Accueil - Home  
Organe de presse  
         
 
IndexNews
 
    HOME
Change language
Français
English
Droit Fondamental on Facebook
Werkgroep Morkhoven sur Facebook
Droit Fondamental
... partners, photos, videos FR - EN - NE - IT
Dossiers - Cartelle
Qui sommes ?
Communiqué de presse
Go and chose your languageLes jugements politiques sont reconnaissables aux violations graves et persistantes des droits de l'homme, dans des dossiers qui exposent les carences de l'Etat. La peine de mort est assurée par l'interdiction de soin de santé et l'incitation au suicide lors de détentions illégales.

Peine de mort politique à la mode belge

Bruxelles, le 13 mai 2010, par Jacqueline de Croÿ

L'ONG Morkhoven a été fondée par Marcel Vervloesem en 1988, quand il a découvert la branche anversoise d'une multinationale, qui produisait des films de pornographies d'enfants. Le Ministère de la Justice a décidé d'ignorer le dossier, de peur que la révélation des corruptions de la police ne provoque un scandale national.

En 1996, dix pourcents de la population belge protestait à Bruxelles contre la "protection" d'une autre branche du réseau: Dutroux, un pédocriminel récidiviste en libération conditionnelle, qui avait kidnappé neuf jeunes filles, dont quatre n’ont pas survécu. Deux ans plus tard, Marcel Vervloesem a découvert le centre du réseau à Zandvoort, en Hollande, d'ou il ramené 88'539 exemplaires uniques de la production. Il a découvert, en 2001 l'existence d'un contrat de travail qui liait les réseaux Zandvoort et Dutroux.

Les juges ne peuvent pas contredire les médecins, parce qu'ils n’ont pas la formation nécessaire, pour juger les dossiers médicaux. Les juges belges ont contredits neuf médecins, pour condamner Marcel Vervloesem pour des viols qu'il était physiquement incapable d'exécuter. Un cardiologue a certifié que son diabète l'aurait obligé à prendre du viagra, mais que son coeur était dans un tel état, que le viagra l'aurait tué. Neuf médecins, y compris l’expert désigné par la justice, se sont opposés à l'incarcération, au motif d’un état de santé qui ne lui permettrait pas d’y survivre. Son dossier médical exposait un cancer et trois métastases ; une déficience cardiaque qui avait nécessité trois opérations à cœur ouvert ; une déficience rénale qui avait nécessité trois interventions chirurgicales ; une déficience du pancréas qui avait nécessité deux interventions chirurgicales et un diabète insulinodépendant.

Cet homme a été condamné à 4 ans de prison, avec l'intention de le tuer en prison par privation de soin de santé, avant que la Cour Européenne des Droits de l’Homme n’ait le temps de condamner la Belgique, pour le sabotage judiciaire de l'affaire Zandvoort. Marcel Vervloesem a introduit ses recours à la Cour de Strasbourg le 8 août 2008, pour que sa fille et son ONG soient dédommagés de cette condamnation à mort illégale. Il a frappé à la porte de la prison le 5 septembre 2008, pour y commencer une grève de la faim et de la soif, dans le but d’abréger ses souffrances et de mourir pour ce qu’il avait vécu : en demandant l’application des droits constitutionnels des victimes et témoins des réseaux pédocriminels.

La grève de la faim et de la soif tue normalement en trois jours. Le signe clinique précurseur de mort imminente par déshydratation est une perte de 10% du poids. Le ministère de la justice est intervenu de Bruxelles au cinquième jour de la grève de la faim et de la soif, quand il avait perdu 10% de son poids et qu'il devenait aveugle, pour renvoyer l'ambulance appelée par médecin de la prison et interdire l’hospitalisation prescrite d'urgence.

Il a été transféré au centre médical de la prison de Bruges, où il a arrêté la grève de la soif, mais persisté dans la grève de la faim. Il a alors été incarcéré dans une cellule d’isolation médicalisée, où il lui a été interdit tout autre breuvage que de l’eau bouillante ou de l'eau puante. L’eau bouillante à jeun provoque des douleurs aigues, aggrave la déshydratation, qui provoque le blocage des reins, la déstabilisation de la glycémie et de la tension artérielle.

Ses meilleurs amis ont été interdits de droit de visite durant dix-huit jours, malgré les demandes écrites avant l'incarcération au ministère de la justice et au palais Royal, dans le but de le convaincre de vivre. Il leur a été interdit de lui offrir de l'eau minérale, alors que la prison en vend par distributeurs dans ses corridors. Il a accepté de recommencé à manger, le 30 septembre 2008.

Le ministère de la justice s’est opposé au protocole de réhydratation durant huit jours, jusqu’à ce que Marcel Vervloesem tombe dans un coma. Le ministère a interdit la dialyse nécessaire à débloquer ses reins durant 50 jours, même quand les rétentions d'eau avaient détruit deux de ses valves cardiaques et provoqué une leucémie. L’hospitalisation n’a été autorisée que quand il n’avait plus que 24 battements de cœur par minute, uniquement pour la réanimation, mais pas pour le cathétérisme cardiaque préconisé par le cardiologue, ni pour la dialyse.

