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L'extraordinaire histoire du Werkgroep Morkhoven

 

Marcel Vervloesem, la naissance de l'homme scanner

C'était en 1953 à Lier, ravissante bourgade flamande en bordure de la campine, que naissait Marcel Vervloesem. Il était ce qu'il sera toujours: carré, costaud, ni petit, ni grand, ni bellâtre, ni laideron, rouspéteur et spirituel, mais sa mère avait déjà décidé de l’abandonner.Il grandit, bon garçon et enfant de coeur dans un orphelinat catholique, persuadé que ses parents étaient morts. Les bonnes sœurs ne jugèrent pas utile de lui parler de sa famille et ses professeurs ne notaient pas son intelligence singulière et sa personnalité le mettait de côté. 

Ses premiers talents apparurent lors d’un spectacle à l'école. Marcel bondit sur la scène déguisé en hippy, avec une perruque et une guitare, sous une music de rock dur. Il avait confectionné un système de ressorts qui lui permettait de faire sauter sa perruque et sa guitare en l’air en pressant sur un bouton. Tous, étaient hilares, même le directeur qui n'avait aucun sens de l'humour et il gagna le premier prix.

Comme la majorité des enfants abandonnés, il était destiné à se forger une personnalité sans fantaisie dans un métier manuel. Il devait quitter l’école pour la fournaise d’une boulangerie à quatorze ans, payé trois fois rien pour travailler de six heures du matin à dix heures du soir.Durant son service militaire, il trouvait une grande satisfaction à aider les plus faibles, mais il passait week-end et jours fériés à la caserne, car il n’avait nul part ou aller.

Marcel devenait un jeune homme méticuleux, soigné du haut en bas, jusqu’à ses chaussettes, toujours du blanc le plus immaculé. Aucunement attiré par l’alcool, la drogue et les bars, il était curieux, avide d’information. Il s’amusait à balayer des codes de 22 chiffres mélangés de lettres et les repérer ailleurs au premier coup d’œil. Il numérisait images manière si précise qu’il peut les retrouver parmi des centaines de livres, se souvenant de la page exacte de là où il l’avait vu précédemment.

Il aspirait à une vie ordonnée, construite sur le respect d’autrui et lorsqu’il rencontra Betty, il décida très vite de l’épouser. Etant mineur d'âge, il lui fut demandé l’accord de sa mère. Il crut à une erreur, mais ce n’en était pas. Il rencontra une femme effrayante qui lui refusa l’autorisation de se marier. Il crut à nouveau à une erreur, mais ce n’en était pas et dut attendre ses vingt un ans.

Marcel et sa fille Wendy

Le jeune couple vivait à Anvers, dans un appartement social et ils eurent une fille, nommée Wendy. Un homme sonna à sa porte et lui dit être son frère. Un autre arriva, puis un troisième. Il apprenait ainsi être né d’une famille de douze enfants. Neuf avaient été abandonnés à la naissance, placés dans des institutions différentes. La majorité avaient été transférés de l’orphelinat à la psychiatrie, comme si la Flandres n’avait que l’enfer à offrir à ses enfants abandonnés.

En 14 mois, le gaz carbonique d'un chauffe-eau vétuste tua la femme de Marcel. Son frère préféré mourrait dans l'incendie de sa maison et un autre se suicidait. Marcel décida d'interpeller la justice, afin de libérer ceux de ses frères et sœurs qui étaient encore enfermés en psychiatrie, pour reconstituer une famille normale.

Au château fort de Turnhout, les juges flamands le regardaient comme s’il fut si petit qu’ils ne parvenaient pas à le voir ou l’entendre. Il revint alors avec un bidon d’essence, leur demandant d’une voix claire et forte de choisir entre l’écouter où le voir brûler. Les magistrats en perdirent leur superbe : cela risquait de réduire le château en cendres. Ils choisirent de l’écouter, puis le firent interner.

