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Sectes

Satanisme, sadomasochiste, cultes, VIP et traite d’enfants par le Dr Giorgio Gagliardi

Sectes établies ou émergentes ou encore micro-sectes se livrent à des abus sur des enfants, tortures et assassinats ritualisés qui relèvent de la pédocriminalité. En 1998 Mancino, le Ministre de l’intérieur italien a déclaré publiquement qu’au cours des deux années précédentes, deux mille mineurs avaient été entendus ; ce qui est un chiffre plutôt élevé qu’aucune institution n’a expliqué. Les sièges locaux de la police qui ont fourni ces statistiques sont parfois seuls à connaître le contenu des accusations portées par ces mineurs.

Toujours en 1998, le ministre de l’intérieur a publié une circulaire officielle « Sectes religieuses et nouveaux mouvements de magie en Italie ». Il s’agit là de l’unique document fourni par l’Etat italien concernant les nouveaux ou anciens mouvements religieux, de magie, fausses églises, églises de complaisance, psycho-sectes dont l’illégalité est constituée par la déstructuration physico-mentale de leurs victimes et les dégâts causés à leurs adeptes. Il est en effet question de mécanismes subliminaux de fascination (lavages de cerveau) et autres méthodes destinées à limiter la liberté de la victime, à favoriser les intérêts matériels des chefs charismatiques, à cacher des comportements immoraux et des conduites illicites qui n’ont rien à voir avec les buts poursuivis déclarés qui donnent une apparence de respectabilité.

Il est à noter qu’il n’y a pas que des sectes ou des « cultes » de religion, de magie et d’ésotérisme. Certaines sectes sont également politiques, commerciales pratiquant la vente multi niveaux, et à objectif psychothérapeutique. En droit italien, à l’opposé du droit anglo-saxon, les crimes sectaires ou rituels ne sont pas codifié différemment des autres délits. Ils sont considérés comme des actes sporadiques et occasionnels.

 

L’affaire Pacciani

A Florence Nadi Roccia fut condamnée pour le meurtre perpétré sur Anna Maria Botticelli et Marina Sira (Bari). L’affaire engendra une attention particulière des enquêteurs et des magistrats sur ces crimes rituels. Il y avait alors une vague de meurtres semblables survenus dans les environs de Florence. Cependant, les organismes institutionnels ont habilement caché les preuves démontrant qu’il s’agissait de meurtres rituels, dans le cadre d’appartenance à une secte satanique.

 

Le réseau de Modène

En 2000, le procès de Modène contre les pédocriminels avait été beaucoup plus prenant. Des enfants avaient été violentés par leurs parents, des voisins, des amis, prostitués à d’autres personnes, et les scènes de violences étaient filmées. Ces enfants n’ont pas été écoutés, alors qu’ils avaient affirmé que d’autres enfants avaient été massacrés et suspendus à des crochets de boucherie dans une usine désaffectée depuis plusieurs années. Les condamnations furent légères, malgré un ballet d’experts, le suicide d’une mère, la mort d’un prêtre condamné à quatre ans de prison. Cette affaire a été décrite par le sénateur Augusto Cortelloni dans son livre « Pédophilie et Satanisme », comme étant « le sale gâchis de la Bassa Modenese » (novembre 2000 édition Artestampa – Modène)

 

Le Villa des Chrysantèmes

En 1998, à la « Villa des Chrysanthèmes » dans l’Oltrepo Pavese, une enquête menait à une secte satanique inconnue susceptible d’avoir été une filiale, voire la continuation d’une autre secte satanique qui agissait aux alentours de Piacensa en 1996, qui s’était évanoui dans le néant suite à deux suicides. Les « suicidés » étaient amis. L’un était membre des pratiquants de l’occultisme et il est probable que tous les deux fréquentaient le même groupe. L’affaire fut classée sans suite en 2001, les enquêteurs n’ayant rien pu obtenir. L’affaire de la « Villa des Chrysanthèmes » donna lieux à huit arrestations. Les minutes de l’enquête indiquent : « violences multiples sur mineurs, administration de drogues à des mineurs, y compris des garçons, qui étaient amenés dans des lieux où étaient pratiqués les rites. Une église dont la consécration a été annulée, fut considérée comme lieu d’exécution des rites, sans toutefois être le siège de la secte qui les exécutait. La secte s’est dissoute, ne laissant sur le ban des accusés que quelques adeptes, les autres volatilisés dans les brumes de l’Oltrepo, alors les ossements d’un enfant avaient été découverts.

