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ZANDVOORT-GANUMEDE
Cambiolage de la brigade Dyane, tueries du Brabant et pédo pornographie Le gendarme John Van Landschote a été renvoyé de la brigade Diane, escadron anti-terroriste belge, à la découverte chez lui de faux visas et d'armes sophistiquées en provenance du cambriolage de la gendarmerie, le 3 janvier 1982. Il approvisionnait la maffia hollandaise en matière première, femmes et pédopornographie incluses. Les trois années qui ont suivi ce cambriolage ont été ensanglantées par une vague de vols à mains armée dans le Brabant, qui tua 28 personnes. On les a appelé les "Tueurs Fous du Brabant", volant, tuant et répandant la terreur pour des cacahouètes, parfois des cigarettes. Un gendarme retraité de la Brigade Dyane avait taxé l'enquête de "cafouillage à grande échelle", assurant que tout faisait apparaître que les auteurs du cambriolage avaient également commis un attentat sur leur colonel. Cette enquête avait mené à un mélange de mouvement néo nazi, d'orgies sexuelles impliquant des personnalités, de bordels exploitants des mineurs d'âge et des munitions provenant du cambriolage de la gendarmerie. Aucun des tueurs ne sera jamais identifié. Fin 1987, le groupe d'action Morkhoven s’est penché sur la section psychiatrique de l'hôpital pédiatrique "Bons Anges" d’Anvers (Algemeen Kinderziekenhuis Antwerpen [AKA] Good Engels), suite à des révélations inquiétantes du père d'un jeune patient concernant des pratiques "thérapeutiques" qui consistaient à enfermer les enfants dans des cellules d’isolation sans lumière du jour pour des périodes allant parfois jusqu’à 3 mois... Nicolas Poncelet avait 14 ans et venait à des thérapies d'adaptation aux divorces parentaux que proposait également l'hôpital. Il avait rencontré le Gendarme Van Landschotee et Harry Hermans, animateur de Ganumedes, dans un café de jeunes de la rue des gares (stationsstraat). Ils l'avaient emmené dans un "porno bar" et l'invitaient à Munich, en dépit de son obligation d'aller à l'école. Les deux hommes étaient attachés à Ganumedes, dont l'objectif social était l’épanouissement de jeunes. Cette organisation était présidée par Jos Jacobs, qui adoptait une image d'honorabilité, par le biais d'une homonymie avec le présentateur d’une émission pour jeune de la chaîne BRTN. Ganumedes recherchait, dont par le biais de petites annonces, des enfants pour jouer dans des films destinés aux jeunes. Le journaliste avait reçu des centaines de réponses d’enfants intéressés à jouer dans les films de Ganumedes, mais également la plainte d'une mère disant que son enfant avait été abusé à Ganumedes. Les hommes de Ganumedes avaient abusés ces enfants, qui avaient eut accès à leurs maisons, donc aux pièces qu'ils ont apporté au Werkgroep Morkhoven. Jos Jacobs correspondait avec des pédophiles pour organiser des soirées-débats sur la pédophilie. Il avait constitué 400 dossiers reprenant les coordonnées et les photos des enfants candidats pour jouer dans les films pour enfants. Tous ceux contactés, répondaient avoir été proposé des scénarios pornographiques. Le gendarme Van Landschote et Harry Hermans avaient "emprunté les noms de trois sociétés, pour présenter d'autres services à la rue Jozef De Bom à Anvers. "CV INTERACT", qui faisait du trafic de femmes polonaises recrutées par petites annonces dans le quotidien "Het Nieuwsblad", était de fait domicilié à l'avenue Amerika et vendait des ordinateurs. "R.B.E.", offrant les services de détectives à la rue Jozef De Bom, était de fait une entreprise de construction domiciliée à Erembodegem. MONDIAL PALLET, vendant du textile et des vidéos à la rue Jozef De Bom, de fait fabriquait des palettes. Nicolas Poncelet fut signalé "disparu" le 28 janvier 1988. Marc Ruyters, Inspecteur chef du service de la jeunesse de la police judiciaire d'Anvers, décréta qu'il s'agissait d'une fugue, balayant l'intervention de Harry Hermans. Le Werkgroep Morkhoven avertissait la police Allemande, qui retrouva Nicolas un mois plus tard à Munich, dans un état de traumatisme profond. Il plongea dans la drogue et mourut d'une overdose à 16 ans. Harry Hermans a admis devant une caméra avoir emmené Nicolas en Allemagne, prétendant avoir reçu l'autorisation de sa mère. Mme Poncelet a assuré au contraire, qu'il s'agissait tout au moins d'un détournement de mineur. L'inspecteur Ruyters n'a rien trouvé à reprocher à cet homme qui emmenait des jeunes dans des porno bars, en violation de la loi, qui interdit ces endroits aux mineurs. Le 5 décembre 1990, Melchior Wathelet, le ministre de la justice qui libérera Marc Dutroux préventivement en dépit de l'avis des juges, confirmait au Werkgroep Morkhoven que l’enquête menée par la police judiciaire d’Anvers n'avait révélé aucun élément suspect sur Ganumedes. 