfants, fut mené chez Ulrich par Robbie Van Der Plancken, qui avait manifestement l'intention de faire le arrêter. Marcel Vervloesem, enquêteur principal du groupe, était à la recherche de Manuel Schadwald, un enfant disparu à Berlin à l'âge de 11 ans.
Huit ordinateurs branchés à Internet affichaient de la pornographie d'enfants. Piégé, Ulrich donna au Werkgroep Morkhoven le cédérom où figuraient des photos de Manuel Schadwald et prit la fuite. Ce cédérom fut remis aux autorités hollandaises par la télévision hollandaise NOVA, pour éviter qu'il ne disparaisse, comme la pornographie d'enfants disparaît habituellement des Cours de Justice Belges. Etrangement, la justice de Turnhout en Belgique marqua son intention de poursuivre Marcel Vervloesem pour "recel de pédo- pornographie". Ulrich, manifestement pour éviter que Robbie Vander Plancken ne reprenne son commerce après l'avoir trahis, téléphona à Marcel Vervloesem de Lyon et lui indiqua où il cachait l'ensemble de son matériel pédo- pornographique. Robbie Vander Plancken retrouva Ulrich en Italie et le tua par balle. Il plaida l'accident, mais avait possiblement été surpris d'apprendre que l'essentiel du matériel était entre les mains du Werkgroep Morkhoven, donc perdu. Le tribunal italien a retenu un meurtre, pour lequel il effectue une peine de quinze ans de prison.
Le quotient intellectuel de Marcel Vervloesem ne dépasserait pas 88%, selon l'expert. Cet homme est diffamé depuis 20 ans qu'il a fondé le Werkgroep Morkhoven et qu'il est sur les traces du réseau Zandvoort. Il a toujours été poursuivi seul, alors que les décisions de cette association sont prises par un conseil d'administration composé de trois personnes au moins, dont Marcel Vervloesem, et non pas lui seul. Tous étant d'accord, tous sont concernés par le diagnostique de l'expert. Ils seraient donc tous des imbéciles, sans plus de 88% de QI. La bêtise aurait induit le Werkgroep Morkhoven à accepter l'invitation du Procureur Bourlet de lui remettre la totalité du fichier pour enquête, via l'avocate Van Der Smissen. Ce fut fait en vertu des lois européennes demandant aux pays membres de favoriser la remise de ce genre de matériel aux autorités locales, et l'assurance du Procureur qu'il n'y aurait pas de poursuites judiciaires. Le défaut de 12% de QI des membres du Werkgroep Morkhoven leur avait permis de croire que toute la vérité serait faite sur l'affaire Dutroux, comme le Roi des belges en avait fait la promesse. Le Procureur Bourlet était chargé du dossier Dutroux, qui était allié au dossier Zandvoort. Le fichier fut remis avec une plainte contre X pour attentats à la pudeur, viols, violences, menaces, tortures, enlèvements, corruption et prostitution de mineurs, traite des êtres humains, pornographie enfantine, etc. La promesse royale était une garantie qu'il eut été grossier de mettre en doute par une partie civile, ce qui en Belgique, n'est nécessaire que pour s'assurer qu'une plainte soit instruite. L'affaire Dutroux avait induit une modification de la législation belge par l'article 28 quarter du code judiciaire qui stipule que le procureur public, tenant compte des directives de la politique criminelle du ministre de la justice et du conseil des procureurs généraux, décide des poursuites judiciaires. La vérité sur le réseau Zandvoort était susceptible de mettre la Belgique à feu et à sang, par l'apparition de douzaines d'affaires Dutroux. Le Procureur Anne Tilly demanda que le fichier soit renvoyé au tribunal de Turnhout. Le temps démontra que le défaut de constitution de partie civile permit de décider qu'il n'était pas opportun de poursuivre les criminels dénoncés par la plainte, en dépit des ordres du Roi. Tous les dossiers belges alliés au réseau Zandvoort furent mis dans des dossiers séparés. Le seul que la Belgique ait poursuivi est celui qui apporta les pièces, ce qui était imprévu puisqu'il est incontestable que le Procureur Bourlet ait au moins 100% de QI. Le tribunal de Turnhout tissa une toile autour de Marcel Vervloesem, qui avec le temps et via la presse, tentera de faire croire qu'il avait acquis le fichier pour son plaisir, comme s'il avait eu intention de reprendre la tête du réseau sous le couvert d'une ONG d'aide à l'enfance - comme le juge français présumé pédophile en a fait par douzaines. Il sera poursuivi non pas pour recel, mais pour possession de pédo pornographie. Turnhout attendait 2003, soit cinq ans, pour retenir les plaintes de neuf illettrés, eux-mêmes objets de plaintes pour faits de moeurs, qui l'avaient accusés de viols, "pour montrer qui était le chevalier blanc qui dénonçait le réseau de pédophilie", selon leurs déclarations à la presse. La lenteur de Turnhout s'explique que retenir pareilles accusations en 1998 aurait provoqué des émeutes. Le plan s'effondra en 2005, quand l'un des plaignants témoigna qu'ils avaient été payés 250-euro pour porter plainte, 125-euro de plus pour dire à la télévision qu'ils avaient été violés par le "chasseur de pédophiles". Le procès fut retardé.
