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Communiqué de presse
CD Zandvoort
Marcel Vervloesem en cassation

Dossier Zandvoort secrètement classé en 1999 au motif de "coupables inconnus" & CD volés

Le Conseil Supérieur de la Justice révèle que le tribunal d'Anvers a jugé Marcel Vervloesem en 2008, pour avoir possédé les cédéroms de pédo pornographie qu'il avait envoyé au Roi des Belges, alors que le dossier Zandvoort avait secrétement été classé en 1999, pour cause de COUPABLES INCONNUS. Les victimes ont alors été couronnées par le vol de 7 cédéroms contenant les photos de ces crimes, que Marcel Vervloesem avait, au nom du Werkgroep Morkhoven, son organisation de lutte contre exploitation sexuelle d'enfant, confié au Roi.

Une enquête approfondie avait démarré le 13.04.99 et la Cour d'Anvers a classé le 18.07.99. Le Roi n'a manifestement pas été avisé du nombre de victimes, qui sont 93.081, selon Interpol. L'horaire normal en Belgique étant de 35 heures de travail par semaine en 7 semaine, l'équation mathématique démontre que les enfants ont été objet d'une enquête approfondie, les dossiers classés à la vitesse de 379 à l'heure.

Enquête approfondie 93.081 abus d'enfants
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96 jours : 7j/sem & 35 h/sem

Cliquez sur image pour version originale

Lettre du Conseil Supérieur de la Justice traduction libre

À Monsieur Marcel Vervloesem
Koninkrijk, 61.
2200 Morkhoven

Bruxelles - 21.02.08

Nos réf : N/07/0185/BDM/KDB

Cher Monsieur,

Concerne : votre lettre du 17 octobre 2007

Nous revenons sur notre courrier du 16 janvier 2008.

En avril 1999, vous avez envoyé des cédéroms, ayant comme contenu l'abus des enfants, aux dignitaires pour formuler une plainte concernant ce commerce d'enfants de forme affreuse. Le Parquet Général d'Anvers a réagis à la demande de Monsieur Tony Van Parys et ouvert un dossier.

Depuis toutefois, vous n'auriez plus rien entendu au sujet de cette affaire. Comme 8 ans sont entre-temps passés, vous avez informé, le 31 juillet 2007, le parquet d'Anvers pour connaître l'état des affaires et vous avez demandé la consultation du dossier AN.37.97.242/99.

Le parquet vous a répondu à cela, que le dossier avait été transféré au Parquet Général et que pour plus d'information à ce sujet, vous pouviez le consulter, ce que vous avez aussi fait le 9 septembre 2007.

Le 25 octobre 2007, vous avez reçu une réaction de l'avocat général Tack qui vous a fait savoir que le dossier était visible dans le dossier 130.P.2007, qui peut être consulté au greffe de la cour d'Appel d'Anvers.

Le 31 octobre 2007, vous avez consulté ce dossier, mais le dossier sollicité n'y a pas été retrouvé. Ceci a été confirmé au cours de votre visite suivante le 2 novembre 2007, où le dossier à nouveau, a été recherché, cette fois avec l'aide de la tête de service du greffe.

Le 5 novembre 2007, vous avez écrit au Parquet Général, afin de communiquer, que le dossier demandé ne se trouve pas dans le dossier prévu et vous avez à nouveau demandé de pouvoir consulter le dossier AN.37.97.242/99.

Le Parquet Général d’Anvers confirme que le 13 avril 1999, les 7 cédéroms ont été réceptionnés par la police judiciaire pour enquête complémentaire. Le 18 juillet 1999, le parquet d'Anvers a classé le dossier après enquête approfondie, au motif de coupables inconnus, après quoi le dossier a été rendu au Parquet Général.

Le procureur général confirme que le dossier, que vous avez sollicité, a été objet de l'enquête de ses services mais qui n’ont pas pu le retrouver nulle part. Entre-temps, suite à un enquête approfondie dans les archives du procureur du roi à Anvers, une copie complète du dossier avec le numéro de note AN37.97.242/99 a été retrouvée.

Cette copie, ainsi qu’une copie de la correspondance complète, a été jointe au dossier principal. Le procureur général en fonction vous a informé le 26 novembre 2007, que vous pourriez apporter tous vos moyens, vos plaintes et arguments à la séance du 5 décembre 2007. Bien que la copie complète du dossier soit retrouvée, reste que l'original est introuvable aussi bien au parquet du procureur du roi qu’au parquet général. Votre plainte, en ce qui concerne cet aspect, est donc fondée.

Le Parquet Général et le procureur du roi à Anvers seront mis au courant de cette décision. Votre dossier de plainte est clos.

Salutations très distinguées,
Geert Vervaeke, président de la commission d'avis et d'enquête du conseil Néerlandophone

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Editeur responsable: Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti - 10 Rue Faider - 1060 Bruxelles - Belgique - Droit de réponse: postmaster@droitfondamental.eu

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