Dans les années 70, la communauté pédophile
tenta d'utiliser la lutte contre la persécution des homosexuels
aux USA pour réclamer le droit de violer les enfants. Le groupe
Nambla se joingna aux "Gay Prides", mais rejeté par
ceux qui refusent la confusion entre crime et une expression de la
nature: le "boylove day" fut dédié à
l'honneur des violeurs de garçons et le "Alice day"
à l'honneur des violeurs de filles.
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Stonewall Inn |
En 1969 à New York, la loi interdisait de servir des boissons
alcoolisées aux homosexuels, qui risquaient des poursuites
pour attentat à la pudeur en cas de baiser, et même
pour port de vêtements traditionnellement réservés
au sexe opposé. Huit policiers firent une décente
�� Greenwich Village, au Stonewall Inn, l'un des rares bars dont
les homosexuels n’étaient pas chassés. Une
violente émeute s’en suivi lors de laquelle un hétérosexuel
fut tabassé par les forces de l’ordre, ce qui fut
suivi d’un mouvement pour réclamer le droit à
l’égalité des personnes.
De la lutte contre le harcèlement des policiers envers
les homosexuels, le mouvement se scinda, formant une branche pour
la légalisation de la pédophilie. Le 2 décembre
1978, suite à une conférence sur le thème
"L'amour hommes/garçons et la majorité sexuelle"
à laquelle 150 personnes assista, une trentaine d'entre
eux, dont David Thorsdat, décidèrent de fonder NAMBLA,
acronyme de North American Man/Boy Love Association. L'association
s'allia aux réseaux pédocriminels européens
C.R.I.E.S., Spartacus, Appolo, tous membres de celui de Zandvoort.
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David Thorstad,
Nambla co-foundor sur un lit d'eau avec des enfants |
Au début des années 80, NAMBLA comportait plus de
trois cents membres. En 1995, son carnet d’adresses comportait
onze cent noms. En 1998, un an après la remise du dossier
Zandvoort aux autorités par le Werkgroep Morkhoven, Nambla
fit la promotion du forum IPCE, acronyme de "International
Pedophile and Child Emancipation". Les deux organisations ont
leur site Internet, recrutant des activistes pour la libération
de la pédophilie.
En 2007, Nambla qui fêtera l'anniversaire de ses 28 ans,
se dit un organisme politique, de droits civils et d’éducation.
N'ayant pas sa place dans les "gay prides", elle inspira
le "Boylove Day", jour international des violeurs de
garçons, célébré le premier samedi
après le solstice d'été, lors duquel ils
allument des bougies bleues en public. Pour faire juste mesure,
les violeurs de petites filles ont décidé du "Alice
Day", célébré le 25 avril en mémoire
de la rencontre en 1856 d’Alice Liddell avec le Révérend
Charles Dodgson qui, sous le pseudonyme de Lewis Carroll avait
écrit "les aventures d’Alice au Pays des Merveilles".
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Joseph
Power, Président de Nambla en Carlifornie. |
La vérité historique fait apparaître une
rupture entre les familles qui avaient alimenté une rumeur
de pédophilie, mais il s’avéra que l’Angleterre
puritaine d’alors, avait réprouvé que le pasteur
se soit approché des enfants pour se rapprocher de leur
gouvernante !
Le réseau pédocriminel Orchidée et les rumeurs
lancées sur les dits penchants pervers de Lewis Carroll
pour Alice ont d��bouch�� sur le réseau "Pays des Merveilles",
d��mantel�� par l'opération Cathédrale. Les polices
ont dénombr�� 1.236 victimes. Ils avaient partagé
de la pornographie d’enfant avec le réseau Zandvoort,
qui lui a fait 93.081 victimes.
Nambla est autorisé aux USA, au nom de la liberté
de pensée. Le "boylove day" est fêté
le 23 juin. Certains pays, comme l’Italie fait des contres-manifestations
nationale contre la pédophilie. D'autres s'en moquent.