Victor V., membre de la commune pour le parti socialiste (SPA, avait payé ces montants. Il avait été nommé à la direction du service social. Il avait assuré à trois jeunes qu'ils éviteraient l'institution publique s'ils portaient des accusations de viols contre le "Chasseur de Pédophile"... pour plaire au tribunal de Turnhout ! Jeté en prison, Marcel Vervloesem commença une grève de la faim, mais l'un des jeunes préféra l'institution à la responsabilité de la mort d'un homme que tous admirent et retira sa plainte en racontant ce qui s'était passé. Il y aura un appel dans la presse, demandant que toute "victime de viols de Marcel Vervloesem" prenne contact. Il semblerait que le Procureur TAC a retenu les deux autres accusations de viol par distraction, tant il y a de preuves que les propos sont mensongers... à moins qu'il n'ait but de diaboliser Marcel Vervloesem afin d'obtenir la destruction des cédéroms de Zandvoort?
Le moins que l'on puisse espérer en matière de réseaux pédocriminels internationaux, est une vérité judiciaire uniforme au sein de l'Union Européenne. Selon la vérité judiciaire italienne - pays natal de la Reine des Belges - le fichier Zandvoort est allié à l'Opération Koala, avec 2 millions de fichiers pédo- pornographiques, ce qui est la finalité d'années d'enquêtes par les pays voisins. Selon la vérité judiciaire anglaise, le dossier était allié à l'Opération Cathédral avec 700.000 fichiers pédo- pornographiques. Selon la vérité judiciaire danoise, il était allié à l'Opération Hamlet, avec 500.000 fichiers pédo- pornographiques. Selon la vérité judiciaire suédoise, 37 enfants ont été identifiés en tant que victimes de Zandvoort. Ce que le Procureur TAC qualifie de "bulle d'air crevée" est, selon Interpol, composée de 90.081 dossiers. Personne n'aurait été identifié en dix ans et il ne se trouverait aucun dossier belge dans le fichier Zandvoort, selon le Procureur TAC, qui n'explique pas comment il est possible d'identifier la nationalité d'une personne non identifiée. Mais il a mentionné au tribunal l'extrait d'un procès-verbal qui se termine par l'identification biométrique de plusieurs enfants de Zandvoort: Katrien De Cuyper, assassinée à Anvers et de nationalité belge; Cécile Bloch, assassinée à Paris; Casey Bohun et Louise Morin, disparues du Canada; et Magdalena Gruzaska disparue de Pologne. Ce procès-verbal a été suivi d'une constitution de personne lésée, ce qui de par la loi belge, prévient que le fichier ne soit détruit avant le traitement de la plainte. La Cour d'Appel n'accorde que deux heures à la défense ce 5 décembre, ce qui sera plein de surprises. Elle se prononcera le 10 janvier sur toutes les pièces apportées, ce qui réservera certainement d'autres surprises. Sera-t-il possible de justifier une condamnation pour avoir possédé une "bulle d'air crevée" sans que les belges ne craignent d'être privé du droit de respirer ? Si Marcel Vervloesem devait être sacrifié pour faire croire au Roi que ses ordres ont été exécutés, plutôt que de laisser la Belgique s'aligner à la vérité judiciaire de la majorité des pays de l'Union Européenne, il suffira de faire appel à un tribunal international. Retour en haut pour choisir un autre article
Pas de non-lieu pour un crime contre l'humanité 11 décembre 2007Anvers - 5 décembre 2007. Les avocats de Marcel Vervloesem, enquêteur principal du Werkgroep Morkhoven, plaidaient d'appel d’une condamnation l’accusant d’avoir acquis le fond de roulement du réseau pédo- criminel Zandvoort pour son propre compte: une cabale qui devait permettre la destruction des pièces à conviction de crimes commis sur 90.081 enfants victimes du réseau, sans avoir à justifier d'enquête. Ce n'est pas la première fois que la Belgique abuse de la loi européenne qui limite la conservation des données à caractère personnel à la