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Droit Fondamental

Action Good Engels "libérez Wilfried, au palais de justice d'Anvers

Marcel Vervloesem à la Cour Européenne des Droits de l’Homme

BELGIQUE: La Cour de cassation a confirmé le 24 juin 2008, la légalité de la condamnation d'un homme pour viol, malgré un cancer de la prostate, donc d'une glande du système reproducteur masculin, dont la dysfonction conjointe à un grave diabète, anéantit toute possibilité d'imposer les sodomies ou fellations décrites par les plaignants.

La condamnation de Marcel Vervloesem est basée sur les doutes du Dr COSYNS au motif du nombre de plainte, plutôt que sur un diagnostique relatif aux effets du diabète et du cancer, selon sa mission de médecin.

CE CANCER LUI A ÉTÉ CACHÉ. Il n'a été opéré en urgence de deux cancers qu'un mars 2006, alors qu'une prise de sang datant de janvier 2005 faisait état de la tumeur. Marcel Vervloesem a survécu à 3 1/2 ans sans chimiothérapie, dont 14 mois avant les premiers soins, ce qui a résulté à 2 métastases. La Cour de Cassation a confirmé une peine de 4 ans de prison, "compte tenu de son état de santé".

Marcel Vervloesem a été condamné par la maffia depuis 1988, quant il a découvert, que les enfants qui fuyaient les maltraitances de l’hôpital Good Engels à Anvers, étaient récupérés par la maffia pour les prostituer.

Le Werkgroep Morkhoven, association d'activistes fondée par Marcel Vervloesem, reprochait au juge VAN CRAEN d’avoir accordé l’adoption de Wilfried, un jeune homosexuel de 17 ans, à un invalide de 60 ans, ouvertement homosexuel aussi, et qui sera ultérieurement condamné pour inceste. Les activistes reprochaient au Dr COSYNS de ne pas avoir vu que des enfants ressortaient des cellules d'isolation de l'hôpital Good Engels avec bras et jambes cassées et qu’une fille de cinq ans y était morte... isolée.

Ils avaient manifesté au Palais de justice d'Anvers pour libérer Wilfried, qui avait été remis en cellule d'isolation, alors que son père adoptif était en prison pour inceste. Il avait ensuite été envoyé à la maison de redressement de Mol. Marcel Vervloesem était déguisé en moine, portait le masque de la mort. Un cercueil rappelait que le destin de Wilfried ne devait pas être semblable à celui de petite fille, morte en cellule d’isolation.

A la même époque, Robbie, fils d'un patron de bordel, avait été incité à fuguer de la maison de redressement de Mol en Hollande, où il avait été prostitué. Il avait été exploité par un "service d'escorte" dès l'âge de 12 ans. Un garçon comme lui pouvait rapporter entre 450 et 900 euros la nuit, selon son père.

En 1998, Robbie avait 20 ans et voulait vivre sa vie, loin du réseau, avec sa femme et sa fille. Il a mené le Werkgroep Morkhoven au fichier Zandvoort, où figurent plus de 100.000 photos de crimes sur des enfants. Il a ensuite assassiné le propriétaire du fichier, qui le tenait sous chantage.

En réponse, un nouveau contrat a garanti le paiement 375 euros à neuf délinquants pour accuser Marcel Vervloesem de viols lorsqu'ils étaient mineurs d'âge. L'un d'eux s’est retourné quand il a retrouvé son appartement vandalisé par la bande, et témoigné de ces paiements.

Trois jeunes ont alors été agressés, jusqu'à ce qu'ils acceptent de chercher de la drogue en Hollande, avec pour instruction, s'ils étaient arrêté, de dire que Marcel Vervloesem les avaient violé. Ils ont été arrêtés en mai 2005. Marcel Vervloesem a immédiatement été emprisonné, alors qu'il avait un cancer à la prostate depuis 4 mois, depuis janvier 2005 au moins. L'un des jeunes a rétracté ses accusations dés le lendemain et a été envoyé à la maison de redressement de Mol.

Le tribunal de Turnhout désignera le Dr COSYNS en septembre 2005 pour donner son avis en sa qualité d'expert. Marcel Vervloesem n’a été avisé d’un double cancer au foie et à la vésicule qu'en mars 2006, une semaine avant d'être condamné à trois ans de prison ferme sur base des doutes émis par le médecin au motif du "nombre de plaintes", sans un mot sur la prostate.

En 2007, le juge VAN CRAEN était passé du tribunal de la jeunesse à la cour d'appel. Il alourdira la peine a quatre ans de prison, au moment où Marcel Vervloesem était opéré d'une métastase "au ventre", selon ses médecins, toujours sans un mot sur la prostate.

A présent, le tribunal de cassation confirme la légalité de condamner un homme alors que le plaignant, depuis majeur, a rétracté sa plainte en assurant l’avoir porté sous la menace; alors que le tribunal a reconnu la crédibilité d'un témoin qui assure qu'une deuxième plainte a été payée 375 €; alors que cinq médecins certifient qu'il ne peut pas physiquement commettre ces dits crimes, alors que 42 pièces de la défense manquent au dossier et que le délai raisonnable est dépassé depuis deux ans.

Arrestation de RobbieOn comprend donc pourquoi Robbie aurait pu croire préférable d'assassiner son principal abuseur, plutôt que de faire confiance à la justice. Aux Etats-Unis, plusieurs victimes ont été attribuées tous les meurtres de la mafia. Certains ont été condamnés en temps que meurtrier en série, parfois pour 80 meurtres, alors qu’ils n’en reconnaissaient que quelques-uns, tels que Papa ou Maman et les grands-parents, qui les avaient exploités sans avoir à en répondre.

Les victimes ne sont pas surprises, mais furieuses de la condamnation de Marcel Vervloesem. Elles ont toutes été objets de jugements semblables et vu tous ceux qui ont tenté de les aider sur le banc des accusés. Les enfants de maffieux, qui sont généralement les premiers exploités, témoignent de leurs méthodes. Les juges sont menacés, y compris ceux du Tribunal Européen des Droits de l'Homme, selon eux. Ca fait peur, mais ils ont eu peur aussi et beaucoup n'y ont pas survécus.

Le Werkgroep Morkhoven et la Fondation Princesse de Croÿ et Massimo Lancellotti soutiennent Marcel Vervloesem sans réserve. Ils se rendront au tribunal de Strasbourg avec des médecins, pour expliquer la possibilité de sodomiser quelqu'un avec un cancer de la prostate. De nombreux parents et jeunes, qui ont enduré ces crimes et la lâcheté des autorités, soutiennent Marcel Vervloesem, qu'ils appellent "le Nelson Mandela des enfants". Il restera un héro, sans que les mafias ne puissent rien y faire.

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