Le petit homme était si sûr de son droit, faisait une grève de la faim, exigeant la révision des dossiers de son frère, de sa sœur et du sien. Les gens étaient partagés entre un sentiment de peur et d'admiration. Les médecins étaient embarrassés, car ils ne voulaient pas voir tous leurs patients faire de même. La justice était choquée que quelqu’un de si simple ose la contredire au risque sa vie.Plusieurs parlementaires venaient le voir, découvrant un homme spirituel dont les arguments étaient infiniment censés. Ils négociaient avec la justice et obtenaient tout ce qu’il demandait, sous condition de suivi psychiatrique. Marcel fut d'accord, mais il n’est pas homme à comprendre ce genre de condition et il ne la respecta pas. Les juges punissaient cette insolence et le faisait interner à nouveau : une fois, deux fois, puis abandonnèrent quand les médecins diagnostiquaient que rien ne peut guérir tant d’obstination, mais qu’il ne représentait de danger ni pour lui-même, ni pour la sécurité publique. De retour au village, il était un héros: il avait libéré un frère et une soeur qui purent enfin vivre, se marier, avoir des enfants et être heureux.

Victor Vervloesem & "Dikke Nie"Ainsi, Marcel se retrouva confronté à son demi-frère Victor qui, ayant été destiné à un meilleur avenir par sa mère, ne supportait ni son charisme, ni sa répulsion pour les agressions sexuelles. Il détestait ce frère qui parvenait à convaincre que ces agressions étaient anormales et qu’il fallait s’en défendre en portant plainte. Les gens trouvaient l'idée absurde ou drôle, car tous vivent dans la peur du Palais de Justice et des magistrats qui semblent les juger sans les comprendre. Marcel ne parvenait pas toujours à les convaincre de porter plainte, mais il se faisait beaucoup d’amis, d’autant plus qu’il passait sa vie à rendre service. Parmi eux : Luc Vervloesem avait certainement un ancêtre commun, puisqu’ils portent le même nom, mais ils ne savent pas lequel, car c'est trop lointain. Il avait une quinzaine d’années quand Victor et sa bande l’avaient agressé, attaché à un arbre, déshabillé et humilié dans un jeu de pouvoir. Il s’était réfugié chez Marcel et une grande amitié naissait. Il grandit bon vivant, musicien talentueux et se mariait à Christel.

 

Droit des prisonniers

Entre-temps, Victor qui était ami avec les deux policiers du village, se lia également avec leurs chefs de canton à la ville de Herentals. Il était parvenu à les convaincre de harceler ses opposants, les condamner pour l’ivresse d’un soir de fête, et d’éluder tout procès-verbaux concernant ses agressions. Luc était une proie idéale, car il aime le bon vin. C’est ainsi qu’il se retrouvait en prison, pour avoir pris le volant avec un verre dans le nez.

Marcel accompagnait Christel et leurs deux enfants pour le voir. Il avait toujours un mot pour la faire rire et la défendre. Il rencontra des prisonniers à la santé fragile, désemparées par les difficultés à vivre leur incarcération sans soins appropriés, désemparés par leurs difficultés à s’exprimer. Il prenait alors sa plume et formulait leurs demandes, comme s’il était mi-écrivain public, mi assistant social, et leur obtenait les remèdes dont ils avaient besoin.

 
Marcel dans son ambulance

Les emplois sont rares dans la région. Tous s’invitent les uns chez les autres autour de la table de cuisine, manger des crêpes épaisses et boire un café si fade qu’on peut en boire des litres sans mal. Autrefois, la communauté se partageait en clan définis entre fermiers et employés des grands propriétaires terriens et bandits de grand chemin. Les Vervloesem appartenaient à ce dernier clan qui en campine, étaient célèbres pour brûler les pieds de leurs victimes afin d’obtenir le secret du lieux où ils cachaient leurs économies. Au vingtième siècle, les petites fermes ont fait faillite, les châteaux sont devenus des biens communaux et les champs virent pousser des maisons en forme de cube, avec des des fenêtres voilées de dentelles synthétiques, au milieu de jardinets ordonnés, entourés de minuscules haies de buis.Le banditisme et les mœurs se sont modernisés. Les viols d’hommes, de femmes et d’enfants remplaçaient les pieds grillés et les attaques à mains armées, cambriolages et trafic de drogue apportait le confort complémentaire. Seule la prostitution est restée identique à ce qu’elle à toujours été dans les campagnes : des femmes particulièrement laides attendent le départ de leur mari pour accueillir des hommes qui peuvent cent kilomètres de bicyclette pour payer leurs faveurs. D’autres offrent l’innocence de leurs filles pour quelques cadeaux ou services.