durée de l’enquête, pour fermer des dossiers où les dysfonctions judiciaires ont engendré viols et tortures d'enfants. La pédo-pornographie filmée par Raymaekers a été détruite au lendemain de sa condamnation, ce qui revenait à libérer les violeurs filmés et priver les victimes de justice. Pour faire croire que Marcel Vervloesem aurait voulu reprendre la tête du réseau, il devait être condamné pour pédophilie. Un homme a avoué avoir été payé 10.000 FB pour porter des plaintes pour viol alors qu'il était enfant, et 5.000 FB supplémentaires pour le répéter à la télévision, donc pour un total de 375-euro. Le tribunal de Turnhout avait renvoyé ces aveux à son auteur, et retenu sa fausse plainte, où il avait prétendu que Marcel Vervloesem l'avait violé lors d'une orgie le jour de son anniversaire de 15 ans. Un certificat médical assure que l'accusé sortait alors d'un hôpital en chaise roulante, avec une jambe reconstituée par une série de broches. Comment aurait-il pu violer une jeune dans ces conditions? Neuf plaintes du même genre furent anéanties par ce témoignage, puis remplacées par celles de trois adolescents. L'un d'eux se rétracta dès le lendemain, disant qu'ils avaient été menacés d'être enfermés en institution publique, par celui accusé des paiements de la précédente cabale. Les magistrats ont sursauté en entendant que le dossier médical prouve que l'accusé est cardiaque et diabétique insulinodépendant, physiquement, techniquement et médicalement incapable des viols des deux jeunes par pénétrations anales et orales, ce pourquoi il a été condamné. Marcel Vervloesem fait appel d’une condamnation pour la possession de pornographie d’enfants du fichier Zandvoort. Les faits reprochés datent du 24 juillet 1998 et sont prescrits depuis le 23 juillet 2003, expliqua Maître Jespers. Le Werkgroep Morkhoven n’est pas une association de pédophiles, son site Internet n’est pas un site pédophile et il n‘y est pas publié de pornographie, continua Maître Jespers. Marcel Vervloesem l’a prouvé en remettant à la justice hollandaise, les archives du réseau trouvé en Hollande. Il a prouvé sa volonté de faire arrêter les criminels en transmettant copie de ce matériel au Roi des Belges, au Président du Parlement Européen et à la majeure partie des chefs d’états Européen. Il l‘a encore prouvé par une plainte circonstanciée du Werkgroep Morkhoven au Procureur Bourlet, avec le résultat de ses enquêtes, et les pièces à conviction. Aucun pays européen, ni la Hollande, ni la France, l’Angleterre, l’Allemagne, l’Espagne, le Portugal, ou l’Italie, ni le Procureur Bourlet n’a retenu opportun de le poursuivre pour ces faits. Le tribunal de Turnhout, expliqua Maître Jespers, comme s’il s’agissait d’une île isolée du monde, avait fait quelque chose d’unique en Europe, unique en Belgique. Il a condamné Marcel Vervloesem pour possession de pornographie d’enfants pour le cédérom envoyé au Président de Parlement Européen, et non pour celui envoyé au Roi. Le dossier connexe, qui nécessitait l'accord royal, aurait été "perdu" et cet homme ne peut pas être condamné sur base d’un dossier incomplet, pour des faits sans but criminel, sans but lucratif, qui sont prescrits depuis cinq ans. Marcel Vervloesem fait appel d’une condamnation pour escroquerie. Mme Dormans s’était jointe à quatre familles, qui s’étaient cotisées pour consulter le Werkgroep Morkhoven. Elle s’était présentée avec un homme qui se faisait appeler "K", puis Karel Van Genechten, puis s'avéra être un policier hollandais nommé Karel Vanden Berghe. Il voulait une copie du fichier Zandvoort, ce qui eut été un recel de pornographie d‘enfants. Madame Hutsebaut (de l’organisation ECPAT, partenaire de Childfocus), prétendit avoir identifié parmi les victimes de Zandvoort, Etienne, le fils de Madame Dormans, qui porta alors plainte pour