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Communiqué de presse
Le premier policier du commando "anti-terroriste", qui arriva devant la dangereuse banderole.

SORTEZ LE COMMANDANT ZARMAEV DU BLOCK D’EXTERMINATION DE BRUGES !

Jacqueline de Croÿ - 26 mars 2011

L'enregistrement de l'audience au Conseil d'Etat du 16 mars 2011 est claire : la représentante du ministre de la justice De Clerck plaide des contactes avec l'ambassade russe et la menace de ne plus pouvoir récupérer des belges, ce qui sous-entend des espions, pour maintenir l'extradition du commandant Arbi Zarmaev. Le marché a suffit a condamner un réfugié politique de 37 ans, à un régime de déshydratation, qui en 21 mois, a réduit un soldat de 1m85 à 45 kilos. Dés la veille de cette audience, il a été laissé sans eau durant 4 jours, les mains menottées derrière le dos. Les gardes de la prison de Hasselt lui jetaient du pain sec à terre par le trou de la porte, jusqu'à ce qu'il tombe dans le coma.

Quarante tchétchènes nous ont donné rendez-vous devant le Parlement Européen. Nous avons repéré une trentaine de policiers en civils qui ressemblaient à des agents du KGB. Ils scrutaient les passants d'un regard noir, chacun à quelques mètres d'un policier en uniforme, qui lui parlait dans un walkie-talkie. Les tchétchènes étaient difficiles à repérer, pas plus nombreux que les groupes d’espagnols ou d’italiens, qui viennent par autobus pour visiter le parlement. Nous les cherchions séparément, de telle sorte à ce que j'ai raté le clou du spectacle.

Au moment où je me demandais où avait disparu le KGB, l’un des agents demandait à Jan Boeykens, le président de l’ONG Morkhoven, s’il venait aux rendez-vous des tchétchènes, puis il appela son collègue en uniforme pour faire contrôler son identité. Soudain, le KGB repéra les tchétchènes. Ils se précipitèrent pour leur dire qu'ils ne pouvaient pas manifester, alors qu'ils n'avaient même pas sorti de pamphlets. Jan les appela pour qu'ils viennent prendre des photos sur la pelouse de la place publique et déroula une banderole "FREE ARBI ALIVE".

Un commando "anti-terroriste" arriva avec un fourgon pour embarquer les tchétchènes en moins d'une minute. Une vingtaine de policiers en tenue de combat se déploya pour les encercler, obéissant aux ordres du KGB. Le premier qui atteignit la dangereuse banderole posa pour la photo, avant de sauter dessus, comme si c'était un fusil mitrailleur à anéantir.

- Pas de photos, pas de photos, s'écria une gendarmette
- Ils m'ont volé ma banderole, protesta Jan.
- On ne l'a pas volée, on l'a prise, répondit le KGB.
KGB donne ordre de détruire la dangereuse bannière.

L'ONG Morkhoven a 23 ans d'expérience avec les unités luttant contre l'information sur les réseaux pédocriminels. Ils cherchent à provoquer des "outrages à officiers en exercice" tandis que les "anti-terroristes" cherchent à provoquer des bagarres pour soutenir des poursuites pour "terrorisme".

Ils ont commencé par se moquer d’un des tchétchènes qui leur disait venir pour sauver la vie du comandant Arbi Zarmaev. Puis, ils les ont bousculés en faisant mine de les frapper même au visage, mais en arrêtant la main juste avant de les toucher. L'un a bloqué le bras de Jan derrière son dos, qui lui alors demandé:- "Zeg, joeng, (dis-moi fiston en patois flamand) qu'est-ce qui t'arrives?" L'antiterroriste est devenu rouge de colère et le lâcha en criant: "je ne suis pas un joeng".

C'était un bonheur de voir de nos propres yeux ce qui fait la force des tchétchènes, et ce qui explique comment un si petite armée était parvenue à mettre les russes à la porte de chez eux en 1996. Ils ont la discipline naturelle, propre aux grands guerriers, qui ne réagissent pas aux provocations, mais obéissent à la stratégie prévue pour atteindre leur but. Un des "anti-terroristes" bouscula un tchétchène si fort qu’il faillit en tomber, mais il resta stoïque, simplement en foudroyant le policier du regard, sans plus.


Fausse interview

Notre présence embarrassa si bien le ministère, qu'il dicta le premier article paru dans la presse en 21 mois, avec une faux interview du frère du comandant publié le 22 mars. Andi Zarmaev n'a en effet jamais été contacté par un journaliste belge pour lui poser la moindre question. Le titre approuvé par le ministre est donc particulièrement explicite: Tchétchène battu "presque à mort" à la prison de Hasselt "à la demande de la Russie".