1991 - Katrien De Cuyper, âgée de 15 ans, a disparu le 17 décembre. Elle a été retrouvée étranglée six mois plus tard, après avoir été plongée dans de l'acide. Elle a été vue en vie pour la dernière en quittant "Les Routiers", un bar de l'Asiadok, un quartier de bordels du port d'Anvers. L'inspecteur Ruyters a balayé l'idée que Ganumedes avait besoin d'un studio tel que le "X-Kiss", spécialiste de pornographie, situé juste au dessus du café "Les Routiers", pour tourner les scènes pornographiques demandées aux enfants. Un roman-photo pornographique où figure Katrien a été retrouvé dans le fichier Zandvoort, découvert en 1998, à partir de cette enquête. 1994 - Kim et Ken Heyrman ont été kidnappés sur le chemin pour aller jouer au football, le 4 janvier aux âges de 8 et 11 ans. L'inspecteur Ruyters décréta une fois de plus que les enfants avaient fugué. Ils suivaient une thérapie d'adaptation au divorce de leurs parents à l'hôpital Good Engels, comme Nicolas Poncelet. Un marin a retrouvé le corps de Kim à l’Asiadok cinq semaines plus tard, à deux pas du X-Kiss d'où Katrien avait disparu. Le blouson de Ken a été déposé là deux semaines plus tard, puis ses gants de football ont été déposés quelques semaines après dans la boîte aux lettres de sa mère. L'inspecteur Ruyters a choisi la présence de Tiny Mast, mère des enfants, pour appeler Kim: "la petite pute dans son cercueil blanc". Il a fait une première enquête approfondie sur un criminel incarcéré aux moments du crime, puis une deuxième enquête qu'il a ouvert par la question "avez-vous assassiné Kim et Ken?" et qu'il a refermé quand le suspect a répondu "non". 1994 - Ganumedes a déménagé dans un bâtiment situé en face du parking de l’hôpital pédiatrique Good Engels. Plusieurs plaintes ont été déposées à l'encontre le gendarme Van Landschotee, pour abus sexuel des jeunes patients de cet hôpital. L'inspecteur Ruyters n'a pas trouvé d'élément probant pour le faire inculper. 1996 - Jos Jacobs a finis par faire l'erreur de ne pas payer ses impôts et a été arrêté grâce à un huissier de justice, qui avait saisit de nombreux films et photos de pornographie d'enfants, alors qu'il était chargé de saisir ses biens pour rembourser ses dettes. Le fichier des 400 enfants remis par le Werkgroep Morkhoven aux autorités n'a pas été un élément probant suffisant et aucune victime n'a été identifiée. Jos Jacobs a de nouveau été arrêté en février 1998 pour suspicion d’attentat à la pudeur et viols d’au moins deux garçons mineurs et il a été condamné à 2 ans de prison.
2008 - Fin de trente ans de mystères sur les dérapages judiciaires en série:
Il n'y a pas de maffia qui soit pointilleuse sur les droits fondamentaux. Ils emploient des minables petites merdes, prêtes à faire le sale boulot pour une couverture et de l'argent facile. Ils ne s'intéressent pas à la pornographie ou l'abus d'enfants: tout ce qu'ils veulent, c'est du cash, plein de cash. Des gens disparaissent, des corps flottent dans les fleuves. Ils payent des hauts fonctionnaires pour fermer les yeux et se faire d'avantage de montagnes d'argent. L’affaire DUTROUX a modifié la situation, quand la presse internationale, tenue dans l'ignorance du QI de l'inspecteur Ruyters, a décrit le gendarme Michaux comme le policier le plus bête du monde. La révélation du QI moyen des policiers en charge des enquêtes alliées aux intérêts de la maffia hollandaise a déclanché une crise gouvernementale. Le "cafouillage à grande échelle" sur le cambriolage de l’artillerie des brigades Dyane, dont la majorité des armes a manifestement atterri en Hollande via le gendarme Van Landschotee, est maintenu en secret d'état, alors que les faits sont prescrits. La maffia hollandaise ne doit plus payer les hauts fonctionnaires belges, qui couvrent toutes ces affaires gratuitement, de peur que la vérité ne fasse à nouveau basculer la Belgique dans le chaos. Mais l'impunité que la Belgique offre aux anciens employés de cette organisation, Pascal Taveirne par exemple, a engendré un problème encore plus grave. Les minables petites merdes ont pu constituer leurs propres réseaux pédocriminels, profitant du protectorat belge gratuit, avec le danger accru pour les enfants, d'un pouvoir illimité à des gens dont le QI minimum est inversement proportionnel à leur perversité. Source: Werkgroep Morkhoven |
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