escroquerie, disant avoir payé de grosses sommes sans service. Les quatre familles ont confirmé que la plaignante ne pouvait prétendre avoir été escroquée des montants qu’ils ont payés, pour un service dont-ils avaient été satisfaits. La police hollandaise a certifié que la photo n’était celle d’Etienne, mais d’un enfant Américain, publiée dans un magasine américain, plusieurs années avant la naissance d’Etienne. Rien dans ces faits ne révèle une escroquerie de l'accusé. Marcel Vervloesem fait appel d’une condamnation pour la publication par une organisation hollandaise de photos (non pornographiques) d’enfants sur son site Internet. Il n’avait pas à répondre en Belgique de faits qui ne relèvent pas de la territorialité belge, a expliqué Maître Jespers. Il s’agit d’un site hollandais, légal en Hollande, dont les publications dépendent de l’organisation Buro Zoeklicht et aucunement du Werkgroep Morkhoven. Les autorités hollandaises n'ont jamais poursuivi Marcel Vervloesem pour ce site. Le respect du principe de la territorialité est élémentaire, a dit Maître Jespers. Un belge ne peut pas être condamné pour l'éventuelle entrave, d’un site hollandais sous la responsabilité d'une organisation hollandaise et hébergé en Hollande, à la loi belge sur la vie privée. En décembre 2004, le Werkgroep Morkhoven et la Fondation Princesse de Croÿ ont fait une campagne de sensibilisation, par des affiches illustrées, à propos du défaut d’enquête sur la plainte remise au tribunal de Neufchâteau et transférée au tribunal de Turnhout. Cette campagne résultait d'une frustration par le défaut d'enquête, pour demander l'arrestation de criminels identifiés. Elle a été faite sans intention criminelle, ni but lucratif. Les seuls poursuivis furent Marcel Vervloesem et Eddy Decat, alors qu’ils ne figurent pas en tant qu’éditeurs responsables et que les éditeurs responsables n‘ont pas été poursuivi. Ils doivent être libéré de ce jugement. Maître Jespers a également fait remarquer que le Professeur Cosyns, en recommandant de condamner Marcel Vervloesem à une interdiction de parler avec la presse, s’est gravement éloigné des devoirs de sa mission. Le jugement est attendu le 9 janvier 2008. La presse qui a calomnié Marcel Vervloesem pendant dix ans était absente. Le silence aurait-il été ordonné? La fondation privée Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti a vu ses ordinateurs anéantis par piratage et est menacée d'une "enquête administrative", mais ne se pliera pas à la censure. Ces enquêtes consistent à rechercher tous les harcèlements administratifs et les diffamations montés pour taire les scandales, explique le Werkgroep Morkhoven. La Fondation se réjouit de l'occasion de poursuivre l'état belge pour la multitude de violation des droits fondamentaux de ceux qui dénoncent l'abus d'enfants et d'en exposer le nombre au sein de ses institutions de la protection de l'enfance. Retour en haut pour choisir un autre article Peine de mort pour Marcel Vervloesem 06.02.08
Marcel Vervloesem était absent à l'audience, en raison d’une opération urgente de son troisième cancer en dix mois, un tempo qui s'explique du fait que son diabète ne permet pas la chimiothérapie. Il a été condamné, "compte tenu de son état de santé", à 4 ans de prison ferme, ce qui compte tenu de son état de santé est une condamnation à mort. Le premiers juges avaient rejeté neuf plaintes de viol, l'un des plaignants ayant avoués qu'ils avaient été payés 375 euros chacun pour porter plainte. Il visait à démontrer qu'un homme qui violait des enfants ne pouvait pas diriger les enquêtes d'une organisation de lutte contre les réseaux pédocriminels. Les deuxièmes juges ont retenu la crédibilité du témoignage assurant que ces plaintes avaient été payées, mais aussi la crédibilité des accusations viols d'une des neuf plaintes payées.