 

Les Enfants de Satan

En 1998, Marco Dimitri de Bologne, fondateur des « Enfants de Satan » a été accusé, entre autres, d’avoir enfermé un enfant dans un cercueil contenant le cadavre d’une femme. Dimitri a ensuite été acquitté mais personne n’a nié la violence physique exercée sur l’enfant enfermé dans le cercueil. Chaque secte satanique pratique des rites qui prévoient l’utilisation des enfants mais tout ceci est habilement caché. Le traumatisme subi sera enregistré mentalement par le mineur qui, victime d’autres traumatismes consécutifs aux violences subies, se confiera à des thérapeutes. Ceux-ci noteront ce qu’ils constatent mais ne seront pas en mesure d’apporter la moindre preuve sur les causes des dommages psychologiques constatés. L’abus rituel, le rituel satanique ou à tendance satanique, la pédo criminalité déguisée en rituel ont en commun la violence de tous types sur les animaux, les êtres humains particulièrement les jeunes, les enfants, les femmes, l’usage de substances hallucinogènes, de stupéfiants, d’hypnotisants, de sang humain ou d’animaux. (Voir : Anton Long dans « L’Ordre des neuf Anges » qui sévit partout en Europe, et Alister Crowley dans son « Liber Legis »).

 

Blaue Rose

La nouvelle secte satanique appelée « Blaue Rose » est beaucoup plus destructrice. Elle est composée d’éléments racistes, de métal rock, de psycholitique et surtout d’incitation au suicide et divers autres crimes célébrés en musique de rock transgressif. Cette secte s’est rapidement développée à partir de l’Allemagne vers les pays limitrophes et a causé des suicides collectifs de mineurs. La « Blaue Rose », groupe satanique a comme siège secret Reichenbach (ex Allemagne de l’est). Elle recrute ses adeptes par Internet avec des théories disant que la vie est inutile et que la mort est agréable. En 1999, quinze suicides seraient en rapport avec cette secte destructrice. Au cours de l’été 2000, deux jeunes de Kleis âgés de dix-sept ans ont envoyé un SMS à des amis de Berlin disant « Aujourd’hui est un beau jour pour mourir » et ils ont projeté leur voiture contre un arbre. En juillet 2000, un jeune homme a tué un de ses amis de 66 coups de couteau prétendant que Satan lui en avait donné l’ordre. En août 2001, Michael 14 ans, Mike 17 ans et René 18 ans ont été sur un pont de 78 mètres de haut avec des amis. Ils ont allumé un feu puis, les mains liées, ils ont sauté au dessus du feu, puis se sont jetés du pont en criant « Vous ne nous reverrez plus ». Leurs corps étaient couverts de signes sataniques. Sur une lettre d’adieu de René, il y avait des signes sataniques et le chiffre 666. Le suicide est l’acte du rituel extrême le plus prisé par beaucoup de sectes sataniques, au motif qu’après un acte d’une telle violence, des pouvoirs occultes seraient donnés aux autres adeptes. Le satanisme moderne est une sorte de bricolage de diverses tendances ésotériques dont la référence est Alister Crowley avec toutes ses publications, cérémonies et rites (Liber Legis). Dans la majorité des cas, l’autel sur lequel est célébrée une « messe noire » est le corps d’une jeune femme ou d’un jeune homme. (Note collective de plusieurs psychothérapeutes). Les sectes qui décrivent le rituel pour tuer un être humain comme sacrifice à Satan sont nombreuses, certaines parlent d’adultes, d’autres ne précisent rien. Le fait de ne retrouver aucune trace vient de l’utilisation désormais connue de l’acide sulfurique ou nitrique pour dissoudre tous les éléments humains indésirables.

 

Pédo criminalité, multinationales, nouveaux mouvements religieux et sectes

En Italie, il n’y a pas de statistique concernant les enfants vivant dans les sectes ou dans les cultes destructifs même si nous savons que les enfants grandissent dans ces groupes pour y avoir été amenés par un des parents ou les deux qui, eux-mêmes, vivent à l’intérieur de la même secte que leurs enfants. Ces enfants n’ont pas une vie différente des autres adeptes. Ils ont des moments de vie communs. Les faits de maltraitance des mineurs au sein de ces groupes sont généralement rapportés par des parents qui quittent la secte et contactent les associations d’aide, même les centres publics. Ils racontent leurs histoires mais n’engagent aucune suite judiciaire tant que les mineurs sont restés dans le groupe, car ils risqueraient de subir des mesures de rétorsion du parent ou des autres membres qui y sont encore.