A Noorderwijk, les clans sont restés identiques, départagés entre victimes et auteurs de méfaits : les premiers se réfugiant naturellement chez ceux qui s’opposent aux deuxièmes. Parfois, un ennemi sonne à la porte et demande un service, ce qui est accepté, au cas où il changerait de camp. Chaque clan a son banc public où hommes et femmes se retrouvent, s’épient, médisent. Chaque clan désigne des espions pour savoir ce que l’autre complote et ils sont toujours bienvenus, car ils laissent toujours tomber un mot qui trahis un plan et ils rendent service.

Marcel devint surveillant de cimetière, détective de grand magasin, où il parvenait à détecter le plus petit faux plis dans un manteau, qui cachait quelque chose destiné à quitter le magasin sans le payer. Il fit des études de détective scientifique, mais ne trouva pas de travail dans le domaine, alors devint secouriste ambulancier.

 

Action chaise roulantes

Les années passant, il rencontrait une autre femme, lourdement handicapée et ils se mirent en ménage. Il la soignait, l’habillant, la déshabillant, la nourrissant et il élevait son fils comme s’il fut le sien, au même titre que sa fille. Constatant que la loi interdisait l’entrée de lieux publics tels que les cinémas et les métros aux personnes en chaises roulantes, Marcel appela quelques hommes du village et les convainquit de faire une campagne plein d’humour et de drôlerie à Anvers.

Il fut invité à un débat sur un plateau de télévision locale. Un élu expliquait cette loi pour la protection des personnes. Il répondait que le droit fondamental garantissait l’égalité entre tous : les mesures de sécurité devaient s’adapter aux personnes à mobilité réduite, non pas par une interdiction à ce qu’ils ne fréquentent les lieux publics, mais par des ascenseurs, des portes suffisamment larges et des surfaces aménagées aux chaises roulantes. Tous restaient stupéfait, sans trouver d’argument pour poursuivre un débat. Il contactait alors les parlementaires qu'il avait rencontré précédemment pour les convaincre de se laisser balader en chaises roulantes, poussés par ses hommes. Ils acceptaient, attirant la presse. Tous riaient, mais comprirent ainsi le problème, ce qui mena au changement de législation. Ainsi naquit le Werkgroep Morkhoven qui devint une association sans but lucratif en 1988.

Cellule d'isolation

En 1988, un homme venant prendre le café chez Marcel était en détresse. Son fils, placé dans un institut psychiatrique des Services Sociaux d’Anvers, était régulièrement enfermé en cellule d’isolation, parfois durant des mois. Ils s’y rendirent ensemble. Ces cellules étaient nues, sans lumière du jour mais avec une lumière électrique violente et les enfants y étaient enfermés seuls. La loi octroyait tous les droits au personnel hospitalier, sans le moindre contrôle, d’où toute liberté d’abus. Les médecins refusaient d'écouter: enfermer un enfant en cellule d'isolation était normal.

Jan Boeykens, un intellectuel anversois, était l'un des premiers homme de Flandres à devenir activiste du droit des patients dans le domaine de ceux menacés par un internement en institut psychiatrique. Comme il conduisait une émission de radio, il entendit que le Werkgroep Morkhoven faisait des actions pour sensibiliser les gens aux conditions des enfants psychiatrisés. Il interviewa Marcel, rejoignait le mouvement et devint le rédacteur attitré des pamphlets.