Le gouvernement explique une "sanction provoquée" sept jours plus tôt "pour éviter l'extradition", sans mention du transfert, deux jours au préalable, au "block Dachau" de la prison de Bruges. Le célèbre Dr Van Mol, médecin chef de toutes les prisons belges, lui a fait implanter dans le bras un tube d'une vingtaine de centimètres contenant un sérum de réhydratation. Le Commandant s'est réveillé au "bloc Guantanamo" de la même prison, ce qui, selon le règlement, présume qu'il a été diagnostiqué comme ayant un espoir de survie supérieur à trois jours. Le gouvernement évitera donc l'extradition par le meurtre du commandant Zarmaev.


Pourquoi Poutine réclame-il la mort du Commandant Arbi Zarmaev?

La Russie enclencha le génocide musulman en assassinant un million de civils afghans, soit 4% de la population, officiellement pour remplacer un gouvernement élu, par un gouvernement déchu qui se soumettait à sa corruption. Seuls les clubs sportifs ont protesté, en boycottant les jeux olympiques de Moscou. Vu "l'opprobre", Eltsine a fait assassiner 80.000 civils tchétchènes d’Itchkérie, en les accusant "d'attentats terroristes qui avaient coûté la vie à 300 russes". Le commandant Arbi Zarmaev est l'un des derniers survivants qui ont ridiculisé l'Armée rouge en 1996, qui a dû accepter un traité de paix, parce que les soldats russes sont tellement indisciplinés, que la seule chose qu'ils n'ont pas peur de faire, c'est d'assassiner des civils.

Poutine a recommença le génocide en 1999. Il fit assassiner 170.000 civils supplémentaires en un an. Il "remplaça" les tchétchènes qui refusent la corruption en vertu des lois coraniques, par des tchétchènes venus d'autres contrées russes, qui acceptent de lécher les bottes de Moscou.

Après avoir assassiné 35% de 734 000 civils, Poutine ordonna la persécution des militaires :- "C'était difficile, racontent Andi et Khedi, le frère et la sœur d'Arbi. "Les Russes étaient constamment chez nous. Ils prenaient tous les bijoux d'or ou les ordinateurs qu'ils voyaient. Puis, ils ont assassiné notre voisin, qui faisait partie de l'unité d'Arbi et ils l’ont coupé en morceaux. On a trouvé un de ses bras, puis une de ses jambes dans la montagne."

Poutine poussa 250.000 tchétchènes d’Itchkérie à l’exode à travers le monde, en les remplaçant les uns après les autres par des collabos. Seule 25% de la population resta pour soutenir Aslan Maskhadov, le président de république tchétchène d’Itchkérie et ses soldats, les réfugiés devant assurer la survie des rares tchétchènes ayant encore un sens de l'honneur, avant que Poutine ne les fasse éradiquer.

"Comme tout s’achète en Russie", explique Khedi, "notre mère a acheté un faux passeport et un faux permis de conduire au nom de Mamuev pour qu'Arbi puisse sortir en vie d’Itchkérie. Nous sommes arrivés en Belgique en 2002. La communauté tchétchène nous a avisé du danger de se présenter en qualité de soldat". Un héro de l'armée tchétchène a dû cacher son identité en dépit d'une histoire authentique, qui en fit l'un des 2.000 tchétchènes sur les 11.000 réfugiés en Belgique ayant obtenu l’asile politique, mais sous le faux nom qui devait assurer sa sécurité. Forcément, s'ils sont échangé contre des espions belges !

Il fallut sept ans à la Sûreté de l’Etat belge, manifestement aidée du KGB, pour découvrir l’identité du comandant Zarmaev, ce qui prouve la fausse réputation d'efficacité de ces services. La police belge arrêta son épouse, comptant sur le fait qu’il signalerait sa disparition. Le commandant a été arrêté au poste de police par un piège de renégats. Il a été incarcéré le 29 juillet 2009, en vertu d’une demande d’extradition russe.

L’actuel président de l’Union Européenne, alors premier ministre belge a, par l’intermédiaire de Stefaan De Clerck, son ministre de la justice, retiré le statut de réfugié politique du comandant au motif d'une "usurpation d’identité". Or, la Belgique l'a incarcéré sous le nom de "Mamuev Bislan", alias Zarmaev Arbi, prouvant que la Belgique ne le reconnaît que sous le nom qui le "protège" en tant que réfugié politique.

Le Commandant Zarmaev est accusé de "terrorisme", alors qu'il agissait en sa qualité d'officier supérieur de l'armée de son pays, avec mission de repousser l'armée rouge, des lopettes barbares, qui font la guerre par le viol et le meurtre de civils. Or, il peut tout au plus être accusé tout au plus que d'un crime de guerre, ce qui ne peut être jugé que par un tribunal international, et non pas un tribunal du pays qui a envahi le sien.

Quand Stefaan De Clerck signa l’ordre d’extradition le 8 mars 2011, il ne faisait que prolonger une incarcération qui a déjà coûté 65.000 euros aux contribuables belges, pour avoir le temps d'assassiner légalement un leader musulman.

