De nouveau le gelazer à Haarlem
Traduction automatique
Aussi bien la presse française que le ministère public français ont exprimé récemment leur stupeur au sujet de la méthode de travail pour le moins négligente de la police à Haarlem/Kennmerland dans l'affaire de juin 1998 à Pise, relative au roi du pedoporno de Zandvoort, Gerrit Ulrich qui a été assassiné. Neuf mois de recherche ont été effectué par une équipe de quarante inspecteurs de la police judiciaire néerlandaise, qui a fourni la maigre conclusion qu'Ulrich n'a pas appartenu à une organisation internationale et a opéré entièrement seul.
Entre-temps, beaucoup d'articles de presse ont déjà claire qu'il était bel et bien question d'un grand réseau européen qui a pu être rangé en dessous du hoofdje lourde criminalité. Pour que le dernier le klokkenluiders du groupe de travail Morkhoven belge a souffert quelques mois preuves une fois de plus irréfutables apportées par la Justice française. Les photos d'un dossier officiel de garçons disparus français correspondent à un nombre de photos de la collection d'atrociés d'Ulrich. En outre elles sont apparu dans l'imprimé d'une page homopedo française et équivalent du Martijn néerlandais. Un lien que l'équipe évoquée ci-dessus durant neuf mois n'a pas tiré vers le haut le temps. Entre-temps, par Irt-affaire le bureau déjà si endommagé le Koudenhorn a eu déjà la visite en ce qui concerne ces nouveaux faits d'une commission rogatoire du ministère français de Justice. Et pas pour une clayette de boucle agréable avec du vin, du pain et du paturain. Cette souris obtiendra une queue ferme certainement dans un avenir proche encore. |