 

Les Enfants de Dieu

En Italie toujours, les « Enfants de Dieu » appelés « La Famille » suivent encore les instructions relatives à la force sexuelle considérée comme force de recrutement. Le message est surtout destiné aux femmes qui par la pratique de l’union libre, sont susceptibles de drainer de nouveaux adeptes. L’union libre imposée à l’intérieur de la secte a de graves conséquences surtout sur les femmes qui hésiteront à quitter le groupe avec leurs enfants. Cette secte est présente dans la péninsule au sein de nombreuses petites communautés agricoles.

 

Fellowship of Friends

Robert Burton, leader de « Fellowship of Friends», association de l’amitié, a prédit une catastrophe mondiale de 1998 à 2006 et affirme être en relation avec la « force C » composée de quarante-quatre anges. Burton a souvent été poursuivi devant la Cour Justice américaine pour abus de confiance, maltraitances sexuelles, actes sexuels sur des mineurs et souffrances morales causées intentionnellement. Cette association existe en Italie avec des sièges dans plusieurs villes et souvent les parents qui en sont adeptes partent avec leurs enfants dans d’autres villes. Certains mouvements religieux refusent catégoriquement la présence des mineurs. C’est le cas de « Anima Universale » de Leini (Turin), de « Ontopsychologia » (Pisignano) alors qu’au sein d’autres mouvements comme « Damanhur » et « La Famille », les mineurs sont acceptés et ont même des écoles au sein du groupe, écoles qui peuvent être des jardins d’enfants ou des écoles maternelles. Les affaires qui viennent d’être rappelées ont été rapportées aux autorités institutionnelles qui ont écouté le parent privé de ses droits et de ses devoirs. Souvent cependant, le signalement n'est pas suivi de dénonciation, même si celui-ci est fait par un autre membre de la famille et comme personne ne veut engager de poursuite, le tout est archivé, sans plus.

 

Les micros sectes destructrices

Nombre d’éléments connus des autorités compétentes mais pas encore publiés, parlent d'un nombre croissant de micros sectes composées de quelques familles, soit d'une dizaine de personnes, qui louent un local à la campagne et sont dirigées par un leader autoproclamé, homme ou femme, le plus souvent accompagné par des personnes de couleur se faisant passer pour des chamans. La micro secte forme une communauté qui suit les doctrines et enseignements du leader qui peut faire tout ce qu'il veut sur les personnes. Il est difficile de suivre leurs traces, car ces adeptes passent d'un local à un autre, qu’ils n’ont pas de numéro de téléphone fixe et changent souvent leur numéro de téléphone cellulaire. La difficulté est encore augmentée par le fait qu'ils se cachent sous l'apparence de groupes agricoles, parfois dans des endroits très éloignés dans lesquels se cachent les personnes recherchées.

 

Italie : Carrefour de la pédo criminalité internationale entre le nord de l'Europe et les pays de l'Est.

