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Droit Fondamental

Menottes et dialyse

----- Original Message -----
From: Fond. Pcesses de Croÿ & M. Lancellotti
To: Dr. Giorgio Gagliardi
Sent: Sunday, December 21, 2008 6:03 PM
Subject: Besoin de conseils...

Cher Giorgio,

La prison négocie avec Marcel, des conditions favorables, pour autant que nous enlevions cet article-ci : http://fondationprincessedecroy.eu/001-marcel_vervloesem_5ieme_hospitalisation-IT.htm. Qu’est-ce que tu en penses ? Jacqueline

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From: Dr. Giorgio Gagliardi
Sent: Sunday, December 21, 2008 6:46 PM
To: Fond. Pcesses de Croÿ & M. Lancellotti
Subject: Re: Besoin de conseils...

Jacqueline,
Si pour Marcel c'est bon, je pense qu'il faut enlever l'article qui est dejà paru. Quelles conditions pose la direction de la prison? Giorgio

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From: Fond. Pcesses de Croÿ & M. Lancellotti
Sent: Sunday, December 21, 2008 8:08 PM
To: Dr. Giorgio Gagliardi
Subject: Re: Besoin de conseils...

On ne sait pas ce que la prison offre. Il dit ne pas pouvoir en parler au téléphone, mais qu'il nous le dira quand on vient le voir cette semaine. J'ai enlevé juste les liens, pour faire comprendre qu'ils ne doivent pas recommencer. Jacqueline

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Négociation des soins de santé en prison

Jeudi 9 Mars 2009 - Jacqueline de Croÿ

Le lien au " d'article ; 5ème hospitalisation secrète de Marcel Vervloesem", publié le 7 décembre 2008, a été enlevé le 21 décembre, suivant une négociation lui offrant les conditions favorables, en tant que détenu dans la prison de Bruges. Marcel avait été hospitalisé dans le secret de sa famille pour la cinquième fois, pas à partir du jeudi 4 décembre, comme imaginé, mais du lundi 1er décembre. Il avait subi deux opérations d'urgence les 21 et 22 novembre. La première pour ses reins, laissés sans soin suite à une grève de la faim et de la soif terminée le 30 septembre. La seconde était pour stopper une hémorragie interne survenue suite une cathétérisme cardiaque. Il avait été renvoyé en prison, dans une cellule avec un homme à problèmes psychiatriques, qui répandait ses excréments partout.

Le 7 décembre, personne ne savait qu'il s'était réveillé dans un bain de sang, prouvant que l'hémorragie interne était devenue externe. Une deuxième opération a été nécessaire pour l'amputer de chair et d'os gangrenés. Il était menotté à son lit d'hôpital, imposé une lumière électrique jour et nuit jusqu'à ce qu'il demande de retourner à la prison, où il pouvait dormir dans l'obscurité. Il ne pouvait pas faire face aux deux opérations à coeur ouvert à deux valves blessées, ni à la prison en ces conditions.

L'offre était de lui accorder l'hospitalisation illimitée et sans menottes, pour se remettre des deux opérations, qui devaient être faites à trois semaines d'intervalle. La chirurgie n'a été faite qu'en une fois, quand il a avait quatre valves cardiaques blessées, le 4 mars 2009. Son pied a été enchaîné et menotté au lit d'hôpital. Il a été renvoyé à la prison le 13 mars, après de neuf jours. Le 27 mars, tous les médicaments que ses médecins lui avaient prescrits pendant 10 années ont été supprimés, excepté un ASPRO pour son coeur, un LIPITOR pour sa tension artérielle, sur la base d'une seule analyse de sang, lui a dit le Dr. Proot. Les trois mois de soins de revalidation prescrits pour l'opération à coeur ouvert ont été suspendus pour les vacances de Pâques. L'offre n'a pas été respectée. L'article est de retour le 9 mars 2009.

 

OBJET DU MARCHÉ: la vie d'un prisonnier contre un article. Mais le prisonnier se meurt, donc le marché saute.

5ième hospitalisation secrète de Marcel Vervloesem

Dimanche 7 décembre 2008 - Jacqueline de Croÿ - V.O.

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La santé Marcel Vervloesem est-elle devenue un secret d'état pour cacher cinq hospitalisations d'urgence à sa famille en deux mois ? Il se trouve actuellement dans la zone de non droit de l’hôpital universitaire St Jean de Bruges, depuis jeudi au moins. Ceux qui croient en Dieu disent qu'il survit par miracle; les autres disent que c'est de la comédie, car il devrait déjà être mort.

