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Communiqué de presse
Ayndi Zarmaev, champion de pugilat
Ayndi Zarmaev, il campione del pugilato Minautore

MINOTAURE. Poséidon avait confié au roi Minos de Crête un magnifique taureau blanc, sans doute un esclave à la force d'un taureau, qu'il trouva si beau qu'il refusa de le sacrifier (le lui rendre) et en sacrifia un autre. La reine Pasiphaè de Crête est tombée folle amoureuse du "taureau crêtois" par un charme d'Aphrodite et elle est montée dans une vache en bois pour le séduire, selon la mythologie, ce qui suppose qu'Aphrodite lui a conseillé de se déguiser en esclave pour pouvoir l'approcher. Leur fils, le minotaure est né mi-taureau, mi-homme, ce qui suggère qu'il ressemblait tant à son père qu'il n'y avait pas moyen de le cacher la méconduite de la reine. Le minotaure est devenu si féroce en grandissant, que le roi Minos commanda un labyrinthe à Dédale, pour l'y emprisonner. Thésée, le fils de Poséidon est rentré dans le labyrinthe en déroulant le fil qu'Ariane lui avait donné. Il a combattu le minotaure, l'a vaincu et est ressorti du labyrinthe en suivant le fil d'Ariane.

   
L'une des premières représentations de Zeus en 560 av. J.-C., peu avant que ne commence la guerre de religion qui chassa les tchétchènes du mont Ida. Coupe laconienne du Peintre de Naucratis.

Thésée enlevant Hélène. Ses frères la récupèrent. Elle est mariée au roi de Sparte, puis à nouveau enlevée par Paris, ce qui provoquera la guerre de Troie. Amphore d'Euthymide, v. 510 av. J.-C

Abandonné à la naissance sur le mont Ida après que les oracles aient annoncés qu'il serait la source de la destruction de Troie, Paris a été adopté par des bergers et se maria à Oenone, la fille de Cébren, le dieu fleuve.
Ayndi Zarmaev, le champion de pugilat

Jacqueline de Croÿ - 14 juin 2009

Les exploits des tchétchènes sont à l'image de la mythologie grecque, comme quand Khamzat se projeta pour prendre dans sa jambe la balle qui devait traverser le coeur d'Alikhan, ou quand Ayndi Zarmaev, le frêre du commandant, terrassa un minotaure.

Ayndi me montre les images d'une compétition lors de laquelle un athlètete mi-boeuf, mi-homme de deux fois sa taille, tente de l'écraser sous une musculature monstrueuse, seulement après que je lui ai raconté les combats de pugilat de ses ancêtres. Il m'a raconta que le club de sport lui avait réservé par surprise un adversaire de 35 kilos de plus que le maximum pour sa cathégorie de poids. Le championnat de boxe, qui assure l'égalité des chances, se termina par un pugilat, où le plus fort gagne, quelque soit l'inégalité de poids.

Le pugilat est interdit depuis seize siècles, à l'époque où un changement de règles en dernière minute n'aurait pas été possible. L'athlète est confronté à un type de compétition à laquelle il n'est pas préparé. Le patron du club, selon les anciennes lois, aurait été fouetté pour son manque de fair-play et le minotaure aurait été mené à un labyrinthe dont il n'aurait jamais pu trouver la sortie, selon la mythologie. Rien n'obligeait notre champion tchétchène d'accepter ça. Il voulut tenir sa promesse de participer au championnat et il terrassa le minotaure : Ayndi Zarmaev est le premier champion de pugilat dans un combat officiel depuis 393 après J.-C. !

Les tchétchènes connaissent mal leur histoire, parce que les russes les obligent à défendre leurs femmes et leurs enfants depuis un demi millénaire. Ils sont originairement des citoyens grecs de Gargar, selon le Général Pompée et le géographe Strabon. Rien ne permet de le contesté. Pompée et Strabon n'étaient pas susceptibles de se tromper sur leurs propres cousins. La citoyenneté n'était en effet accordée qu'aux fils nés de père et de mère de citoyens, donc entre cousins. C'était alors le cas des grecs et des romains. La démocratie originale était représentée par un grand conseil de famille.

La lignée tchétchène date du XIIe siècle avant J.-C., à l'époque où Zeus devint le dieu des dieux de 65 femmes, qui lui ont donné 117 enfants, tous plus beaux et plus forts les uns que les autres. On parle de mythologie, mais quand on voit leurs descendants, on constate que certains sont vraiment beaux et forts comme des dieux Grecs.

Gargar se trouve sur le mont Ida actuellement en territoir turque, d'où les dieux grecs ont observés la guerre de Troie, il y a 33 siècles, avec les ancêtres d'Ayndi. Ils ont assisté au premier combat de pugilat relaté de l'histoire. Les champions de pugilat ont la réputation d'être les favoris des dieux, selon Homère, sans doute parce que c'est un spectacle ahurissant.

Pythagore, qui descend de Poséidon par Ancée. Il fut également champion de pugilat. Il se référa volontiers aux initiés du mont Ida, donc aux ancêtres d'Ayndi. Ils furent bannis sous dominance perse, parce qu'ils faisaient ombrage au dieu unique professé par Zarathoustra. Puis, Théodose Ier, un empereur romain, a interdit les olympiades et tous autres jeux qui se faisaient en honneur des ancêtres en 394, cette fois de crainte qu'ils ne fassent ombrage à Jésus Christ. Seize siècles plus tard, nous connaissions toujours mieux les exploits des champions grecs que les miracles de nos saints. Le pugilat est rentré dans la clandestinité et n'a été repris qu'au XIXe siècle sous la forme de la boxe pour assurer l'égalité des chances, jusqu'au jour où Ayndi a terrassa le minotaure.

Il est difficile de ne pas faire le lien entre l'histoire des grecs et celle des tchétchène. Ils se partagent le même culte du sport et la même passion de la boxe. Les tchétchènes sont considérés comme les meilleurs fantassins du monde. Leur formation toujours faite de gymnastique, pour le sport et non pour la guerre, comme en Grèce antique. L'entraînement était initialement conçu pour participer aux jeux dédiés aux ancêtres, puis pour accomplir le devoir de citoyen qui est de défendre la cité en cas de guerre. Ils sont devenus imbattables. Ils luttent pour l'amour de leurs parents, de leurs femmes et leurs enfants.Ils sont les champions de leurs femmes, qu'ils traitent en déesses. Ils s'entraînent, luttent et gagnent pour elles.

Il n'y a pas de femmes tchétchènes "soumises", contrairement aux stupidités dont nous assomment les faux experts, mais des petites déesses, parfois imbues de leur personnes,souvant féroces, et imanquablement fières de leurs champions. Elles nous prouvent, que contrairement à elles, les femmes occidentales ont perdu les droits acquis dans l'antiquité, parce qu'elles tolèrent que les hommes occidentaux s'attribuent des honneurs sans mérite. C'est la vérité. Nous n'avons plus que des singes et des guenons pour gouverner nos pays, parce que les femmes n'accordent de respect qu'à ceux qui volent le plus d'argent sans se retrouver en prison..

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