A la question de si les réseaux internationaux qui ont en commun l'exploitation sexuelle des enfants, commettent des crimes sur mineurs sous couvert d'organisations humanitaires et politiques ou comme émanation de véritables sociétés secrètes, comme étant des sectes destructives, la réponse est oui. En Suisse le 13/07/1999, la Cour criminelle de Mendrisio s'est prononcée contre l'italien Vittorio Nitti, marié et père d'enfants qui organisait des voyages au Brésil et en Amazonie pour des pédophiles (il recrutait des enfants mais le trafic de mineurs n'a pas été prouvé). Les enfants filmés sur des vidéocassettes sont de type amérindien. Nitti a été domicilié au Brésil, Boa Estrada Roralma. Il a déjà été condamné pour infraction aggravée à la législation sur les stupéfiants ( il mettait de la cocaïne dans des petits chocolats) , pour pornographie (de mineurs) dans le but de s'enrichir, il avait aménagé un appartement près de la frontière italienne, à Chiasso, au 16 de la rue Odescalchi et il était toujours en contact avec son frère, Claude qui avait établi des contacts avec la Pologne, des pays européens, le Brésil pour la diffusion et la vente de matériel pornographique dans lequel figure des mineurs. Les enquêteurs ont retrouvé dans son appartement de Chiasso vidéos, revues pornographie de mineurs telles que « Jeunes et naturels », éditées par Orwid. Ses agendas comportaient des adresses dans le monde entier, donc également en Europe de l'Ouest, et des contacts au Luxembourg, dont avec le pédophile luxembourgeois Jean Michel Klopp. Le tribunal suisse de San Gallo avait condamné l'italien Nitti en 1996, à une peine de deux ans de prison pour trafic de stupéfiants. Les tribunaux français l’ont condamné en 84 à quatre ans de prison et une interdiction de séjour pour trafic de cocaïne avec la Colombie. Les tribunaux brésiliens l’ont condamné pour trafic de stupéfiants, pédophilie et usurpation d’identité. Tout comptes faits, il a pu à chaque fois recommencer ailleurs, toujours au détriment des seuls mineurs. Son frère Claude a un palmarès équivalent à son actif : il a été condamné à Alcamo (Trapani) pour abus sexuels sur mineurs. Un autre croisement entre l'Italie et le marché international, se trouve celui avec les pays de l'est par le passage désormais bien connu de Trieste avec la frontière commune entre l’Italie et la Slovénie. Des enfants sont abandonnés par des passeurs dans la zone aéroportuaire de transit où ils seront recueillis par la police ou par des organisations comme Caritas qui suivent ce phénomène. Ces enfants peuvent donc également être ramassé par des prédateurs d’enfants qui pourront en faire l’usage qu’ils désirent. Un trafic à double sens a été interrompu en avril 2001. Les statistiques indiquaient que le trafic d’enfants (y compris les adoptions illégales) aurait diminué en Roumanie alors qu’il augmentait en Russie. Trente mille mineurs sont estimés avoir été exportés illégalement tandis que cent et dix milles enfants abandonnés dans les instituts roumains. Le gouvernement roumain a en effet donné un sérieux tour de visse aux adoptions vers l’étranger, mais les trafiquants d’enfants roumains, bien que privé de la politique d’adoption, restent très actifs.
    Enfants exportés (disparus-adoptés)
      Russie Roumanie Moyenne
    1996 197 580 777
    1997 314 416 730
    1998 655 260 815
    1999 834 243 1077
A Bucarest, Ileana Bustea travaille auprès de deux organisations humanitaires « Irene » et « Stuart », qui présentent l’afflux des orphelins en provenance de Russie et de Roumanie. On constate que le nombre d’enfants exportés de Roumanie et de Russie a augmenté de 30% de 1996 à 1999, mais seul l’afflux des enfants en provenance de Russie semble avoir augmenté. En réalité, le nombre d’enfants russes exportés est augmenté des enfants roumains que les trafiquants ne peuvent plus trouver dans les orphelinats, et dés lors trouvent ailleurs (achats, enlèvements). Ils leur font faire plusieurs tours du pays avant d’arriver à Kiev. De là, ils sont exportés à Lubiana, puis à Trieste, puis à Milan. Les enfants passent par Trieste en petits groupes non accompagnés par des adultes, soit illégalement et sans qu’ils ne figurent dans les chiffres officiels. Ils sont envoyés dans différents centres de Caritas, le plus souvent sans avoir été identifiés officiellement, puis disparaissent dans des destinations inconnues. Le témoignage d’un jeune slovène de quatorze ans a fait apparaître que certains sont destinés à la greffe d’organes dans des cliniques renommées, ce qui constitue la fin de leur voyage. A Padoue, après avoir traversé la frontière slovène/ italienne, ce garçon avait réussi à s’échapper à de ceux qui l’accompagnaient à la clinique, où il serait mort en donneur d’organes. Deux vagues d’arrestations eurent lieux. La première en avril 2001, avec celle l’arrestation du slovène Josip Loncaric et de sa compagne Xue Mei Wang. Des chinois, des hindous et autres personnes en provenance de multiples ethnies passaient entre leurs mains. Leurs pérégrinations passaient par Kiev, Lubiana et Trieste. La partie la plus délicate était l’entrée en Italie, confiée à des petits délinquants sans scrupules. (La rumeur dit que la marchandise de mauvaise qualité était ensevelie dans des lieux qui seraient devenus des petits cimetières non autorisés). La seconde vague fut en février 2002, avec l’arrestation de trafiquants turcs de « marchandises humaines » qui avec des passeurs locaux et italiens transportaient cette « marchandise » de Trieste à Milan puis Côme et ensuite se dirigeaient vers la Suisse en suivant les anciennes routes de contrebandiers de cigarettes. Le commerce et le trafic des mineurs a, dans les sectes et associations secrètes, des défenseurs officiels, des groupes au niveau mondial, et des sous-groupes aux nivaux nationaux.