Marcel Vervloesem a été condamné pour des faits que la médecine le reconnaît physiquement incapable et incarcéré malgré la contre-indication de neuf médecins, y compris l’expert judiciaire désigné par le tribunal. Son véritable crime est d’avoir apporté la preuve de la corruption qui couvre l’exploitation sexuelle d’enfants, avec photos et liste de tarif : 100$ le viol, 250$ pour deux hommes, 300$ pour un bébé qui peut "avaler", 400$ pour une vierge de cinq ans, etc. Plusieurs médecins ont renoncé au serment d’Hippocrate en voyant l’ennemi des maffias. Cela lui a coûté trois métastases, suite à un cancer qui lui a été caché lors d’une précédente incarcération illégale. Actuellement, les prises de sang quotidiennes en prison semblent n’avoir servi qu’à observer la destruction de ses reins, puis de deux valves cardiaques et de son sang.

Dr. Mario Schurger, responsabile del servizio di dialisi
Dr. Stefaan Vandecasteele, il referente di Marcel
Dr. Mario Schurgers Dr. Stefaan Vandecasteele

L’hôpital St Jean, dont la priorité est d’offrir "des soins de qualités", l’avait renvoyé en prison, avec une hémorragie interne. Jeudi, il était impossible de savoir s’il avait été hospitalisé pour le rattacher à un rein artificiel d’une part et des menottes d’autres part, où si s’il était une fois de plus, à l’article de la mort. J’ai alors demandé à la téléphoniste de parler au responsable du service de dialyse, qui est le Dr Mario Schurgers. Il semblait fort nerveux. Il refusait de dire où et quand il serait possible de voir Marcel. Il nous fallait prendre rendez-vous avec le Dr Stefaan Vandecasteel, qui est responsable de lui.

Le barrage au droit de visite a persisté trois jours, dans une comédie macabre d'infirmières qui jouaient à la police. Elles répétaient que le Dr Vandecasteele et son patient n’étaient pas là, certaines en gloussant de rire. Quand la prison a confirmé qu’elles mentaient, le Dr Vandecasteele était là, mais ne pouvait pas nous parler, contrairement à ce que son chef de service avait assuré. C’était "un cas spécial", disait cette infirmière. La violation de ses droits de patient incomberait à la prison… et non au médecin [responsable], elle a rajouté. Marcel Vervloesem est donc hospitalisé, non pas pour la dialyse résultant du défaut de soins, mais en raison de l’hémorragie interne avec laquelle il a été renvoyé en prison, et qui persiste depuis 15 jours.

Il s’avère que la suspension arbitraire du droit de visite était réservée au Werkgroep Morkhoven, l'ONG qui ne respecte pas la censure. On nous reproche de diffuser une information crue, tranchée à la hache et sans considération pour les avantages sociaux/politiques de renoncer aux droits acquis. Les médecins sont nerveux, mais l'état l'est aussi. Le bureau de Marcel Vervloesem a été cambriolé, apparemment par la bande que l'actuel président du conseil de la police avait payé pour la cabale qui l'a mené en prison. Ceci explique que la police est intervenue pour arrêter le tapage nocturne des cambrioleurs suite à une plainte des voisins, mais pas pour arrêter le cambriolage. Il était donc préférable, si possible, que Marcel meure avant de pouvoir dire ce qu'il avait laissé dans bureau local de l'ONG, mais il est toujours en vie.

Un homme est mené à la mort depuis trois mois, non pas par la "stricte application du règlement", selon la version officielle - préparée d'avance - mais par la violation de 33 lois belges et européennes sur le droit des prisonniers. Ces violations ont été additionnées à des violations du Serment d'Hippocrate et de l'assistance à personnes en danger garantie par les services publics nationaux et internationaux subsidiés par l'Europe pour assurer le respect des droits de l’homme. Même le Comité contre les Tortures de l’ONU, ne semble pas insister, selon sa mission, pour que "l'Etat partie concerné prenne des mesures pour éviter que la victime présumée de la violation ne subisse un préjudice irréparable."

En d’autres termes, il n’y a pas un seul service qui fonctionne, quand il s’agit de s’opposer aux intérêts de la criminalité internationale.

Attention !Attention: Le prix des enfants (cliquez sur l'image) est un document exposé par l'ONG de Marcel Vervloesem pour prouver l'existence du commerce d'enfant, que la Belgique persiste à nier. Ce document ne doit pas être lu par les - de 18 ans et est vivement contre-indiqué aux personnes sensibles.

Mis à jour le 8 décembre 2008

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