La peine de mort sous la torture démocratique, selon l'Union Européenne.

Nous avons dénoncé les condamnation à mort par régime de déshydratation et absence de soins vitaux dans les prisons dés 2008. Nous avons vu des squelettes ambulants au "block Dachau" de la prison de Bruges, sans imaginer qu'ils s'agissait de réfugiés politique. La Commission des Pétitions du Parlement Européen a malgré tout refusé notre pétition réclamant des lois contraignantes pour assurer la survie des prisonniers politiques, le temps qu'ils arrivent à la Cour des Droits de l'Homme.

La sanction ordinaire d'un détenu en Belgique consiste à le dénuder, puis lui menotter les jambes et les bras aux quatre coins d'un lit de béton à même le sol. Ces cellules situées dans la cave, n'ont ni porte, ni fenêtre, sont donc sous pompe à air. Les prisonniers n'ont pas accès à l'eau, puisqu'ils sont menottés, ni à la cantine, donc aux fruits et légumes frais, par périodes de neuf jours. Le jovial Dr Proot et la directrice, dont le prénom était Else (comme la louve des SS), allaient tous les jours constater l'évolution de ces hommes nus.

Nous savons à présent que ce traitement permet, pour autant que la direction multiplie les sanctions arbitraires, de transformer un puissant guerrier en squelette vivant. Les gardiens des condamnés à mort peuvent les passer à tabac sous n’importe quel prétexte. Par exemple, ils ont tabassé le comandant Arbi Zarmaev lors d’un transfert où il était cagoulé, pieds et poings menottés dans un fourgon à cages, pour avoir invoqué Dieu de lui donner de la force en se frappant la poitrine. Ils lui ont cassé une côte, puis ouvert le front et la joue de coupures qui durent être suturées. Une juge trouva cela tout à fait normale. Je parierais que c'est la Juge Gossens, qui a "légalisé" les tentatives de meurtre de Marcel Vervloesem, sur base d'une pièce absente au dossier judiciaire, mais présente dans le tiroir du ministre.

Le 12 mars, nous raconte Khedi le coeur brisé, au-delà d'être si squelettique, son frère avait attrapé un teint verdâtre et une dermatose aigue. Il se sentait constamment frigorifié, ce qui n'est pas normal, car la seule chose qui ne manque pas dans les prison belges est le chauffage. La dictée du ministre publiée le 22 mars, spécifie que le Commandant Arbi Zarmaev avait été sanctionné pour avoir "provoqué un conflit avec les gardes en superposant tous ses vêtements, en espérant à nouveau être punis de manière à empêcher son extradition".

Un détenu appela Khedi pour l’aviser qu'il était parvenu à voir son frère et lui parler à travers le trou dans la porte réservé au communications avec les gardes. Le commandant était couvert d’ecchymoses de la tête aux pieds, le souffle si court qu’il avait du mal à parler, nu selon la procédure, donc encore plus frigorifié que jamais. Ces gardes ont battu et déshabillé un squelette vivant parce qu'il n'avait pas le droit d'avoir froid !

Le directeur de la prison de Hasselt a interrompu la sanction cinq jours avant son échéance et interdit la visite de sa soeur sous prétexte qu’il serait "devenu dangereux pour la société". Il s'agit de la procédure réservée aux détenus politiques en réanimation. A présent, le Comandant Arbi est soigné par le jovial Dr Proot, sous les ordres du terrible Dr Van Mol, qui avait mis Marcel Vervloesem en régime de déshydratation, en le privant de l’insuline et de dialyse, ce à quoi il n'a survécu que par miracle. Dites-nous, Dr Van Mol, les photos de la maigreur et des blessures du comandant étaient-elle pour Internet, pour le dossier médical ou pour Poutine ?

Nous n'avons pas toléré le génocide des juifs et nous ne tolérerons pas le génocide de musulmans. La vie du Comandant Arbi Zarmaev appartient à Dieu, qui vous apprendra le djihad par l’information: le combat sacré dans le chemin d’Allah, donc en respect des lois de la chevalerie dictées par le Coran, qui ont été adoptées par tous les chevaliers chrétiens au retour des croisades.

Oubliez les négociations, Dr Proot : si le Comandant Arbi Zarmaev doit mourir en martyr de sa foi et de son combat, c'est que Dieu ne voit pas d'autre solution pour ouvrir les yeux des européens sur les génocidaires qui les gouvernent. Les tchétchènes sont si disciplinés et efficaces, que bientôt, ils auront touché toutes les boîtes aux lettres du pays : vous pouvez dire adieu à la censure qui vous a protégé.

Quand aux belges qui veulent jouer "James Bond à Moscou", ils le font à leurs risques et périls, pas à ceux de nos réfugiés politiques.

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