 

Nouvelle découverte après une opération de police en 1997 : Le Parti des pédophiles.

Le 25 août 1995, la sentence n° 2089 du tribunal de Milan condamne le « Groupe P » pour association de pédophiles. L’accusation avait démontré que cette association devait être dissoute. Ses statuts explicites avaient pour but une réforme législative prévoyant l’abaissement de l’âge minimum pour le consentement d’actes sexuels ou similaires. Ses membres étaient attribués à diverses fonctions :
- Regroupement de nouveaux éléments de séduction de mineurs
- Motivation et justification y compris idéologiques de délits commis
- Enseignement de techniques de séduction
Selon Paola Mastrobernardino (ce serait bien de dire qui elle est …), plusieurs personnes impliquées dans les enquêtes sur la pédophilie appartiennent ou adhèrent au Front Pédophile International Danois. Dans le cadre de l'opération Cathedral, la « Procura » de Naples a obtenu les résultats suivants : trois arrestations, cinq dénonciations, de multiples perquisitions à Naples, Catanzano, Florence et autres villes italiennes, la saisie de 440 vidéocassettes et 2600 CD comprenant des scènes de pédophilie, de sévices et de meurtre d'enfants. Le site WEB italien du réseau était associé à la Grande-Bretagne mais sa base était en Californie. Le coordinateur était un physicien italien Enrico de Marinis. Un autre personnage était un pédiatre de Catanzaro Guido Ferrero qui avait pour fonction le recrutement.

 

En février 2002 l'association de Pordenone CIATDM a signalé à la police 170 nouveaux sites pédophiles.

Sur le grand marché télématique une autre action soutien le libre amour adultes/enfants : le « Mouvement Pédophile Italien » qui compte cinquante membres actifs et est cité par le groupe « Luther Blisset » de Bologne. Le livre édité par ce groupe « Lasciate che i Bimbi » se trouve encore gratuitement sur le net. On trouve également sur le net, le site de « l'Association Danoise de Pédophilie » fondée en 1985 avec une filiale en Italie et d’autres groupes internationaux tels que la Nambia (hftp://danpedo.dk/italiano). Le 27 août 2001, les meurtres d'enfants continuent. Les techniciens de la Compagnie de téléphone Arcobaleno ont dénoncé des sites Internet montrant des tortures et violences de toutes sortes sur des nouveaux-nés de douze à dix-huit mois à la Procura de Syracuse. Un livre éclairant : « Une expertise des profils des pédo-criminels » de Michèle Agrapart-Delmas, explique comment un criminel et pédo-criminel peut en arriver à passer à l'acte par l'étude de sa personnalité, ses comportements et ses délits passés. L'auteur met en garde contre les profils de criminels créés par l'intuition ou les médias, comme on le voit dans les séries télévisées particulièrement les américaines. Selon elle, il y a en Europe plus de faux experts de profils que de vrais experts de tueurs en série. Le vrai dommage atteint l'entourage familial, au nom de celui qui en est victime.

 

Pédocriminalité, couvertures, sado masochisme, snuffmovies (films de tortures et meurtres d'enfants) en Hollande.