Leur méthode était toujours la même : ils attiraient l’attention des passants en les faisant rire, pour en suite leur faire comprendre la situation. La problématique des cellules d'isolation parvint au ministère de la santé. Le ministre Vervotte invitait Marcel et Jan pour les entendre. Elle leur demanda de collaborer à une nouvelle loi établissant une réglementation autour de l’utilisation des cellules d’isolation dans les instituts psychiatriques, avec des mesures de contrôle visant à protéger autant les adultes que les enfants. Le Werkgroep Morkhoven continuait à se rendre à l’institut pour s’assurer de bonne application de la loi.

Le terme "cellule" fut remplacé par "chambre", et le terme "isolation" fut remplacé par "réflexion". Les enfants qui étaient enfermés en cellule d’isolation étaient à présent envoyés en chambre de réflexion. Les hommes revenaient dans les rues d’Anvers, distribuant leurs pamphlets. Étrangement, la police réagissait très violement. Les hommes étaient arrêtés et interrogés et leur maisons étaient perquisitionnées, comme si soudain les activistes de la protection de l'enfance étaient des terroristes. Le Service Social porta plainte pour diffamation contre Jan. Mais le Werkgroep Morkhoven avait réuni environ deux cent pages de témoignages et copies de procès-verbaux de plaintes pour maltraitances, dont un nombre horrifiant de bras cassés et une petite fille de cinq ans qui était morte en "chambre de réflexion".Revêtu d’une robe de prêtre, Marcel suivi de quatre de ses hommes qui transportaient un petit cercueil vide. Alors qu'ils arrivaient devant le Palais de Justice d’Anvers, deux autres grimpèrent sur une grue non loin de là, pour appeler la foule et l’inonder de pamphlets. Le Service Social renonçait à poursuivre Jan.

 

Découverte du réseau pédocriminel Zandvoort: Temse/Madeira

En 1992, le Werkgroep Morkhoven était célèbre. Les hommes continuaient à contrôler l'institut psychiatrique d'enfants à Anvers. Les enfants étaient ravis, comme réconfortés de la victoire d’hommes simples sur le trop puissant Service Social. Ils parlaient librement et sans crainte, même de leurs escapades, lorsqu’ils prenaient l’autobus pour la ville de Temse, à 17 km de là.Ils riaient sans comprendre la gravité de ce qu'ils racontaient: Ils avaient rendez-vous avec Norbert De Rijck, le réceptionniste de l'hôpital du Service Social local. Il les payait afin de poser pour des photos pornographiques dans bars Monty et Gayatti.

Les hommes allaient à Temse pour s'assurer de ce qui s’y passait. Ils allaient dans les bars, rencontraient ces gens, tendant l’oreille, posant des questions de-ci, delà. L’affaire était plus grave que prévue. Le Service Social leur claquait la porte au nez. La police était tout aussi grossière. La seule possibilité pour protéger les enfants était de leur interdire l'entrée des bars et de réunir les parents. Il y avait des dizaines de familles à trouver et le plus difficile fut de les convaincre. Tous craignaient s'attaquer aux Services Sociaux, car la majorité dépendaient d'allocations ou de logement Social. En acceptant de se rencontrer, l'union fit la force et plus rien ne pouvait les arrêter. L'affaire explosa, les enfant étaient protégé, mais les criminels restaient libres.

Les patrons des bars étaient furieux. L'un d'eux déposait plainte, prétendant que Marcel l’avait menacé de le dénoncer pour possession de photos pornographiques d’enfants, proposant son silence pour de l’argent. Il admettait ainsi posséder des photos que le Werkgroep Morkhoven lui reprochait d'avoir prise, mais il était laissé en liberté. Au même moment, une femme faisant commerce de vidéo pornographique payait une de ses amies et deux hommes du Werkgroep Morkhoven pour accuser Marcel d’escroqueries. Un vieil homme qui s’était porté volontaire pour distribuer les pamphlets, était accusé par son fils adoptif d'abus sexuels. La justice s’emparait évidemment de l’affaire, et la presse aussi, mais non pas pour traiter la tragédie intrafamilial ou polémiquer sur l’adoption, mais pour faire passer l’homme en tant que membre du Werkgroep Morkhoven et le Werkgroep Morkhoven pour une association de pédophiles.