Marcel Vervloesem devait être transféré dans la cellule d’un homme qui protestait en étalant ses propres excréments partout, à la veille du cathétérisme cardiaque. Il a été réincarcéré dans cette cellule avec une hémorragie interne, le jour même de cette intervention chirurgicale qui avait démontré la nécessité de deux opérations à cœur ouvert, pour ne pas mettre sa vie en danger.

La justice s’opposera à nouveau à l’hospitalisation, avant quand Marcel Vervloesme tombe dans le coma. Trois interventions chirurgicales seront alors nécessaires, à 24 heures d’intervalle chacune: la première pour traiter ses reins, la deuxième pour cautériser l’hémorragie et la troisième pour lui incérer un tube nécessaire à la transfusion de trois litres sang. Il sera dialysé, mais jusqu’au rétablissement de seules 60% de ses capacités rénales.

Les onze jours post opératoires ont été assurés dans la cellule de l’homme qui répand ses excréments partout, jusqu’à ce que Marcel Vervloesem contracte une gangrène. Cette gangrène a également été laissée sans soin utile, jusque quand il s’est réveillé menotté dans un bain de sang, à l’hôpital. Deux interventions chirurgicales seront nécessaires en urgence, l’une pour cautériser l’hémorragie, l’autre pour l’amputer de la chair et de l’os gangrenés. Interdit de visite, privé de ses droits de patients, il a été maintenu huit jours menotté et sous une lumière électrique 24 heures sur 24, jusqu'à ce qu'il n'ait plus d'autre solution que de demander de rentrer en prison pour pouvoir dormir.

La survie miraculeuse de Marcel Vervloesem a engendré le problème de la diffusion de l'information sur les traitements réservés aux prisonniers en Belgique. La cruauté des directeurs et des services psychosociaux, assortie au défaut de soin de santé, engendre 24 fois plus de suicides que dans les prisons américaines.

Le Médecin de Justice a négocié les cautérisations des valves cardiaques contre le retrait d’Internet, d’un article de la fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti, concernant les cinq premières hospitalisations d’urgence qui ont été faites dans le secret de sa famille, donc en violation du règlement. Le marché a été conclu en échange de deux hospitalisations à trois semaines d’intervalle par opération préconisée, sans menottes, ni lumière 24 heures sur 24 et sans limitation pour la revalidation.

Le Conseil d'Etat a dû libérer Marcel Vervloesem d'une sanction qui l’a privé quatre jours de toute médication, dont de son insuline et maintenu une semaine en isolation, avec interdiction de visite, de téléphone et d’aller à la messe, parce que les ONG ont refusé de censurer d'autres articles.

La ministère de la justice ne tiendra pas sa part du marcher pour les opérations à coeur ouvert. Elles seront retardées de 131 jours, puis limitées à une seule opération, donc dans le but de le tuer, puisque les cardiologues avaient estimé qu'il n'avait quasi aucune chance de survie. Il s’est réveillé avec les rictus de la mort, un pieds enchaîné et menotté au lit d'hôpital. Il a été renvoyé à la prison de Bruges au bout de dix jours, dans une section réservée aux prisonniers les plus difficiles de Belgique, donc avec les conditions de détention les plus lourdes.

Stefaan De Clerck, le Ministre de la Justice, lui avait proposé un suicide assisté, avec une pilule pour provoquer une attaque cardiaque. Deux médecins de prison lui ont conseillé un suicide en 10 jours, en arrêtant son insuline et en continuant à manger normalement. Il l'a fait. Le ministre de la justice, n'a considéré "des conditions de détentions plus humaines" après 42 jours sans insuline, mais seulement suite à un reportage de la télévision française.

Le tribunal d’application des peines a prolongé sa détention de un an au-delà de la première date à laquelle les services psychosociaux lui avaient promis d'être libéré sous contrôle électronique, mais à une époque où le ministère prévoyait qu’il ne puisse pas survivre plus de quelques jours. Le jugement est basé sur un document que le ministère de la justice avait maintenu en-dehors du dossier, ce qui présume un jugement dicté par le ministère, d'où, violation de la séparation des pouvoirs.

Le jour où Marcel Vervloesem a définitivement renoncé au suicide, il a été mis en régime d'isolation, nu et interdit de meuble, ce qui l’obligeait à écrire son courrier à même le sol. Les gardiens de prison se sont révoltés et lui ont apporté une table, une chaise et des vêtements. Le ministère a commencé a douté de parvenir à assassiner cet homme, sans lui trancher la tête. Les services psychosociaux ont alors proféré de violentes menaces, exigeant qu'il avoue des crimes que même les tribunaux avaient été forcés de l'innocenter, de manière à anéantir son recours à la Cour Européenne des Droits de l'Homme. Il a refusé, en dépit des représailles, qui consistaient à interdire l'hospitalisation réclamée pour hypoglycémie et la dialyse, d'où à nouveau, une menace de mort.

La libération conditionnelle de Marcel Vervloesem est à présent considérée, mais avec interdiction de contact avec la presse ou avec les ONG des Droits de l'Homme et de reprendre ses recherches sur les réseaux pédocriminels.

_____

Editeur responsable: Fondation Princesses de Croÿ et Massimo Lancellotti - 10 Rue Faider - 1060 Bruxelles - Belgique - Droit de réponse: postmaster@droitfondamental.eu

Free counter and web stats