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Droit Fondamental

    Jan Boeykens, président du Werkgroep Morkhoven, au lendemain de l'opération. Il montre Michael Jackson, qui a du être dans un cercueil avant que la presse reconnaisse la cabale l'accusant de pédophilie. Michael Jackson valait plus mort que vivant, selon sa sœur. Une des motivations pour porter des plaintes en série contre Marcel Vervloesem, était de récupérer sa maison.

    Erratum "cambriolage légalisé"

    Un vent de panique a soulevé le village de Morkhoven, quand Jan Boeykens, président du Werkgroep Morkhoven, s’est tordu les boyaux à force de chercher à comprendre la justice belge, ce qui forma un noeud de 50 cm, si inextricable que les médecins n'ont vu d'autre solution que de le couper.

    Marcel Vervloesem, chercheur principale de l'ONG, victime des célèbres "erreurs médicales" et "erreurs judiciaires" visant à anéantir les témoins de crimes qui rapportent beaucoup d’argent, a été expulsé d'une maison dans laquelle il a vécu plus de 20 ans. Cette maison est destinée à une des personnes, qui a participé à la cabale pour le faire incarcérer, pour ses jolies plantes, sa fontaine, sa volière et la cabane construites de ses mains dans son jardin.

    La société des maisons sociales fait part du panzer division de l'Etat, qui sont les seuls en Belgique autorisés à expulser les personnes handicapées de chez eux. Même un juge n'a pas obtenu l'expulsion d'une personne handicapée qui n'avait pas payé pas son loyer durant un an, mais la panzer-division belge le peut. Ils ont plaidé un soudain "bruit insupportable" d'autres membres du Werkgroep Morkhoven et d'une arrière-grand-mère grabataire pour demander leur expulsion d'une maison où ils vivent également vécu depuis plus de 20 ans. La soeur de la future locataire, qui soutient le Werkgroep Morkhoven, a du mettre sa fille handicapée dans une institution, parce la maison sociale qui lui eut permis de la garder chez elle, a été accordée au cadre d'une entreprise d'Anvers. Voilà qui donne une idée du luxe des maisons sociales flamandes.

    Jacqueline de Croÿ et Marcel Vervloesem devant sa volière

    Marcel Vervloesem et Jacqueline de Croÿ devant la volière fleurie

    La panzer-division sociale a obtenu l'expulsion de Marcel en plaidant que la maison n'était pas occupée, selon le contrat. La Cour d'Appel a remis sa décision à septembre. Dés que le tribunal d’application des peines a refusé un bracelet électronique au motif qu'un site Internet "critique la justice", la panzer-division sociale a exigé l'évacuation de la maison endéans les 10 jours, donc avant que la Cour de Cassation ne décide de la légalité de motiver un jugement par un délit d'opinion.

    Le déménagement a été fait dans la panique, mais les quelques dossiers du Werkgroep Morkhoven, laissés en son ancien siège social, sont en sécurité. Une erreur d'interprétation, quand le président était sur la table d'opération, a fait croire à un cambriolage légalisé. Ce n'était que le vol légalisé d'un morceau de cœur, de buissons de fleurs et du fruit d’années de jardinage pour le plaisir de l'oeil, de gens sans défense face aux panzer-divisions de la démocratie chrétienne belge.

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