Les homme étaient à nouveau traités en criminels. La police les arrêtait, interrogeait, perquisitionnait leurs maisons. La justice exigea que Marcel passe des examens psychiatriques. Il était condamné à 6 mois de travaux d’intérêts publics pour chantage et escroqueries. L'homme qui avait admis ses crimes n'a jamais été condamné. Il était donc supposé avoir subit un chantage pour un crime dont il n'avait pas à répondre. Il faudra 7 ans à la Cour d’Appel pour le disculper. Le temps qu’un des hommes de Temse avoue à la presse avoir porté de fausses accusations pour éloigner le Werkgroep Morkhoven de leur réseau. Le temps que Marcel découvre un reçu de 50.000-FB d’un de ses hommes à la vendeuse de vidéo porno pour faire des fausses accusations. Le temps que l’expertise graphologique démontre que les condamnations d’escroqueries avaient été faites sur base d’un faux en écriture.

Le tribunal félicitera le Werkgroep Morkhoven pour son travail, mais condamna Marcel à 7 mois de prison avec sursis pour désordre dans ses dossiers. La marchande de porno sera condamnée à 6 mois de travaux d’intérêts publics. Aucune des autres personnes ne sera inquiétée.

La bande de De Rijck était toujours libre d'abuser des enfants. Les hommes du Werkgroep Morkhoven débarquaient à Turnhout avec des brouettes de briques, de sable et de ciment, annonçant qu’ils allaient murer la porte du tribunal. La foule s’amassait en riant et les hommes distribuaient des pamphlets. Deux fourgon de police arrivaient. Ils armés jusqu’aux dents, prêt à intervenir au premier menace de truelle, ce qui fit doubler les rires. L'activisme s'avéra moins dangereux pour la protection des animaux que pour celle des enfants en danger. Chaque action étaient l'occasion d'arrestation, d'interrogation et de perquisitions.

En 1995, Marcel avait retrouvé les anciens patients de l’hôpital psychiatrique. Plusieurs se retrouvaient dans ce que les hollandais appellent des « agences d’escorte homosexuelles » et la police s'en fichait. Le Werkgroep Morkhoven lâchait 200 souris blanches et 5000 criquets dans la Tour de l’Yser, symbole de la Flandres. La réaction dépassa l'imagination, parageant le pays entre le rire et la colère. L’administration menaça de poursuivre l'organisation, assurant les insectes avaient abîmé la moquette toute neuve. La presse flamande se déchaîna, fustigeant le manque de respect des activistes. Ils avaient été trop loin. Le justice ordonna de nouveaux interrogatoires et des perquisitions, pour possession illégale de souris blanches et criquets. Le leader du Werkgroep Morkhoven était arrêté et incarcéré pour conduite en état d’ivresse répétée durant cinq jours, le temps que les autorités s'aperçoivent avoir arrêter Marcel à la place de Luc.

Entre-temps à la prison, il eut accès à son dossier, ce qui comportait le passif tous ceux impliqués dans la plainte pour chantage à son encontre. La police de Waarle en Hollande, avait arrêté De Rijck trois ans plus tôt dans une affaire de pédophilie. Il visionnait une vidéo pédo- pornographique de sa production avec Lothar Glandorf, patron de bordel d’enfants à Rotterdam, et Robert Van Der Plancken, un jeune prostitué belge d'Amsterdam. Ainsi, il apparut que la justice belge avait les preuves depuis trois ans, mais que De Rijck était toujours réceptionniste de l'hôpital des Services Sociaux, libre d'inviter des enfants à poser pour des photos pornographiques, alors que Marcel était emprisonné au nom de Luc. La découverte invita à un petit voyage en Hollande, pour y rencontrer les autres personnes impliqués.

Zandvoort: en reconstruction

 
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