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NON
LIEU ZANDVOORT/FRANCE [7]
À QUI DE DROIT: ÇA NE VOUS SERVIRA À RIEN D'ASSASSINER MARCEL VERVLOESEM. IL NOUS A APPRIS LES SECRETS DE VOTRE RÉSEAU, ASSEZ POUR SAVOIR OÙ CHERCHER LES RÉPONSES À NOS QUESTIONS. LES RECONNAISSANCES - LES EDITEURSJacqueline
de Croÿ - 10/03/2010
La base du réseau pédocriminel de Zandvoort - les clients - sont les éditeurs de magazines pédopornographiques exclusivement vendus dans des sexe shops ou par souscription. Le marché était essentiellement tenu par les Etats-Unis, jusqu'à la révolution sexuelle de mai 68. Le marché européen s'est développé en 1970, puis a atteint 80% de la production mondiale, de 400/500 magazines. Le nombre de magazines diminua de la moitié dans les années 80, quand la mode "flower power" se fit balayer par la mode "punk". Il y avait une moyenne de 11 nouveaux enfants par publications, ce qui représente environ 500 enfants l'an par magazine hebdomadaire, d'où la nécessité des éditeurs de recourir à des services extérieurs. La possession de telles photos était légale en Hollande, quand Gerrit Ulrich, de nationalité allemande, établit le siège social de son réseau dans la ville de portuaire de Zandvoort. Il travaillait avec son amant, Léo Van Gasselt, qui est comptable. Ils ont pour clientèle principale des magazines danois. L'Internet révolutionna le marché. Ils ouvrirent un magasin d'informatique, le Cube Hardware. Ils offraient sept catégories de photos, accessibles sur leur site Internet par pack, pour une souscription annuelle, dont le prix variait selon la dangerosité d'acquisition. Le coût du pack premier choix atteignait 6000 euros l'an, puis diminuait pour les packs suivants. Ces packs étaient payés par virement bancaire avec la communication "Apollo", le nom du site Internet d'Ulrich. Ces packs de photos représentant des enfants peuvent être catégorisés ainsi que suit:
La photo d'un mineur d'âge, même habillé, ne peut pas être publiée dans un magazine exclusivement vendu dans des sexes shops, ou sur des sites Internet destinés à la promotion de la pédophilie, même avec l’accord du mineur, car il est trop jeune pour juger l’impacte que cela peut engendrer sur sa vie d’adulte. De même, ses parents ne sont pas habilités à donner ce genre d’autorisation. En 1992, la production se compose de scènes entre jeunes à une proportion de 75% pour filles et de 90% pour les garçons, ce qui n'aurait probablement pas éveillé d'inquiétude, s'il n'y avait pas eu 25% des filles et 10% des garçons objets de sévices graves, et même des photos de meurtres. La production et la diffusion de telles photos est passible de poursuites pénales pour des motifs qui varient de l'atteinte à la vie privée, la corruption de mineur, l'agression sexuelle, le viol, la torture, l'homicide et l'association de malfaiteurs. Les affaires ne sont pas prises au sérieux. Au fil des an, les clients se désintéressent des batifolages entre jeunes, pour favoriser les violences graves. Il y a trois types principaux de criminels. Les premiers sont les professionnels de la pornographie, qui se savent dans l'illégalité quand ils touchent des enfants. Les deuxièmes sont les soixante-huitards, qui continuent à se croire en droit de droguer des mineurs pour photographier des abus sexuels et les vendre. Les troisièmes sont des anciennes victimes, qui ont continué dans la criminalité organisée et la prostitution, souvent sous chantage et pour payer le prix de la toxicomanie à laquelle ils ont été induits. Ils sont avant tout victimes, mais quand ils commettent des crimes, ils doivent aussi répondre du mal qu'ils ont fait, ce qui n'est juste qu'ensemble avec leurs employeurs.On a beaucoup parlé du yacht de Ulrich, mais ce n'est pas un bateau/bordel. Toutes les familles hollandaises ont un bateau, comme tous les enfants ont des bicyclettes. Vivre à Zandvoort sans yacht eut été suspect. Si l'ont peut être certain qu'Ulrich a emmené des mineurs et des amis sur ce bateau, son bizness consistait prioritairement à récolter des photos. Il en avait besoin de bien d'avantage, et plus diversifiées que ce la cadre maritime ne pouvait lui en apporter. L'enquête française sur 3% du dossier fait apparaître que le réseau a une quarantaine de clients, principalement des éditeurs magazines et des producteurs de films pédopornographiques. Le coût de l'abonnement annuel du pack ne laisse pas supposer que l’éditeur se contente de ne publier que quelques photos, ce qui stigmatise l'incomplétude du dossier. Si Piccolo, le magazine danois et meilleur client, publie dix photo du site Apollo certaines semaines, il est clair qu'il ne se contente pas de seuls deux clichés pour les trois publications suivantes. Une trentaine de publicité pour des films pédopornographiques montrent qu'ils étaient également spécialisés en publicité.Les photos n'étant pas gratuites, ils s'assurent un service de photomontage, qui parvient à multiplier les images, en échangeant les corps et les visages. C'est le cas par exemple de Katrien De Cuyper, dont le visage a été placé sur le corps d'un garçon nu. En revanche, contrairement a ce qui a été dit à certains parents, le photomontage d'un visage sur un autre corps est une technique chère, qui ne s'adapte pas aux films. L'abus d'enfant serait le crime le plus grave, si payer des imbéciles, de fous et des drogués pour abuser d'enfants afin d'en faire de l'argent n'était pas encore plus grave. Comment se fait-il qu'autant d'éditeurs de photos de ces crimes aient été identifiés par la justice française, mais qu'aucun n'aient été poursuivi?Documents judiciaires originaux sur les
identifications des editeurs, vu sur "Le
résultat des investigations menées sur le plan national"
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