Les premiers juges avaient rejeté une de trois plaintes de viol, portées par des jeunes, car l'un avait écrit à la fille de Marcel Vervloesem que tous trois avaient agis sous chantage de son Oncle Victor pour qui ils faisaient du trafic de drogue. Les deuxièmes juges avaient bondis de leurs siège en entendant que les Docteurs Smet, Marinus, Schoenmaeckers et Wildiers avaient attestés que l'accusé était physiquement, techniquement et médicalement incapable de violer quiconque. Ils ont donc retenu qu'il avait violé les trois jeunes, y compris celui qui disait avoir menti et alors qu'en principe, les juges ne peuvent pas contester un diagnostique formel de médecins. "C'est un grand jour", a dit l'Oncle Victor, un illettré actuellement employé au Conseil de la Police. Il n'a pas compris qu'en reconnaissant qu'il avait été intermédiaire pour payer les plaintes dont huit avaient été rejetées, les juges le condamnaient indirectement à d'importants dommages. Il pense que son demi-frère devrait être interné en psychiatrie, manifestement sans savoir que le cancer n’est pas une maladie mentale. Les premiers juges on estimés criminel de Marcel Vervloesem d'avoir possédé le fichier Zandvoort, le temps de le prendre et de le remettre à la justice. Le fichier est vide et Marcel Vervloesem l'a pris par perversité, avait expliqué le Procureur Tac. La presse internationale venait de faire un portrait féroce de la justice belge, ce qui a été suffisant pour peser sur les juges:
Le dossier est trop important pour la Belgique qui est incapable de le traiter. Un magistrat français a été identifié dans le fichier Zandvoort, a dit la presse allemande. Le fichier est connexe au dossier Koala, avec deux millions de preuves de crimes sur des enfants, selon la police italienne. La Belgique a répété l'affaire Dutroux en gelant le dossier et permis à un criminel belge de prostituer ses filles durant 4 ans, selon la presse irlandaise. Le malaise apparaît quand les juges tentent de "couvrir" le cynisme du Procureur Tac, qui avait taxé ce fichier, donc les 90.081 victimes qui s'y trouve, de "bulle crevée". Il aurait fait de bonnes conclusions, selon eux, mais ils n'ont toutefois pas osé confirmer la criminalité d'avoir apporté le fichier à la justice. Les premiers juges ont estimé que Marcel Vervloesem avait entravé à la vie privée des victimes. Pour résumer, l’assassinat de Cécile Bloch relevait de sa vie privée de petite fille de onze ans. Mais dévoiler qu'un membre du réseau Zandvoort l'avait assassiné était un crime qui ne pouvait pas être jugé Belgique au motif de l'extraterritorialité du site Internet qui l'avait dévoilé. Les deuxièmes juges l'ont libéré des accusations.