L’affaire Oude Peketa, au nom d’une petite ville en Hollande où les crimes ont été perpétrés, a été retenue comme relevant d’abus sexuel rituel et de films « snuff », En 1987 à Oude Peketa, le Dr Fredericia Joncher rendait visite un enfant qui soufrait de pertes anales inexplicables. Une centaine d'enfants en provenance de soixante-trois familles auraient été arrêtés sur la route par des adultes déguisés en clowns qui leur offraient des glaces et de la limonade contenant de la drogue, puis ils étaient contraints de participer à des orgies, soumis à des violences sado sexuelles associées à des rites sataniques pour des sacrifices humains rituels. Ces enfants drogués et armés de couteaux devaient également combattre entre eux. Le Dr Jonker présenta les résultats de son enquête lors d'un congrès à Londres en 1992, soutenant que les rituels décrits étaient réels et faisaient partie d'un processus connu des adultes, destinés à leur donner des pouvoirs émanant de ces morts sacrificielles. L'enquête avait découvert un groupe satanique important avec des violences sexuelles de toutes natures et de meurtre d'enfants. Aucune accusation ni condamnation n’a été retenue car, selon les magistrats intervenus dans cette affaire, il y avait un manque d'objectivité et davantage de désir de confirmation de préjudice plutôt que de recherche de la vérité.

 

Hollande 1998 - 18 juillet - l'ASBL MORKHOVEN, la défense des enfants.

A Zandvoort, localité balnéaire près d'Amsterdam, une bande vendait des vidéos pornographiques 20.000 euros l'exemplaire. La police qui a examiné les vidéos indique « des enfants de un ou deux ans violentés de façon brutale, drogués, torturés » et dit n'avoir jamais encore vu de telles horreurs. La direction du réseau avait des ramifications à Berlin, centre international des pédophiles, à Paris, Amsterdam, et également en Italie. L’attrait principal de l’Italie est la facilité de connexion avec l'Europe de l'Est pour le trafic de clandestins de mineurs destinés aux prélèvements d'organes, à la prostitution enfantine, aux groupes pédo criminels, aux vidéos, snuffmovies ou travaux débilitants. Ils employaient une agence de très jeunes modèles pour photos et un studio pédo pornographique près de Milan. La découverte a été faite par les bénévoles du groupe Morkhoven, une association civile de lutte contre la pédophilie. Plusieurs membres du réseau dit Zandvoort étaient natifs de la région du groupe Morkhoven en Belgique. Dans la bande de Zandvoort, l’allemand Gerrit Ulrich tué dans les environs de Pise par le belge Robert Van Der Plancken actuellement en prison (condamné à 15 ans), tous les deux pédophiles avec des contacts en Croatie. Ils avaient des clients dans le monde entier, dont aux USA, en Israël, en Allemagne et en Russie. L’enquête mena entre autres à deux pédo criminels anglais arrêtés à Hoordorp en Hollande, dont Warwick Spinks et son complice Edward pour avoir filmé viols, tortures et meurtre d'au moins cinq enfants. Interpol a dénombré les photos de 90.081 victimes figurant sur vingt et cédéroms retrouvé chez un seul homme : Ulrich. Ces groupes internationaux ne seraient-ils donc pas drainés par des « cultes » ?

 

Radio canadienne CKLN 1999 dans le cadre des émissions sur les abus sexuels sur mineurs :

Le docteur Stephen Kent spécialiste du satanisme département de sociologie de l'université d'Alberta a mis à évidence en 1989, le fait qu'il existe un élément commun à tous les divers mouvements satanistes qu'il a connus personnellement ou dont il a étudié les écrits : ces sectes prennent leurs rituels d'un livre diffusé dans le monde entier: l'ancien testament.

 

Préconisations aux associations de protection des mineurs

Les chiffres et informations italiennes décrites dans cet exposé ne peuvent pas faire toute la lumière sur l'importance du phénomène. Pendant que les sectes destructives, et les sectes sataniques en particulier ont des buts de dévalorisation de l'être humain, se couvrent et se protègent par des hommes de pouvoir ; les associations qui voient le jour pour la défense des mineurs se font souvent la guerre entre elles et les comités nationaux sont dissous. Cela ne nuit qu'aux mineurs qui par cela, restent victimes de viols. Il est souhaitable de rester unis dans la lutte commune et non faire prévaloir les intérêts personnels ou les mythomanies qui nuisent avant tout aux mineurs. Il nous faudrait exposer nos démarches, reconnaître les points de vue moins cohérents, être plus humbles, sans pour autant pencher dans un contrôle réciproque qui puisse irriter. Il est souhaitable de créer un flux continu d'informations et avoir un tableau récapitulatif national mis à jour en permanence sur les nouvelles associations dites humanitaires, leurs statuts, leurs qualités, et pourquoi pas : sur toutes les enquêtes sérieuses et objectives.

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