Ils ont rejeté le témoignage de la police hollandaise, qui attestait que l'enfant identifié par Carine Hutsebaut, de l’organisation rivale ECPAT, était un garçon américain, et non le fils de Madame Dormans Aggenbach, qui n'était pas né au moment où la photo avait été prise. Elle affirme avoir été escroquée de sommes payées par plusieurs familles pour définir si le réseau qui avait abusé de leurs enfants figurait au dossier Zandvoort. Ces familles se sont opposées à ce qu'elle réclame les montants qu'elles avaient payé mais leur procès-verbal avait "disparu" du dossier. Les juges ont considéré Marcel Vervloesem coupable d'escroquerie pour lui avoir assuré que son fils n'était pas victime de Zandvoort et l'ont condamné à rembourser les montants en provenance des autres familles. Il l'ont également confirmé coupable d'une campagne de sensibilisation au danger pédocriminels, transformée en "diffusion de pornographie", suite à une plainte de Child Focus, partenaire de ECPAT. Le témoignage assurant qu'il n'avait aucune responsabilité légale, avait également disparus du dossier. La justice belge est allergique aux publications du Werkgroep Morkhoven, à la source des critiques de la presse internationale en novembre dernier. Marcel Vervloesem avait été condamné à une interdiction de parler avec la presse, mais cette violation du droit à la liberté d'expression n'avait pas été imposée à son ONG. La justice fait donc toutes les pressions pour étendre cette interdiction. En effet, à peine deux semaines avant cette parodie de justice envers le secrétaire du Werkgroep Morkhoven, la vice-présidente de l'ONG a été condamnée à une privation de contrôle de sa propriété privée, ce que le premier juge avait basé sur une publication sous la responsabilité du Werkgroep Morkhoven.
Malgré sept ans de conflits entre avocats et quatre ans de procédures, la justice de Bruxelles n'était pas parvenue à épargner au Werkgroep Morkhoven l'obligation d'évacuer environ 9.000 litres d'eau de pluie d'un salon attenant à leur bureau. Cela avait généré un nouveau service et organe de presse sous la responsabilité de l'ONG: "politique du logement". Le premier juge estima, avec une notion toute originale de la liberté d’expression, que les conflits devraient se régler dans les tribunaux et non en publique, comme si le public devait être limité à celui à l'intérieur des tribunaux. "L’acte incriminé (la publication) mine enfin radicalement la crédibilité de la défenderesse, mais aussi la défense élaborée par son conseil, ignorant le fait" (du Werkgroep Morkhoven), écrit-il dans son jugement, qu’il conclut par : "l’obstination de la défenderesse fait craindre qu’elle soit incorrigible à court terme, de sorte que le mandat sera attribué pour cinq ans au lieu de deux." En pratique, cela signifie que l'administrateur désigné allait faire arrêter les travaux commandés et payés par de l'argent prêté par le Werkgroep Morkhoven pour boucher les trous dans le toit, alors que sa vice-présidente venait d’être sérieusement blessée, au résultat de la situation. La sentence fut confirmée en appel, avec un maximum de motifs de cassation pour minimum de mots.
Il s'agit d'un jeu pour ces juges et d'un obstacle que ceux qui se joignent à la lutte contre les dysfonctions judiciaires, ce qu'ils acceptent de supporter pour la cause. Mais quand au bout de 16 ans de procès, tous incontestablement liés depuis 1992, ces juges peuvent prétendre le contraire et compter sur l'état de santé d'un homme, pour le priver du jugement européen auquel il est en droit dans les 8 ans, cela dépasse ce que l'Europe ne devrait tolérer. La prochaine étape est d’obtenir le droit de réponse du Werkgroep Morkhoven, certains allant jusqu'à l'indécence de prétendre les dossiers Temse/Madeira et Zandvoort vides! Et en parallèle, le droit de réponse du condamné, dont la totalité de la presse expliqua l'absence par une opération cardiaque, ce qui a beaucoup amusé ses médecins, qui ne lui ont pas ouvert le ventre pour lui ôter le cœur. Marcel Vervloesem prévoyait avant le jugement, d'avoir à solliciter la Cour de Cassation de juger du défaut ou/et contradiction de motifs ; défaut de réponse à conclusions et défaut de base légale ; violation de la loi par fausse application ; par refus d'application, par fausse interprétation et dénaturation d'écrits clairs et précis. Comme c'est la première condamnation de la vice-présidente et du secrétaire du Werkgroep Morkhoven, on ignore ce que vaut la Cour de Cassation belge. Mais un nouvel arrêté de cette Cour a pour effet, par exemple, au cas où un homme en stade final meurt d'une attaque cardiaque au moment d'une arrestation réalisée "en considération de son état de santé", sa famille doit prouver qu'il n'aurait pas pu mourir dans des circonstances normales, avant qu'une faute puisse être reconnue. Rien donc ne garanti qu'il n'y ait pas un nouvel "arrêté Zandvoort", qui permette de condamner quelqu'un sur base d'un dossier incomplet et au mépris de sa présomption d'innocence. La Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti et le Werkgroep Morkhoven se sont engagés à payer toutes les procédures pour le rétablissement, même post mortem, de l'honneur de Marcel Vervloesem, jusqu’à la Cour Européenne des Droits de l’Homme, si besoin est. Retour en haut pour choisir un autre article
Marcel Vervloesem parle de sa peine de mort 12.02.08La presse a transformé un homme en monstre, les juges y ont rajouté une présomption d’imbécillité. Une première vidéo le montre lucide et logique. Une deuxième vidéo illustre l'humanité déconcertante d'un homme qui applique une justice au-delà de ce qui l'a offensé. En condamnant Marcel Vervloesem pour des crimes dont ses médecins l’assurent physiquement incapable, les juges ont servi des intérêts politiques, illégalement, car sans les qualifications de médecins qui sont requises pour rejeter un certificat médical. Il sera innocenté, mais entre-temps, la justice discrédite celui qui démontre que le dossier Zandvoort est constellé d’affaires à la mode Dutroux, pour accréditer ceux qui le prétende vide, alors que même Interpol le dit rempli de 90.081 victimes. Les juges ont condamné Marcel Vervloesem à quatre ans de prison, compte tenu de son état de santé. Il explique qu'il est diabétique insulinodépendant. Qu'il a subi sept opérations majeures en ces dix dernières années: trois à cœur ouvert dont pour un double pontage cardiaque. Une quatrième opération au pancréas, une cinquième aux reins. Une sixième opération pour deux cancers et une septième pour un troisième cancer, en l'espace de dix mois. Un tempo qui s’explique du fait que son diabète empêche la chimiothérapie. Après avoir été condamné à une interdiction de parler avec la presse, il est condamné à mort. C'est illégal en Belgique, mais tout est possible dans ce pays, quand il s'agit de taire ceux qui dénoncent les dysfonctions judiciaires. En effet, pas plus tard qu'en 2005, Marcel Vervloesem a fait une grève de la faim de 31 jours, pour demander son droit à un procès équitable endéans le délai raisonnable. Il avait été incarcéré, filmé nu de manière à ce que sa fille puisse le voir ainsi sur un moniteur. Le règlement oblige à ce que tout gréviste de la faim qui refuse de s'alimenter au-delà de 10 jours soit transféré dans une prison hôpital. Mais Marcel Vervloesem a été maintenu en cellule d'isolation durant 25 jours, réveillé toutes les quinze minutes pour "contrôler s'il n'était pas mort". Il pouvait se promener seul dans une cage à ciel ouvert et devait voir ses visiteurs debout, derrière une vitre. Les prisonniers avaient fait une chaîne de solidarité autour de lui, au moment de son passage journalier à l'infirmerie pour lui mesurer le sucre dans le sang. Ils glissaient sous son pyjamas, papier, crayons et timbres dont il avait également été privé, de manière à prévenir qu'il ne communiquer avec l'extérieur. Son cardiologue préconisait que la réalimentation se fasse aux soins intensifs, du fait qu'il était le premier cardiaque diabétique connu en grève de faim, d’où le premier cas clinique qui démontrera qu'une réalimentation ordinaire mettrait sa vie en danger. Il a été transféré dans une prison hôpital, mais dépourvue des services de soins intensifs, puisque le rôle d'une prison n'est pas de conserver des personnes entre la vie est la mort. Il a été réalimenté en prison et est tombé dans trois comas diabétiques, auxquels son coeur n'a résisté que par miracle, à la veille de l'audience qui devait le libérer. Il a donc eu en surcroît, de sérieux problèmes de reins, de foie, de pancréas, d’estomac et perdu deux dents. Dans cette vidéo, Marcel Vervloesem explique les fondements de son pourvoi en cassation. Il en est à sa seizième année de procédure, car les magistrats ont superposé des accusations sans rien en commun et maintenu séparés les dossiers qui réunissaient les mêmes personnes. Il analyse brièvement ce jugement, clairement, comme nul imbécile n'en serait capable. Les juges y décrètent que le délai de 10 ans est parfaitement raisonnable, alors que le délai légal est de 8 ans et le délai effectif est de 16 ans. Ils oublient de justifier une condamnation pour des accusations rétractées, au motif qu’elles avaient été portées sous la menace ; de justifier un jugement alors qu’il y a procédure au Conseil Supérieur de la Justice, qui a retenu l'absence de nombreuses pièces au dossier. Il parle du défaut de motivation, pourtant nécessaire à justifier le rejet de toutes les expertises psychologique qui l'ont innocenté. De l'incohérence d'ignorer les résultats d'un détecteur de mensonge demandé par les premiers juges, tout en rejetant des résultats identiques d'un deuxième détecteur de mensonge, réalisé par le Professeur Gagliardi.
Humanité déconcertante d'un condamné à mort qui applique une justice au-delà de ce qui l'a offenséLa police en charge de l'enquête appelait Annie "le témoin de Victor", ce dernier ayant fait une carrière politique sur base de ce que la justice reconnaîtra implicitement comme étant un faux témoignage. Conscient qu'Annie n'était pas en mesure de comprendre la gravité de ce qu'elle a fait, Marcel Vervloesem lui a pardonné d'avoir été un des outils qui a été utilisé pour anéantir sa réputation. Il a imposé à tous ses amis d'en faire autant, par l’unique force d’une vérité qu’il a estimé juste au-delà de ce qui l’a offensé. La video montre Annie qui brise sa solitude, en venant comme chaque matin, prendre le petit-déjeuner avec lui. Elle est à présent bouleversée de cette condamnation, qu'elle ne peut pas comprendre. Que ces magistrats en retiennent la leçon et regardent ces visages, car le jour où ils parviendront à respecter autrui au-delà d’une offense, ils pourront se prétendre justes, et donc posséder les qualités requises à la mission qui leur incombe. Retour en haut pour choisir un autre article
Vol de 7 cédéroms de ZandvoortLe Conseil Supérieur de la Justice confirme, ce 21 février 2008, les fautes qui ont menés à la condamnation irrégulière de Marcel Vervloesem, le 6 février, sur base d’un dossier délesté d’un nombre invraisemblable de pièces qui l’innocentaient. Le plus extraordinaire est le vol, au sein même des institutions judiciaires, de sept cédéroms de pédo pornographie, envoyés par le Werkgroep Morkhoven au Roi des Belges en 1999, pour lui demander de bien vouloir s’assurer personnellement que l’enquête soit correctement menée.Le ministre de Justice de l'époque, Tony Van Parys (CD&V), avait alors donné au Procureur Général d'Anvers, la mission d’examiner leur contenu. Nul ne connaît ses conclusions : le dossier a disparu ! Marcel Vervloesem était poursuivi pour avoir possédé les cédéroms du réseau pédo criminel Zandvoort, ce qui était manifeste puisqu’il en avait posté sept au Roi, par courrier recommandé avec avis de réception. Il a donc été publiquement injurié durant dix ans, dont récemment par le Procureur Tac, sur base d’un dossier volé ! D'autres pièces majeures manquaient au dossier, ce qui n'a pas gêné les juges Van Craen, Jordens et Jaques de condamner cet homme, vite avant que le Conseil Supérieur de la Justice ne les en empêche, par la reconnaissance des fautes de procédures. Le prochain rendez-vous est avec la Cour de Cassation. Ref: Lettre de Geert Vervaeke, président du Conseil Supérieur de la Justice, du 21 février 2008, référence N070185BDMKDB Retour en haut pour choisir un autre article
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